Blairisme

concernant l’avenir personnel ou celui du pays). rassemble la France et le Royaume-Uni, auxquels s’ajoute ensuite l’Allemagne. Cette partie de l’Europe semble marquée par une crise de constater la proximité de ces deux pays, comme si les années de blairisme n’avaient pas réussi, contrairement aux apparences de relatif succès sur le plan de la politique à celle des Français, elle reste bien moins élevée que celle des jeunes Scandinaves. La proximité des systèmes d’emploi britannique et scandinave

l’alternance. On peut s’interroger sur la pérennité du bipartisme : car le clivage idéologique est le ferment du bipartisme, qui sous la forme gauche ou droite s’est affaiblit. Le clivage droite/ gauche idéologique s’est affaiblit par le biais du blairisme par la 3ème voie : ( the Third Way). 3ème voie entre socialisme et libéralisme. Une sorte de sociale démocratie qui n’hésite pas à emprunter des voies proches du libéralisme qd il le faut. Erosion du clivage sur le plan des programmes de l’idéologie

relation contractuelle quand la loi a par avance tranché sur l’essentiel ? Où placer la justice sociale quand la CMU achève de faire du smicard un parent pauvre du Rmiste ? De quoi susciter dans la France rebelle le tropisme redouté par Jospin vers le blairisme.  Dans son article sur L’avenir de la protection sociale, publié dans le dernier numéro de Commentaire (n° 87, automne 1999), Kessler nous dit que le « New  Labour  […] essaye  d’interrompre  la  dérive  de  la  protection  sociale  vers  un  vaste service d’assistance »