Blaise Cendrars

1909 : « 1909» est un poème d’Apollinaire extrait du recueil Alcools publié en 1913. Ce nom a été suggéré par son ami Blaise Cendrars qui trouvait « alcools » plus percutant qu’ « eaux de vie », premier titre choisi par Apollinaire. Il lui propose également de supprimer la ponctuation. Son titre est l’année de sa rédaction, après un amour malheureux avec Annie Playden, préceptrice qu’il a rencontrée en Allemagne pendant son séjour d’un an dans la même famille qu’elle. Ici, Apollinaire propose

d'utiliser les indices fournis pour élaborer la rédaction de la seconde partie. Voici les indications méthodologiques nécessaires, concernant l'organisation des paragraphes et la manière de citer les termes du texte. Exemple: Introduction : Blaise Cendrars publie L'Or en 1925. Il s'agit d'un roman dans lequel le narrateur évoque la mythique ruée vers l'or en racontant l'histoire de Johan Suter. Le passage se situe au moment où, fermier paisible du Missouri, Suter est intrigué par ce que les gens

la presse, le cinéma, la radio, la télévision et la publicité est un constituant à part entière de la modernité. L'invention de la machine à vapeur, de l'imprimerie, le câble transatlantique, etc. 4) Blaise Cendrars et la modernité Cendrars est un poète de la modernité. Cendrars illustre une réaction humaine pensive au voyage rapide, à la modernité et à l'expérience humaine. Dans "l'Or" il décrit la modernité par la facilitation d'accès à la Californie grâce aux chemins de fer et

où l’on ne descendra jamais
 Iles couvertes de végétations
 Iles tapies comme des jaguars 
Iles muettes 
Iles immobiles 
Iles inoubliables et sans nom Je lance mes chaussures par-dessus bord 
car je voudrai bien aller jusqu’à vous (Blaise Cendrars) * ````` Un matin nous partons, le cerveau plein de flamme,
Le coeur gros de rancune et de désirs amers,
Et nous allons, suivant le rythme de la lame,
Berçant notre infini sur le fini des mers. Mais les vrais voyageurs sont ceux-là seuls

dénonce également le dilemme de la vie sociale. (illusions perdues, 1837-39). Il répartit ses œuvres en trois grandes catégories : Études de mœurs, Études Philosophiques (la peau de chagrin) et études analytiques (Physiologie du mariage). Blaise Cendrars : de son vrai nom Frédéric-Louis Sauser, est un écrivain d'origine suisse. Ses œuvres : poésie, romans, reportages et mémoires, sont placées sous le signe du voyage, de l'aventure, de la découverte et de l'exaltation du monde moderne où l'imaginaire

Mais je préfère de beaucoup les levers de soleil
 L’aube
 Je n’en rate pas une
 Je suis toujours sur le pont
 A poils
 Et je suis toujours le seul à les admirer 
Mais je ne vais pas décrire les aubes 
Je vais les garder pour moi seul Blaise Cendrars La tulipe Madrigal Au soleil. Bel astre à qui je dois mon être et ma beauté, 
Ajoute l’immortalité 
A l’éclat non pareil dont je suis embellie ;
 Empêche que le temps n’efface mes couleurs : 
Pour trône donne-moi le beau front de

(strophe 3 ; v.12-13 : « Je rougirais…sanglants »). Le désir d’étreinte, la force érotique s’expriment de façon de plus en plus violente (« L’amant serait plus fort dans ton corps écarté » v.20). Conclusion Lien avec d’autres œuvres : Blaise CENDRARS (1887-1961). Ecrivain d’origine suisse, naturalisé français en 1916. Il participe à la Première Guerre mondiale comme volontaire étranger dans l’armée française. Le 28 septembre 1915, il perd au combat sa main droite. Dans son roman autobiographique

Les amis inconnus Gravitations, précédé de Débarcadères parmi ses autres œuvres, romans, contes et nouvelles : L'homme de la pampa ,1923 Le voleur d'enfant ,1926 L'enfant de la haute mer, 1931 Blaise Cendrars : né à La Chaux-de-Fonds le 01 septembre 1887. Ayant le goût de l'aventure, Blaise Cendrars abandonne ses études à seize ans pour courir le monde, à commencer par la Russie et l'Extrême-Orient. Ce voyage lui inspire 'La prose du Transsibérien', son ouvrage majeur, pierre angulaire de la poésie

opinions politiques, de défendre une cause. Le poète n’est plus simplement un observateur privilégié, il devient acteur de son temps. Dans La Prose du transsibérien et de la petite Jehanne de France, Blaise Cendrars nous invite à un voyage, une aventure poétique à travers le temps et l’espace. Cendrars veut peindre le monde, pas comme il le voit, mais comme il le sent : un monde rempli de couleurs, flamboyant et violent. Dans un premier temps, nous avons vu en quoi la poésie pouvait permettre une

destinés à ne faire "qu'une seule chair" La pomme dans la main de la femme les identifie En bas à gauche se trouve la déclaration d'amour aux poètes transcrite naïvement au moyen d'un cœur percé d'une flèche Chagall associe à l'hommage l'écrivain Blaise Cendrars qui suggéra à Chagall plusieurs titres pour ses tableaux, l'éditeur, le mécène et marchand de tableaux allemand Herwarth Walden et le publiciste Ricciotto Canudo, admirateur de la première heure La cueillette du fruit à l'arbre de la connaissance