Blaise Pascal La Vie Est Un Songe

part en Italie pour continuer sa formation et rencontre Rubens. Il fut aposentador et anoblit avant sa mort en 1660. III. Les scènes de genre (escena de genero). Il s’agit de la période Sévillane de Velásquez. C’est une scène populaire de la vie quotidienne, c’est-à-dire de mœurs. Elle se conjugue avec le bodegon (nature morte). -La vieja friendo huevos (1618) : il s’agit d’un tableau de jeunesse, influencé par Caravaggio avec l’importance du clair-obscure. C’est une scène dynamique avec

bonheur ? I. Lectures analytiques : 1. Jean de LA FONTAINE, « Le songe d’un habitant du Mogol », Fables, livre XI (1678-1679) – Littérature tome 1 p.348 2. VOLTAIRE, Le Mondain (1736), vers 1-43 - Littérature tome 1 p.394 3. Jean ANOUILH, Antigone (1944), de « Créon : Marie-toi, vite, Antigone » à « ou mourir. » (photocopie) II. Pour l’entretien : Textes complémentaires étudiés en lecture cursive : * Blaise Pascal, « Divertissement », Pensées (1670) - Littérature tome 1 p.232

1 Lire les Pensées de Pascal Le statut d’une œuvre Question qui nous guidera : en quoi les Pensées constituent-elles une œuvre littéraire ? Remarques préliminaires : Le projet est peut-être né pendant l’année 1656, lorsque la guérison miraculeuse de la nièce de Pascal, grâce à la Sainte-Epine, l’amena à réfléchir sur la nature des miracles. D’autres passages des Pensées, nettement adressés à un public de libertins, sont peutêtre inspirés par les relations que Pascal entretenait avec certains

particulier. Madame de Lafayette situe l’histoire de l’amour tragique de la princesse – et par delà, l’histoire de l’impossibilité pour tout amour de durer dans le temps – à la fin du règne d’Henri II. Cela lui permet de donner à la fois une fresque de la vie de cour de l’époque qui est le miroir de l’époque de la vieillesse de Louis XIV, et de garantir ainsi la vraisemblance de son roman. Pourtant, les épisodes secondaires narrant les amours des personnages vrais de la cour des Valois sont bien plus que

 Table des matières Table des matières 1 introduction 1 I-LES FACTEURS DU DEVELOPPEMENT DES ARTS ET DE LA VIE INTELLECTUELLE AU GRAND SIECLE 2 1-La naissance des salons 2 2- Les académies royales 3 II-L’ESSOR DE L’ART ET DE LA VIE INTELLECTUELLE AU GRAND SIECLE 4 1-Le style baroque 4 1-1-Les arts littéraires 4 1-2-Les beaux-arts :l’architecture, la sculpture, la peinture, la décoration 5 2- Le classicisme. 5 2-1-les arts

quatre quatrains composés d'alexandrins en rimes croisées, apparaît dans la section "Spleen et Idéal" des Fleurs du Mal. L'idée initiale remonterait à un incident du voyage à la Réunion (1841). Pour symboliser le poète, Baudelaire ne songe ni à l'aigle royal des romantiques, ni à la solitude orgueilleuse du condor, décrite par Leconte de Lisle. Il choisit « un symbole plus douloureux » : l'albatros représente « la dualité de l'homme » cloué au sol et aspirant à l'infini ; il représente

est toujours possible d’envisager que ce réel se confonde avec nos rêves. Il se peut que nous soyons en train de rêver ce que nous croyons être : la réalité. Cet argument n’est pas sans vous rappeler une Nouvelle de Calderon de la Barca, La vie est un songe où le protagoniste confond rêve et réalité et ne sait plus où il en est. Ce dernier doute est dévastateur, parce qu’il remet tout en cause, aucune certitude ne semble lui résister. Les sceptique qui doutent de tout paraissent avoir raison,

Acteurs de bonne foi De Marivaux Mise en scène David Géry Avec Philippe Fretun Marie Matheron Donatien Guillot Julie-Anne Roth Geoffrey Carey Daniel Martin Eléonore Joncquez-Simon Pierre-Benoist Varoclier Kevin Lelannier Scénographie Jean Haas Lumières Pascal Sautelet Costumes Cidalia da Costa Maquillage-coiffure Sophie Niesseron Musique Jean Paul Dessy Bande son David Géry Assistante à la mise en scène Stéphanie Leclercq Conseil distribution Laura Koffler-Géry Production Espace des Arts, Scène nationale

Finalement, il leur dévoile ses intentions : il va épouser Mariane, Élise est promise (sans dot) à Anselme, un vieillard, et Cléante est destiné à une veuve. La jeune fille refuse, son père demande à Valère de les départager. Il acquiesce faussement, mais songe à fuir avec Élise. Acte II Cléante, qui ne peut compter sur son père, a un besoin urgent de quinze mille francs. La Flèche, son valet, se charge de lui trouver un préteur. Il finit par découvrir que l'usurier n'est autre que son père ; une violente

permet-il pas de renoncer au trop naïf usage de celle-ci ? Il est de la violence spiritualisée; une forme particulière, souple, raffinée, créatrice de la violence. Robert Musil, L'Homme sans qualités (1930). 7. Si l'argent est le lien qui m'unit à la vie humaine, qui unit à moi la société et m'unit à la nature et à l'homme, l'argent n'est-il pas le lien de tous les liens ? Ne peut-il pas nouer et dénouer tous les liens ? N'est-il pas, de la sorte, l'instrument de division universel ? Vrai moyen d'union