Blanchefleur

théories sur les origines de la légende sur Tristan et Iseut sont diverses.  Origines Celtes  En ce qui concerne les origines de la légende, on admet généralement que Tristan est un héros aux origines celtes: Tristan est le fils de Rivalin et de Blanchefleur, sœur du roi Marc de Cornouailles. Son prénom est d’origine picte-peuple du nord de l’Écosse-: Drust > Drystant > Tristan. En langue française, Tristan a été mis en relation avec Tristesse.             La légende se charge d’éléments celtiques

Perceval apprenant la mort de sa mère ainsi que l’erreur qu’il a commise en laissant le Graal derrière lui. Coeur de Pereceval s’enflammant à l’idée de devenir chevalier De plus, il y a dans certaines illustrations quelques noms écrits (Perceval, Blanchefleur), parfois même des phylactères (le cycle arthurien ne se forme-t-il pas autour de la parole ?), renouant avec la tradition de miniatures médiévales où figuraient souvent ces banderoles dans lesquelles s’inscrivaient noms et sentences latines.

Chrétien de Troyes entre 1160 et 1175 (Cligès, Erec et Enide, le Chevalier à la Charette, Perceval, le Chevalier au Lion), les romans en prose de Robert de Boron. ➢ les Romans idylliques et d’aventures - Principaux romans idylliques : Floire et Blanchefleur, l'Escouffe (XII-e siècle), Aucassin et Nicolette (XIII-e siècle), Galeran de Bretagne (XIII-e siècle). Le terme de roman, à l’origine nommant la langue vulgaire, désignera dès le Moyen Age, grâce à Chrétien de Troyes, certains ouvrages écrits

l’amour le chevalier devient plus preux et grâce à sa prouesse il conquiert l’amour de la dame. Le roman repose sur une dialectique entre l’amour et la chevalerie. Perceval change un peu à l’égard de ces quatre romans. A coté de l’aventure avec Blanchefleur, aventure qui restera chaste, il passe auprès d’elle une nuit chaste. L’aventure avec Banchefleur est très vite remplacée avec l’aventure du graal. C’est à partir de ce roman inachevé, que la littérature du graal va se développer considérablement

molt bien mesurez, lons et grelles et bien endroit ce encharnez, la main ot blanche et tendre et les doiz bien formez que miex nel devisast nus homs tant fust senez, ja mes plus bele dame de voz ielz ne verrez.3 Comme Iseut, Guenièvre ou Blanchefleur, Cléopâtre fait l’objet d’une prosopographie précise. Dans la compilation des Faits des Romains, il existe un passage analogue : Ele estoit la plus bele dame que il covenist a querre. Parmi tot ice elle se fu fardee et apareillie, come cele

AGES By this time, the new romance was in vogue, though not all romances derived from the matière de Bretagne. A tradition of AngloNorman adventure romances, some set in the Orient, grew up largely free of Celtic influence. In France, Floire et Blanchefleur (mid-twelfth century) unfolds in the East, Partonopeu de Blois (c.1182–5) places the ethic of chivalry in a Byzantine setting and the early thirteenthcentury Aucassin et Nicolette, a lighter-toned and lastingly popular tale of young love, ranges

elle serait resté inaudible1. Ainsi, par exemple, c’est par les moyens propres de l’œuvre qu’il est suggéré que Perceval accède au désir adulte, lorsque trois gouttes de sang dans la neige, en plein été, sont pour lui le monogramme du visage de Blanchefleur, auprès de laquelle il n’avait su trouver ni la paix ni le bonheur. Dans la contemplation où il est entraîné, l’absence devient une présence à la fois intime et abstraite. L’épisode, raconté avec une intensité spécifique, figure ainsi un passage