Blancs et noirs

inégalité entre les hommes. Après les grandes découvertes de la Renaissance, les européens s’interrogent sur la notion de « nature humaine » : les noirs sont-ils des êtres humains ? Ont-ils une âme ? En considérant les noirs comme des descendants impies de Noé, on justifie à la fois la colonisation, en invoquant une mission religieuse, et l’exploitation des noirs, en alléguant leur nature inférieure. Le Code noir, à la fin du 17ème siècle, pose ces principes et énumère les différentes sanctions possibles

complètement admiratif devant son frère Dereck, leader d'un groupe néonaziste. Scène 1 : 7:24 – 10:34 Cette scène se trouve au début du film lorsque le frère de Daniel sort de prison. Daniel doit rédiger un devoir sur son frère. L'opposition blanc/noir est très présent dans cette scène. Au début, le gros plan sur le drapeau américain que prend Daniel dans ses mains et le regard qu'il lance à la secrétaire qui est noire montre qu'il y a un malaise entre eux. Le regard de Daniel est supérieur

LES CONDITIONS DE VIES DES ESCLAVES Capture : Les Noirs étaient capturés par leurs semblables – c'est-à-dire – des hommes noirs, eux aussi, qui cherchaient, soit à s'attribuer les mérites et l'argent des Blancs chargés du commerce triangulaire ou pour être en sécurité : ils évitaient ainsi la capture. Les captures avaient lieux dans les villages, où les négociants venaient chercher les esclaves potentiels. Certains se livraient, pensant qu'une vie meilleure les attendaient. Mais la plupart étaient

séparation. Jusqu'en 1960 les noirs vont être séparés des blancs. Elle débute à partir de 1865 avec la création d'une organisation de blancs du Sud d'extrême-droite racistes le Ku Klux Klan. Ils portent des capuches pointues blanches et des vêtements blancs pour ressembler à des fantômes et faire croire aux noirs peu instruits et crédules qu'ils sont les fantômes des soldats sudistes morts au combat pendant la guerre de Sécession. Les membres du KKK terrorisent les noirs et pratiquent le lynchage,

militant non-violent pour les droits civiques des noirs aux Etats-Unis, pour la paix et contre la pauvreté. Il est né à Atlanta le 15 janvier 1929 et est mort le 4 avril 1968 assassiné à Memphis. Pour lutter contre la discrimination, il organisait différentes actions : des marches, des sit-ins, boycotts et des discours. L’oeuvre dans son contexte : Ce discours a été prononcé contre le racisme, la discrimination et pour rendre égaux les noirs tous les Américains et 100 ans après l'abolition de

costumes des comédiens (mais pas seulement, est aussi le scénographe du spectacle). Il a décidé d’habiller les comédiens qu’en noir, blanc et avec, pour certains personnages, quelques touches de rouges. Il a ainsi accordé les couleurs du décor (lui aussi en noir et blanc avec un peu de rouge). J’ai remarqué que la mère, le père et l’oncle ont plus de noir que de blanc sur eux et pas du tout de vêtements ou accessoires rouges. Cela leur donne un air plus sombre. Pour moi, Victor Lopez a voulu les habiller

esclaves noirs déportés de leur pays du temps de la traite atlantique. L'esclavage est aboli en 1777, s'ensuit alors un réel combat des noirs pour l'égalité entre eux et les blancs. 1. L'acquisition des droits des Afro-Américains Après la guerre de Sécession, la ségrégation raciale se met en place, on voit notamment apparaître la crainte du métissage. En 1866 et 1869, le quatorzième et le quinzième amendement de la Constitution américaine déclarent l'égalité entre les blancs et les noirs et l'interdiction

lumière, comme un phare d'espoir, aux millions d'esclaves Noirs, marqués par les flammes d'une injustice foudroyante, et annonçait l'aube joyeuse qui allait mettre fin à la longue nuit de la captivité. Mais un siècle plus tard, nous devons faire le constat tragique que les Noirs ne sont pas encore libres. Un siècle plus tard, la vie des Noirs reste entravée par la ségrégation et enchainée par la discrimination. Un siècle plus tard, les Noirs représentent un ilôt de pauvreté au milieu d'un vaste océan

une ville singulière. Le plus frappant réside dans son hétérogénéité : le quartier d'affaires, les townships (quartiers anciennement réservés aux Noirs) et les banlieues aisées sont juxtaposées sans jamais entrer en contact, si ce n'est par la violence. Il faut souligner que la politique d'apartheid basée sur le développement séparé des Blancs et des Noirs, a profondément marqué les identités des populations et conditionné leurs interactions. Elle a également eu une répercussion spatiale sur le territoire

étaient européens ou d'origine européenne, mis à part un tout petit nombre de propriétaires noirs et amérindiens. Les premiers colons avaient en effet d'abord tenté d'embrigader les indigènes présents sur le territoire avant leur arrivée, mais leur parfaite connaissance des lieux leur permettait aisément de s'enfuir et les maladies amenées par les Européens les décimèrent rapidement. D'autre part, les Blancs miséreux capturés sur le Vieux continent eurent fait l'affaire s'ils ne pouvaient se targuer