Blum Loi 40 Heures

que leur nombre ne recule sous la pression de la loi) 2) mais une identité ouvrière se constitue - fondée sur des conditions de travail très dures. 1. Son travail (en atelier ou en usine) a toujours une composante manuelle : ce travail est plus ou moins pénible physiquement et nerveusement, le risque d'accident est permanent. 2. Une très longue journée de travail : allongement entre 1780 et 1850 (cf travail de nuit) : jusqu’à 15 heures puis baisse ensuite 3. dans l’usine : • l’environnement

6 BANQUE D'EPREUVES EGC 2007 Q 11. Qui occupe les entreprises ? A. Près de deux millions de grévistes B. Près de deux millions de syndicats C. Près de deux millions de sans emplois D. Près de deux millions de cadres Q 12. Qui est réunit par Léon Blum, le 7 juin à l’Hôtel Matignon ? A. Les représentants de CGT et de la CFTC B. Les représentants du patronat et de la FO C. Les représentants du patronat et les ministres D. Les représentants du patronat et de la CGT LOGIQUE PRINCIPE : il s’agit

début du 20ème siècle 1. 1850-1900: une première phase d’industrialisation Durant cette cinquantaine d’année, les conditions des travail étaient extrêmement dures et leur amélioration ne fut pas vraiment flagrante. En effet, avec une moyenne de 65 heures de travail par semaine et aucun jour de repos à part les dimanches, on peut qualifier ces conditions d’ inhumaines. Les employés doivent travailler dans l’incertitude constante car leurs dirigeants ne prennent aucune mesure pour maintenir la sécurité

1936 : les accords Matignon en FranceQuestion 1  : Les accords de Matignon sont signés en juin 1936 par les représentants de la Confédération générale de la production française, ainsi que des travailleurs, en compagnie du socialiste Léon Blum. Ces accords sont mis en place dans un contexte de grèves massives, nommées les « grèves joyeuses » et d’occupations de 9 000 établissements.. Question 2  : Les accords de Matignon contiennent des avancées sociales : une augmentation

voir la généralité des congés payés, leurs indemnités et enfin le traitement des congés payés lors de ma période de stage. Histoire : Dans la nuit du 7 au 8 juin 1936, à Paris, sont signés les accords de Matignon par Léon Blum. Ils instaurent la semaine de 40 heures et les 15 jours de congés payés. Les congés payés minimum obligatoires (15 jours) se sont allongés au XXe siècle par l'action législative : de 2 semaines en 1936, ils passent à 3 en 1956, puis à 4 en 1969 et enfin à 5 semaines

les seules associations ouvrières. Au lendemain de la révolution, la loi le chapelier interdit toute formation ou groupements professionnels et met fin à toute possibilité de syndicats ou de grèves. La liberté syndicale est finalement obtenue le 21 mars 1884 avec la loi de Waldeck-Rousseau. Les députés votent une loi qui instaure une certaine liberté syndicale et d’association professionnelle. À la suite de cette loi est créé la fédération nationale des syndicats (FNS). À Chicago,

l’Angleterre dévalue la livre Sterling à près de 40%, les Etats-Unis quant à eux fixent, en 1934, le dollar à 59% de sa valeur d’origine. D’autres pays comme l’Italie suivent aussi le mouvement. Cependant la France ne veut pas dévaluer le franc, hélas elle y sera obligée en 1936. 2) Les réformes en France et en Allemagne : La France, gouvernée à l’époque par le front populaire, est durement frappée par la crise, bien que plus tard après les Etats-Unis. Léon Blum veut donc la résorber. Et pour cela il

depuis le début du siècle la concurrence avec un modèle industriel capitaliste reposant sur la libre concurrence. Renforcée par la loi Le Chapelier, ce décret permet ainsi de modifier l’économie ainsi que le statut de l’employé. Mais la loi Le Chapelier sera aussi l’occasion d’interdire le droit de grève. 1791 14 juin Promulgation de la loi Le Chapelier La loi Le Chapelier vient renforcer le décret d’Allarde et interdit la formation de tout groupement professionnel. Orienté à l’origine contre

L'origine historique du clivage gauche/droite se trouve dans la position géographique des différents partis politiques dans l’assemblée nationale d'août-septembre 1789. En effet, lors d’un débat les députés devaient décider si le Roi pouvait interdire une loi (veto royal) ou seulement la retarder (veto suspensif). Ceux qui étaient pour le veto royal (majoritairement les députés de l'aristocratie et du clergé) se sont placés à droite de Bailly, Président de l’Assemblée, les autres (majoritairement les députés

sont maintenus jusqu’en 1934 puis la croissance a été ralentie avec une baisse de 10% bénéfices. La classe moyenne indépendante est la plus touchée, la baisse des revenus réels est de 40%, dans le monde des PME la concurrence est ruineuse. Pour les exploitants agricoles la baisse des revenus réels est de 30 à 40%. Le monde des paysans est la victime principale de la crise économique. La forte baisse du revenu des classes moyennes est un poids lourd dans la balance politique et morale de la crise