Bob Dylan

lettres amusantes ou romantiques, une vitesse rapide et un chanteur - guitariste, le rock and roll est la base de toute la musique pop postérieure. Dans les années 1960 le folk-rock ou le chant révolte est apparu, avec des artistes compromis comme Bob Dylan et des lettres contre la guerre et le racisme. Quant à lui, le pop californien exaltait le mode de vie américain, avec les lettres qui parlaient d'amour, les voitures et le surf, et de grands accords vocaux dans un fausset (The Beach Boys). Après

Waters et les Blues Brothers - 1956, Elvis Presley avec la société de consommation - 1962, Bossa de Antonio Carlos Jobin - 1964, Bob Dylan pour la contestation et la contre-culture - 1965, Rolling Stones pour la non-satisfaction - 1967, Beatles « A day in the life » LSD - 1971, « what’s going on ? » Marylin Gay pour la même situation - 1973, « get up stand up » par Bob Marley tout ira bien si ont fume ensemble - 1977, Punk Sex-Ristob - 1982, « the Message » GMF (grande master flash Maryline

composé par Paul Mc Cartney à l’époque des « Quarry men ». Il la retravaillerat plus tard avec l’aide John Lennon. Lennon écrivit le riff d’armonica que l’on retrouve dans la chanson. Il fut influencé par le titre « HEY BABY » de Bruce channel et de Bob Dylan qu’ils écoutaient pendant leurs jeunes âges. «Love Me Do » fut intérpreté pour la première fois en 1962 puis serat inclut a la liste de chansons à présenter à la maison de disques EMI. LA BEATLES MANIA Les BEATLES sont mondialement connuent

magazine musical français mensuel fondé en 1966 par Philippe Koechlin (1938-1996), Robert Baudelet et Jean Tronchot, spécialisé dans le rock au sens large. Le magazine a d'abord paru en juillet 1966 comme un numéro hors-série de Jazz Hot, avec Bob Dylan en couverture. Le no 1, avec Michel Polnareff en couverture, a été publié en novembre 1966, inaugurant une série régulière qui se poursuit encore aujourd'hui. Le mensuel a connu d'emblée un grand succès auprès du public français, en contribuant

appris depuis une ou deux choses par moi-même et modifié certaines choses qu’il m’a enseignées mais tout ce que j’ai appris de l’écriture de comédie, je l’ai appris, sans équivoque, de luiNote 2 ». Il devient ensuite gagman pour des comiques comme Bob Hope, Buddy Hackett, ou Miles Bennett, puis rédacteur du show télévisé de Gary Moore (1957). Naturellement doué pour la comédie, il entame en 1960, une nouvelle carrière dans le stand-up (les albums Standup Comic et Nightclub Years 1964-1968 contiennent

Les héritiers de la Beat Generation Un nouveau contexte mondial L’arrivée de Kennedy au pouvoir engendre un changement dans l’Amérique et beaucoup moins de pessimisme de la part des jeunes. La poésie est remplacée par des Protest-Song grâce à Bob Dylan et Joan Baez. Le beat système se dissout dans l’Amérique, sa culture et son langage se sont imprégnés dans les mœurs des personnes qui le réfutaient avant. Les beats originaux ont changé : - Kerouac sombre dans l’alcool et se réfugie chez sa mère

son corps et de son destin : Brigitte Bardot, Noëlle Noblecourt … en sont les symboles Les jeunes développent leur propre culture musique pop est révolutionné par les Beatles. A la radio, nouvelle technologie, on entend Michel Polnareff, Adamo, Bob Dylan. A la TV, on voit des séries révolutionnaires telles que « Ma sorcière bien aimé », « La Grande Vadrouille », … Un vent de Liberté souffle sur les peuples et il sème sur son passage guerres, grèves,… Mais il annonce tout de même des temps nouveaux

œuvres, le thème d’injustice. Exemples : -Victor Hugo, dans Mélancolia, évoque le travail pénible des enfants. -Kery James, chanteur, dans Avec le Cœur et la Raison, dénonce aussi l’injustice. 2. Les inégalités dans le monde. Exemples : -Bob Dylan, dans ses premières chansons, aborde les questions sociales, en attaquant les inégalités. -Victor Hugo dénonce les horreurs de la guerre dans son poème L’enfant. 3. Ils sont donc engages. Exemples : -Dans Le Déserteur, Boris Vian s’adresse

Blanket) et sa mère Katherine dépend en grande partie des ventes des Beatles. À son décès, le 25 juin dernier, le chanteur était criblé de dettes mais possédait un trésor : 50 % du catalogue musical des Fab Four et de bien d'autres artistes, de Bob Dylan à Lady Gaga. En 1985, la star était devenue propriétaire des droits d'édition des Beatles pour 47,5 millions de dollars, au nez et à la barbe de Paul McCartney, qui avait conseillé à son «ami» d'investir dans un catalogue éditorial sans penser qu'il

Davis, Bill Evans et John Coltrane. Les circonstances n'avaient toutefois pas permis à mes chansons de rencontrer le succès, hors du cercle désormais caduc des boîtes à chansons. Il me fallait chercher ailleurs. C'est en étudiant les paroles de Bob Dylan, de Joni Mitchell, de James Taylor et de Léonard Cohen que je suis enfin parvenu à trouver un équilibre entre la perfection de Louis Aragon et la simplicité de Clémence Desrochers, sur des musiques où je ne cherchais plus désormais à faire état de