Bob Kane

partageaient la musique qu'ils connaissaient en s'échangeant des cassettes. Le problème de l'enregistrement est rapidement résolu car Lars Ulrich devient ami avec un certain Kenny Kane, propriétaire d'une maison de disques. Ce dernier avait vu Metallica en concert et était prêt à faire un enregistrement47: « Un mec du nom de Kenny Kane a rassemblé un peu d'argent pour qu'on puisse enregistrer aux Chateau East Studios à Tustin, en Californie. On avait écrit quelques chansons entre-temps [et on continuait à

soucis réel de faire tenir le collant qui descendait s’il le portait seul. En définitive, il en résulte qu’en superposant deux couches, on peut en tirer trois: avec la couche qu’il tient pour faire ça, c’est bien trois couches qu’il a! En tout cas, Bob Kane et Bill Finger, les créateurs de Batman ont quand même fait preuve de beaucoup d’audace à l’image de celui qui nous a proposé ce sujet puisque Batman en lui même est déjà un paradoxe: qui considère comme un super-héros quelqu’un qui n’a pas de super-pouvoirs

analogies climatiques avec la Sibérie– n’encourageant guère les sorties. Ils se nourrissent de cartoons de Tex Avery, de serials et autres séries B diffusée à profusion par le petit écran depuis la fin de l’âge d’or hollywoodien, des films où s’illustrent Bob Hope, Tony Curtis et Jerry Lewis, notamment Boeing Boeing qui reste l’un de leurs films favoris. Les frères Coen affectionnent également les stars des premiers longs métrages de Disney, Don Murray, Dean Jones Jim Hutton etc. : des acteurs plutôt que

Première apparition de Superman, par Jerry Siegel et Joe Shuster, dans Action Comics #1 (DC), qui fera entrer les comics en général et les super héros en particulier dans une période qualifiée « d’âge d’or ». 1939 Premier apparition de Batman, par Bob Kane et Bill Finger, dans Detective Comics #27. Création par Martin Goodman de Timely Comics (future Atlas dans les années cinquante, puis Marvel) qui lance son premier titre, Marvel Comics #1 (64 pages), contenant 7 histoires (dont Namor le prince

nombre de vente aussi. La bande dessinée quotidienne appelée « Comic Strip » en raison de son format horizontal (« strip » veut dire bande en anglais) fait ses premiers pas en 1904 dans le journal le « Chicago American » du magnat Hearst (le « Citizen Kane » d’Orson Wells) mais ne connaîtra réellement le succès qu’à partir de novembre 1907 dans le « San Francisco Examiner » grâce au dessinateur Bud Fischer qui créa le personnage « Augustus Mutt ». A partir de 1920, le Comic Strip est de plus en plus

mais surtout, enfant né étrangement comme à l’insu de sa mère, certainement un être à part, rompant avec la __________ 1. Gotham City est l’archétype de la ville industrielle et polluée, « glauque et gothique », que l’on retrouve dans la BD de Bob Kane, le créateur de Batman, et les films que celle-ci a inspirés, notamment l’adaptation de Tim Burton, en 1989. Jean-Claude Mourlevat, L’Enfant Océan,  2002, Éditions Pocket Jeunesse, département Univers Poche (première édition 1999), Pocket Junior

Love 3:52 Bob Marley Legend Reggae 8 No Woman No Cry 7:08 Bob Marley Legend Reggae 5 Could You Be Loved 3:55 Bob Marley Legend Reggae 8 Three Little Birds 3:00 Bob Marley Legend Reggae 8 Buffalo Soldier 4:17 Bob Marley Legend Reggae 138 Get Up Stand Up 3:17 Bob Marley Legend Reggae 47 Stir It Up 5:33 Bob Marley Legend Reggae 20 One Love/People Get Ready 2:52 Bob Marley Legend Reggae 4 I Shot The Sheriff 4:41 Bob Marley Legend Reggae 5 Waiting In Vain 4:16 Bob Marley Legend

Blackmore's Night Billets Blaudzun Billets Blazin' Fiddles Billets Blessed Reggae Festival Billets Blessthefall Billets Blick Bassy Billets Blink 182 Billets Blof Billets Blondie Billets Blue Balls Festival Billets Bob Dylan Billets Bob Geldof Billets Bob Sinclar Billets Bobby McFerrin Billets Bombay Bicycle Club Billets Bon Jovi Billets Booba Billets Boris Billets Bospop Festival Billets Boss Billets Bosse Billets Boyce Avenue Billets Boysetsfire Billets Boyzone

cinématographie québécoise, les films canadiens perdent toute identité nationale (La Guerre du feu, Jean-Jacques Annaud, 1981 ;Louisiane, Philippe de Broca, 1984), lorsqu’ils ne se fondent pas purement et simplement dans la production américaine (Porky’s, Bob Clark, 1982). La législation est modifiée en 1986 pour décourager de tels effets. Il est trop tard déjà et la colonisation du cinéma canadien par son grand voisin nord-américain se poursuivra, toujours justifiée par les coûts de revient très inférieurs

biens quand ils sont évaluables en argent (cf. chapitre précédent : définition du bien). Dans l’exemple des produits dérivés Batman, il y a l’objet ; mais ce qui lui donne de la valeur, c’est la représentation du personnage célèbre inventée par Bob Kane et sur lequel son créateur a des droits. Ces droits deviennent des biens à partir du moment où ils sont évaluables en argent (mis sur le marché d’une manière ou d’une autre). Conclusion : La réflexion autour de ces photos fait apparaître une première