Boche

réparations et l'assurance de la sécurité de la frontière franco-allemande, l’annexion de la rive gauche du Rhin et de lourdes indemnités matérielles et financières. Poussé par une opinion publique traumatisée par les destructions de la guerre (« le boche doit payer »), Clemenceau a eu envers l'Allemagne et l'Autriche une attitude très intransigeante. Finalement la plupart des priorité seront accepté par L’Allemagne. VI ) Conclusion Georges Clemenceau était un grand homme symbole du patriotisme

protagonistes sont réunis dans la boutique, objet des convoitises. Ils font ripaille dans une atmosphère de laisser-aller général, de ruine prochaine. Gervaise veut s'assurer un prestige, un rang. Elle est en situation de pénurie et dilapide. Les rivaux (les Boche, les Lorilleux, le quartier) sont défiés au prix de la dépense la plus ruineuse. A partir de là, Gervaise se laisse aller, sa personnalité s'effrite, elle est la proie de son milieu, hommes et choses. "Gervaise doit être le personnage principal

après l’autre l.10 ; l.13, pour marquer l’approfondissement de la misère. -    L. 15, focalisation sur un événement récurrent : le paiement du terme, qui occupe toute la fin du. -  A l’intérieur de cet événement, évocation de scènes successives : M. Boche l.18, M. Marescot l.20 et finalement : deux scènes qui marquent les conséquences de la misère : la femme qui se prostitue et l’ouvrier qui vole. Il y a ainsi une gradation dans l’évocation de la misère qui passe par un resserrement de la focalisation

restaient béants et stupides » . Ils sont totalement ignorants , ils ne voient pas la beauté et l'intérêt des œuvres , ils s'esclaffent, comparent les œuvres à des membres de leur famille ; « il trouva une ressemblance avec une de ses tantes » «  Boche et Bibi-la-grillade ricanaient en se montrant du coin de l’œil les femmes nues » «  la chevelure jaune pareille à la sienne ». A force de regarder les œuvres ,ils sont fatigués, ils ont mal ; « ça leur cassait le cou » . Ils sont tous ridicules.

Il apprend la mort de sa mère biologique à ses 8 ans, ce qui ne l'affecte pas plus que ça. Il jure de ne plus contrarier sa mère, puisqu'il lui avait soutenu qu'on pouvait faire sauter un pont avec une grenade, et sa mère l'avait traité de "petit Boche". Il réussit son concours d'entrée à l'école d'Aix en Provence, devient un petit militaire et est indigné de devoir apprendre l'allemand, langue de l'ennemi, à l'école. Il veut correspondre avec sa mère mais se rend compte de son manque cruel de vocabulaire

« les dîners par coeur », puis par le froid « la petite Sibérie de leur cambuse »; « ce gredin de décembre »; « il glaçait la pièce  », et la menace de l’expulsion; «  ce qui les exterminait, c’était pas dessustout de payer leur terme »; « le père Boche présentait la quittance »; « M. Marescot (…) toujours le mot d’expulsion à la bouche », ces éléments amènent le lecteur à avoir de la pitié pour les Coupeau sur lesquels le sort semble s’acharner. Le tableau pathétique ne s’applique pas seulement à

 le  Radeau  de  la   Méduse   ;   et   il   leur   expliqua   le   sujet.   Tous,   saisis,   immobiles,   ne   disaient   rien.   Quand   on   se   remit   à   marcher,  Boche  résuma  le  sentiment  général  :  c'était  tapé.   Dans  la  galerie  d'Apollon,  le  parquet  surtout  émerveilla  la  société,  un  parquet  luisant,  clair  comme  un   miroir

comportement désagréable de sa belle-sœur, Lorilleux. Gervaise s'était fait une autre idée de son mariage. Et pour couronner le tout, elle rencontre à l'issue du repas le père Bazouge, le croque-mort du quartier. Ensuite en amitié : Ses relations avec les Boche, concierges du même immeuble où vit Gervaise, et Goujet, un ancien voisin qui s’amourache d'elle, se terminent mal alors qu'elle les appréciait. Puis, dans son travail : Un des plus grands rêves de Gervaise était de s'établir blanchisseuse, et elle

entouré par la souffrance, la mort, la douleur (abattoir et hôpital) - La façade « lie de vin » : allusion explicite à l’alcool - La visite de Coupeau : annonce que Gervaise va se mettre en ménage avec Coupeau - La première conversation de Mme Boche : dettes, relations sexuelles déplacées, commérages - La description du Lavoir : beaucoup de vapeur, grosses machines aux caractéristiques humaines, la machine va écraser et remplacer l’homme 2. Les caractéristiques naturalistes : - Toutes les infos

l’émotion que cela lui a procuré lorsqu’ils l’ont remercié pour tout ce qu’il avait fait peur eux. « D’ores et déjà je me sens heureux d’avoir un peu, un tout petit peu, contribué à la victoire; mon rêve se réalise. Hier soir, dans le quartier boche où, loin du front, nous nous reposons, mes hommes et moi, j’ai eu bien grande joie; mes poilus m’ont donné un: satisfecit; ils m’ont dit être contents de moi en termes profondément troublants qui -un peu plus- me laissait venir les larmes aux yeux »