Boche

« phrasé » de la jeune femme « C'était bête de ne pas écrire les sujets sur les cadres » le présentatif donne un aspect simplistes, idiolecte enfantin. Elle interroge Les Noces de cana, clin d’œil évident à ses propres noces.Coupeau et ses acolytes Boche et BiBi La Grillade comparent les œuvres à leur univers de référence restreint. Cela se borne à des comparaisons avec des membres de leur famille( Pour la Joconde « lui trouva une ressemblance avec sa tante »). Leurs remarques suggèrent une naïveté

Gervaise. Son métier est d’abord ouvrier tanneur et puis chapelier. Il est dépensier et infidèle. Il quitte la province avec Gervaise pour s’installer à Paris où il ne réussit pas et quitte Gervaise. Il est le père d’Etienne et Claude. * Mme Boche : concierge de la maison ouvrière habitée au début par les Lantier. Amie de Gervaise. * Goujet : forgeron et voisin de Coupeau et Gervaise, habite avec sa mère et est secrètement amoureux de Gervaise. Il va prêter de l’argent à Gervaise pour

largesses au peuple financées par les Réparations, qui avaient juré sur les tombes des soldats que l’ère des sacrifices humains et matériels [33], imposés pendant quatre ans par un bourrage de crâne sans précédent, était bel et bien finie, bref que le Boche paierait. Et ce courant apparut très vite. La première salve est tirée en 1920. Paraît aux Editions Clarté, un opuscule de 160 pages intitulé : Poincaré a-t-il voulu la guerre ?, avec une préface de Henri Barbusse. L’auteur Fernand Gouttenoire de

production de livres pour enfants ayant pour sujet la guerre se développe fortement. Par exemple avec un conte, celui du petit chaperon rouge. A travers ce livre pour enfants, c'est la vision de l'ennemi qui est proposé : l'Allemend est le loup, c'est le Boche et la grand mère représente la paix. De plus, à l'école, la majorité des matières enseignées intégrent des événement liés à la guerre: l'histoire, la géographie, le français et même le calcul ! Les outils pédagogiques sont au service de cette

est différent, puisqu'elle est allemande. Dans les années 50, être une allemande en France remuait des souvenirs non désirés, comme le montre la réaction de la mère de Raphaël lorsqu'elle apprend que son fils va se marier avec une allemande, une «boche». Mais la force du récit est justement de ne jamais juger ses personnages. Aussi on comprend au fur et à mesure l'enfer que Saffie et sa famille ont vécu, on découvre la guerre d'un point de vue différent, que l'on n'a pas l'habitude de lire. En

repos, les hommes repartent au front. Volpatte les rejoins et leur montre sa colère envers les planqués de l’arrière. Le narrateur va voir l’endroit où un déserteur s’est fait fusiller et Poterloo en profite pour lui raconter qu’il s’est déguisé en Boche pour aller voir sa femme derrière les lignes ennemies. Il est tué peu après par un obus. Un jour en 1ère ligne, pour trouver du feu, 4 soldats se trompent de tranchées et se retrouvent du coté allemand. Ils en tuent un et lui prennent des allumettes

Introduction Les relations franco-allemandes de l'Entre-deux-guerres peuvent se résumer par une haine aiguë et réciproque de la nation voisine. Les horreurs de la Grande Guerre imputées aux troupes allemandes ont conforté les Français dans leur haine du « Boche ». L'humiliation que la population allemande ressent à cause des restrictions imposées à la nation par le Traité de Versailles, ou selon les Allemands « Diktat » de Versailles, exacerbe le sentiment anti-français. Ce ressentiment se déchaîne au

Bibi-la-Grillade : ouvrier tanneur, alcoolique : il est le témoin de Coupeau pour son mariage.  Bec-Salé dit Boit-Sans-Soif : forgeron travaillant dans la même forge que Goujet ; alcoolique.  Mes-Bottes : gros mangeur, compagnon de boisson de Coupeau.  Les Boche : concierges de la maison ouvrière de la rue de Goutte d'Or.  Le père Bazouge : le croque-morts qui enterrera Gervaise. Habitant dans l'immeuble des Lorilleux, il est en quasi-permanence ivre, ne respecte que rarement le protocole et effraie Gervaise

des fesses. Clémence, dont le tempérament sensuel a été maintes fois souligné finit le croupion (on notera la sensualité de l’allitération en s dans " Cependant, Clémence achevait son croupion, le suçait avec un gloussement des lèvres ") tandis que Boche lui susurre des indécences. L’acte du manger n’est donc pas innocent et l’on voit les femmes se ruer sur la carcasse de l’oie tandis que madame Coupeau lui arrache le cou. La société ici réunie ne mange pas sans arrière-pensée et la critique a justement

rituels quotidiens. Enfin il y a le culte de guerre donc la diabolisation de l’ennemi issu de la propagande massive, l’état désinforme la population avec le bourrage de crâne. La propagande diabolise l’ennemis ce qui fait que le poilu lutte contre le boche qu’il doit détruire et ce pour le front comme pour l’arrière et fait croire aux soldats qu’ils participent à une guerre juste. Le fort lien avec l’arrière aidait les soldats à tenir. Les soldats avaient des liens importants avec l’arrière c’est pour