Boche

groupes nationaux développent le mythe du « coup de poignard dans le dos », lavant l'armée des responsabilité de la défaite. En France: les nationalistes derrière Maurice Barrès ou Charles Maurras, entretiennet la peur du bolchévique, la haine du « Boche » et la colère contre les Anglais accusés de prendre le parti de l'Allemagne. En Angleterre: l'idéologie nationaliste, plus impériale, plus coloniale, s'en prend aux ambitions navales et économiques des Etats-Unis et aux prétentions françaises au

groupes nationaux développent le mythe du « coup de poignard dans le dos », lavant l'armée des responsabilité de la défaite. En France: les nationalistes derrière Maurice Barrès ou Charles Maurras, entretiennet la peur du bolchévique, la haine du « Boche » et la colère contre les Anglais accusés de prendre le parti de l'Allemagne. En Angleterre: l'idéologie nationaliste, plus impériale, plus coloniale, s'en prend aux ambitions navales et économiques des Etats-Unis et aux prétentions françaises au

entreprises étant acculées à la faillite. 1923 Hyperinflation de la République de Weimar Taux d'intérêt En Allemagne, l'hyper-inflation atteint son apogée en novembre 1923. Sa cause immédiate est l'exigence française de réparations de guerre (« le Boche paiera »). L'armée française occupe la Ruhr comme gage, paralysant la première région industrielle du pays. En quelques mois, les denrées s'achètent en milliards de marks et il faut une brouette pour transporter les billets. La crise monétaire s'aggrave

incarnent une possibilité de bonheur, de rachat (Goujet qui, personnage si différent des autres, est vrai et émouvant), d'autres constituent des spectateurs apitoyés mais impuissants (Mme Goujet) ou indifférents, voire hostiles (les Lorilleux, les Boche, Mme Lerat). Sur dix-huit années d'existence, on assiste à la dégradation physique et morale de Gervaise, de la jeune femme déjà marquée par l'hérédité mais honnête et digne à une créature sans âge, abîmée par la misère et l'incompréhension, sombrant

jardins verdoyants, encadrées de feuillage et couronnées de lierre, elles se donnaient encore des airs de charmille pour rassurer les copains qui partaient. Puis, à l’écart, dans un champ nu, une croix noire, toute seule, avec un calot gris. — Un Boche ! cria quelqu’un. Et tous les nouveaux se bousculèrent pour regarder : c’était le premier qu’ils voyaient. ⁂ Dans un bourdonnement assourdi de voix étouffées, de cliquetis et de pas fourbus, la compagnie entra dans le village noyé d’ombre. Pas

selon Hitler de la « pollution et de la négrification du pur sang français »14. Ce thème est repris en France par les « négrophobes » contre les « indigénophiles » mais ces « braves tirailleurs » sacrifient leur vie contre l'ennemie héréditaire, le boche, si bien que Blaise Diagne, Haut Commissaire du gouvernement pour le recrutement des troupes noires, essaye de convaincre les habitants de l'AOF et de l'AEF de venir se battre en France tout en leur promettant la reconnaissance de l'égalité civique

d’Occidentaux sont passés sous les armes entre 1914 et 1918. Convaincus de la justesse de leur combat, la défense de la patrie, ils sont stimulés par une propagande qui exacerbe le nationalisme et diabolise l’ennemi : le « poilu » français lutte contre le « Boche » allemand. Les soldats enlisés dans les tranchées subissent une violence d’un genre nouveau. Les conditions d’existence dans les tranchées sont très difficiles : froid, boue, difficultés du ravitaillement. La guerre d’usure est rythmée par les montées

utilisés journaux pour diffuser de la propagande militaire et des communiqués. La presse devint une arme de propagande et de patriotisme, glorifiant le courage du soldat français et renforçant l’image sauvage et barbare de l’ennemi allemand, le « boche ». Progressivement monta la notion de bourrage de crâne, et de crise de confiance à l’égard de la presse, en parallèle à la chute de l’économie de la presse : pénurie de papier et d’ouvriers, augmentation des prix. L’élan qui avait porté la presse

incarnent une possibilité de bonheur, de rachat (Goujet qui, personnage si différent des autres, est vrai et émouvant), d'autres constituent des spectateurs apitoyés mais impuissants (Mme Goujet) ou indifférents, voire hostiles (les Lorilleux, les Boche, Mme Lerat). Sur dix-huit années d'existence, on assiste à la dégradation physique et morale de Gervaise, de la jeune femme déjà marquée par l'hérédité mais honnête et digne à une créature sans âge, abîmée par la misère et l'incompréhension, sombrant

une paix blanche (sans annexion, sans conquêtes), en bref revenir à 1914. — L’Allemagne n’a pas répondu, les protestants n’ont pas d’ordre à recevoir du pape et elle ne souhaite pas restituer ce qu’elle a conquis. — La France a censuré le pape « boche » : 1 million de mort pour ne pas reprendre l’Alsace-Lorraine… — les Anglais ne sont pas concernés (Anglicisme) — Les USA n’ont pas répondu (Programme pas recevable) — L’Autriche-Hongrie entend étudier la question, mais sans résultats… 2.