1917, La bataille pour la terre du milieu [la première guerre mondiale]
Introduction : Un écrivain blessé au début de 1917 se lance dans l’écriture d’un roman-fleuve dont les principaux titres sont Silmarillon, les frères d’Hurin, la trilogie de la Guerre de l’Anneau qui comprend la bataille des terres du milieu. Ce roman d’Heroic-fantasy est une transposition littéraire de la géopolitique anglo-saxonne et allemande, c’est-à-dire une conception des rapports de force dans le Monde ; ici, le combat pour l’espace vital qui oppose les peuples de la Terre du milieu aux peuples des mers, épris de liberté. Au même moment les anglo-saxons se rendent compte de la nécessaire solidarité qui unit les rives de l’Atlantique, celle de l’Anneau : qui contrôle les mers, contrôle les terres. 1917 est justement l’année du doute. 7.5 millions de morts déjà, sans savoir comment en finir avec la guerre. Toutes les tactiques ont échoué. Aucune solution ne s’impose.
1914 : France (la Marne (AllemagneTannenberg(Russie
1915 : FranceArbric-ChampAllemagneRussie
1916 : FranceVerdun AllemagneOffensive Brussika (Russie
1917 : FranceVerdunAllemagne(Russie (Révolution 1 et 2)
La logique de guerre est allemande. C’est celle des 2 fronts. L’armée allemande peut basculer 90 divisions d'est en ouest en faisant jouer un réseau ferroviaire étiré d’un front à l’autre à cet effet. L’Allemagne ne pouvait attaquer qu’un adversaire à la fois. Il faut dire aussi que le « rouleau compresseur » russe n’a pas fonctionné et que chacun des alliés rejette la faute sur l’autre. Les Anglais regardent les Français comme des bouchers irresponsables qui gaspillent des vies humaines. Les Français, eux, regardent les Anglais comme des égoïstes qui s’économisent dès qu’il faut faire des efforts. Les Russes passent pour des incapables, mais personne à l’Ouest ne veut se demander ce que c’est qu’un moujik en uniforme qui n’a pas toujours de fusil (1/5 de l’effectif… sinon un bâton !) peut faire… Les rapports entre