Bombardement Barbusse

s’engage au parti communiste qu’il quitte en 1937. Sous l’influence du parti, il crée une troupe de théâtre : le théâtre du travail. Son engagement contre le fascisme se manifeste par sa participation au mouvement Amsterdam-Pleyel, fondé par Henri Barbusse et Romain Rolland. En 1936, il est engagé comme acteur dans une troupe théâtrale. En 1938, il devient journaliste en Algérie. L’année suivante, il tente de s’engager dans l’armée mais son état de santé le recalera. En 1940, le journal qui l’emploie

France. Je ne peux m’empêcher de consulter chaque les grands quotidiens nationaux, de m’interroger pour la millième fois sur le sens de tout ça. Cupidité ? Inconscience ? Bêtise ? Peut-être un peu de tout. Mon dernier livre a été « Le Feu » de Henri Barbusse, et chacun de ces mots a résonné en moi comme une expérience universelle, les mêmes émotions, les mêmes souffrances d’un individu au contact de quelque chose d’inhumain qui le dépasse. Peut-être la lecture sert-elle aussi à ça, partager, décrire

protagoniste. Tous les moyens sont bons pour faciliter le processus d’identification au héros. L’emploi de la première personne apporte au lecteur une dimension de proximité plus forte entre eux et l’effet est immédiat. Par exemple dans Le Feu de Henri Barbusse, cet emploi du « je » ajouté au présent d’énonciation plonge instantanément le lecteur dans l’action et le fait témoigner de la scène de guerre qu’il voit à travers le regard du soldat. On ira même jusqu’à qualifier cette vision du monde comme vision

part en éclats : les pavés, les bâtiments…. On ne peut s’empêcher de penser à Henri Barbusse dans « le Feu » qui parle « du souffle de l’explosion »et « des grandes étoiles de débris qui se forme dans l’air…. » Du centre tourne une, explosion en spiral, très colorés. « on voit , on sent passer près de la tête des éclats avec des cri de fer rouge … » Cet peinture est le reflet exacte de ce qu’écrit Barbusse .On ressent de la violence de cet obus et de cette grande guerre.

la boue et des rats. Parfois les tranchées s’écroulaient. Les poux pullulent dans les tranchées des deux armées. Les poilus comptent les poux qu’ils débusquent dans les plis de leur chemise, repérant les plus agressifs, à tête rouge.(3) Henri Barbusse les compare à une « mie de pain mécanique » qui court dans la paille. (2) Le soldat Tjaden les fait griller dans le couvercle d’une boîte de cirage, placée au-dessus d’une bougie allumée.(4) Les cas graves sont hospitalisés pour épouillage : « leurs

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Sujet II : commentaire littéraire Henri Barbusse, Le Feu (1916) I- Questions d'observation 1) Le pronom « on » ici désigne l'ensemble des hommes présents sur le champ de bataille : indistinctement les alliés et les ennemis du camp du narrateur. Le « on ne tire pas » signifie « personne ne tire ». Dans l'expression « on ira voir » le on désigne les hommes du groupe auquel appartient le narrateur. 2) Les négations sont nombreuses dans le texte : « pas un bruit, on ne tire

1) indications de lieu relevées au début du texte : - « Sur toute le largeur de le descente…. » - « En ligne,de gauche à droite …des explosifs sortent de terre » A partir de la ligne 4, il n’y a plus d’indication de lieu car Henri Barbusse, journaliste utilise des images pour décrire la scène de guerre à laquelle il assiste. Il décrit ensuite ce qui vit ou ressent le soldat au moment du combat dans les tranchées. 2) Verbes d’action qui ont pour sujet : Les soldats

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