Bon Sauvage Mauvais Civilisé

des deux auteurs précédents. Il est le seul à attribuer une étiquette positive à l’état de nature. La première critique que lance Rousseau est que ces derniers ont calqué les problèmes de la société à l’état de nature. « Ils parlaient de l’homme sauvage, et ils peignaient l’homme civil »[5]. L’auteur distingue l’inégalité naturelle caractérisant l’état de nature tout en étant sans conséquence de l’inégalité politique, instituée dans la vie en société et qui a une grande incidence sur celle-ci. L’homme

d’insensibilité, de cruauté » : gradation descendante → le rythme ternaire nous enfonce dans une vision très macabre de la société« aucune société n’est foncièrement bonne ; mais aucune n’est absolument mauvaise » : parallélisme + adjectifs « bon » et « mauvais » → comparaison des sociétés entre elles, destruction de l’opinion manichéenne b) Présentation de la démarche de Lévi-Strauss« Comment évaluer cette dose ? L’enquête ethnographique y parvient. » → jeu de question –

libre de se donner la mort. Mais pourtant, Durkheim pose l’hypothèse suivante, il suppose que l’homme possède un Etat dichotomique, séparé entre l’Etat physique animal, et l’Etat social, caractéristique de l’homme civilisé. Ainsi, pour sortir du simple Etat instinctif de bête sauvage, l’homme tend à se regrouper, dans le but d’accéder à des desseins plus nobles, des buts collectifs, auxquels il céderait ses intérêts privés. Cette hypothèse de Durkheim rejoint la pensée de Tocqueville selon laquelle

voyage de Bougainville, qui est un dialogue entre A et B c’est un conte philosophique. Cette œuvre est conçue comme un dialogue opposant deux façons de penser, de vivre. Il soulève également le problème du colonialisme et célèbre la vie sauvage par rapport à l'homme civilisé qui est ici dénigré. Puis Diderot souligne l'opposition entre deux nations et les qualités des tahitiens devant les défauts de la culture blanche. Pour cela il intègre des personnages fictifs dans son texte pour faire passer sa thèse

ligne. Il ne pouvait pas dire qu’il allait critiquer Pascal donc il a dit « ne me comparez -> Ezéchias »Ezéchias a régné sur le royaume de Judas, et il aurait bruler des livres de Salomon parce que ceux que Ezéchias appelle les simples faisaient mauvais usage de ces livres. C’est une référence au livre sacré. Voltaire dit qu’il n’est pas comme Ezéchias. Voltaire fait mention de l’histoire de la Bible pour servir son propos. Voltaire se mets les croyants dans la poche en utilisant un passage de la

................................. 199 Voltaire, Candide E L’Eldorado ......................................................................................................... 200 D. Diderot, Supplément au Voyage de Bougainville E La figure du « bon sauvage » .............. 201 187 Lecture d’une œuvre Voltaire, Zadig ............................................................................................ 203 Extraits Le Borgne E D’un héros parfait ....................................

Nous avons respecté notre image en toi. Laisse nous nos mœurs ; elles sont plus sages et plus honnêtes que les tiennes ; nous ne voulons point troquer ce que tu appelles notre ignorance, contre tes inutiles lumières. Tout ce qui nous est nécessaire et bon, nous le possédons. Sommes-nous dignes de mépris parce que nous n’avons pas su nous faire des besoins superflus ? Lorsque nous avons faim, nous avons de quoi manger ; lorsque nous avons froid, nous avons de quoi nous vêtir. Tu es entré dans nos cabanes

antique. En effet, c’est un jeu entre la pureté et l’impureté, le bon et le mauvais. La femme est considérée dans la Grèce antique comme un personne d’apparat, qui doit se montrer lors des cérémonies, qui doit mettre en scène son corps et sa beauté car elle est un «don des dieux», comme nous dis Jean-Pierre Vernant, la femme «est image et semblance». Mais à l’inverse, la femme peut être cachée et méprisée par l’impureté et le mauvais qu’elle cache en elle. Comme nous le fait savoir l’auteur lors

ajoutée à la modération et au zèle pour la postérité de l'Etat sont des gages d'espoir de "l'éternelle tranquilité". Les femmes apportent de nombreux éléments pour l'auteur : du bonheur, de la douceur et de la sagesse qui maintiennent paix et bonnes moeurs... De plus, le sort de ce sexe est de gouverner l'autre. Ainsi, le puvoir doit être exercé au sein de l'union conjugale pour la "gloire de l'Etat et le bonheur public". Pour Rousseau, les femmes doivent gouverner à Genève comme elles le faisaient

Meilleur des Mondes. Lénina ayant accepté la proposition de Bernard, ils se retrouvent au Nouveau-Mexique. Mais, Marx apprend qu’il va être transféré en Islande à cause de son comportement. En dépit de cela, Lénina et Bernard découvrent la nature sauvage, la misère, la maladie et la reproduction vivipare. Ils sont stupéfaits et choqués, et éprouvent un certain dégoût à la vision de la vieillesse. Ils y rencontrent alors John, le fils du D.I.C. et Linda restée accidentellement dans la Réserve lors