Bonfons Cruchot

faisant croire à sa femme, à sa fille Eugénie, et à sa servante Nanon qu’ils ne sont pas riches. Les habitants de Saumur, où chacun estime la fortune du père Grandet, voient en Eugénie Grandet le plus beau parti de la ville, et deux notables (les Cruchot et les des Grassins) la courtisent ardemment. Celle-ci, d’une innocence réelle et d'une grande naïveté, ne se doute de rien, jusqu’au jour où arrive son cousin Charles Grandet, fils du frère du père Grandet. Charles est envoyé à

mais en dépense le strict minimum, rationnant même toute la famille, tant il est avare. A l’occasion des 23 ans d’Eugénie, en novembre 1819, la famille Grandet invite les familles Cruchot et des Grassins, lesquelles ont l’intention de marier leur fils respectif à Eugénie ; une rivalité entre le président Cruchot de Bonfons et Adolphe des Grassins s’installe et se fait ressentir en permanence. Un inconnu sonne alors à la porte : c’est Charles Grandet, le cousin d’Eugénie, un élégant Parisien de 22 ans

petit ville de province ou Félix Grandet qui 'est le Père Grandet qui est très avare, est à la tête d'une très très grosse fortune. En novembre 1819 il y a une fête pour les 23ans d'Eugénie qui est la fille du Père Grandet.La famille Grassins et les Cruchot sont deux famille qui se disputes, qui sont rivales, pour qu'un de leurs fils se marient a Eugénie.Dans cette fête, Charles qui est le cousin d'Eugénie et venu de Paris, il apporte une lettre pour le Père Grandet. Il apprend que sont frère est poursuivi

ne l'intéresse pas. Mais, insensiblement, son père l'amène à s'intéresser à ses possessions, à la gestion de sa fortune, et lorsqu'elle reçoit une lettre de Charles qui lui annonce son mariage, elle décide d'épouser Bonfons Cruchot qui est devenu monsieur le président Cruchot de Bonfons. Veuve à trente trois ans, Eugénie est à la tête d'une immense fortune et le marquis de Froidfond lui fait la cour. Dans une deuxième version d'Eugénie Grandet, Balzac en fait effectivement une marquise, femme vertueuse

sa fortune visible. Quant à ses capitaux, deux seules personnes pouvaient vaguement en présumer l'importance : l'une était monsieur Cruchot, notaire chargé des placements usuraires de monsieur Grandet ; l'autre, monsieur des Grassins, le plus riche banquier de Saumur, aux bénéfices duquel le vigneron participait à sa convenance et secrètement. Quoique le vieux Cruchot et monsieur des Grassins possédassent cette profonde discrétion qui engendre en province la confiance et la fortune, ils témoignaient

quotidien son avarice sordide, ses colères de despote. Les habitants de Saumur, où chacun estime la fortune du père Grandet, voient en Eugénie Grandet le plus beau parti de la ville. Le 15 novembre 1819, Eugénie a 23 ans. Les Grassins et les Cruchot, deux familles rivales qui espèrent marier l’un de leurs fils avec Eugénie, y sont conviés. Charles, un cousin d’Eugénie venu de Paris, arrive chez les Grandet en apportant une lettre destinée à son oncle. Pendant que Félix Grandet apprend en lisant

Félix Grandet (le Père Grandet), personnage d’une avarice extraordinaire, est à la tête d’une fortune colossale. Un jour de novembre 1819, une fête est organisée pour les vingt-trois ans d’Eugénie (la fille du père Grandet). Les des Grassins et les Cruchot, deux familles rivales qui espèrent marier l’un de leurs fils avec Eugénie, y sont conviés. Mais lors de cette même soirée, Charles, un cousin d’Eugénie venu de Paris, arrive chez les Grandet. Il est porteur d’une lettre destinée au père Grandet.

le droit de venir dans cette maison. Le plus considérable des trois premiers était le neveu de monsieur Cruchot. Depuis sa nomination de président au tribunal de première instance de Saumur, ce jeune homme avait joint au nom de Cruchot celui de Bonfons, et travaillait à faire prévaloir Bonfons sur Cruchot. Il signait déjà C. de Bonfons. Le plaideur assez malavisé pour l’appeler monsieur Cruchot s’apercevait bientôt à l’audience de sa sottise. Le magistrat protégeait ceux qui le nommaient monsieur

sa fortune visible, Quant à ses capitaux, deux seules personnes pouvaient vaguement en présumer l’importance : l’une était monsieur Cruchot, notaire chargé des placements usuraires de monsieur Grandet ; l’autre, monsieur des Grassins, le plus riche banquier de Saumur, aux bénéfices duquel le vigneron participait à sa convenance et secrètement. Quoique le vieux Cruchot et monsieur des Grassins possédassent cette profonde discrétion qui engendre en province la confiance et la fortune, ils témoignaient

sa fortune visible, Quant à ses capitaux, deux seules personnes pouvaient vaguement en présumer l'importance: l'une était monsieur Cruchot, notaire chargé des placements usuraires de monsieur Grandet; l'autre, monsieur des Grassins, le plus riche banquier de Saumur, aux bénéfices duquel le vigneron participait à sa convenance et secrètement. Quoique le vieux Cruchot et monsieur des Grassins possédassent cette profonde discrétion qui engendre en province la confiance et la fortune, ils témoignaient