Bonheur Vérité Descartes

B) Je suis un être pensantDans le Discours de la méthode et dans les méditations métaphysiques Descartes exprime sa déception vis-à-vis des connaissances acquises, seules les mathématiques semblent fiables, mais elles sont inutiles. Descartes se propose de reconstruire un savoir nouveau, une philosophie vraie qui serait utile et fiable. Pour cela, il faut partir d’une vérité absolument certaine. Pour la découvrir, il procède à un doute hyperbolique et méthodique. C’est un doute exagéré

les prive de l'occasion d'échanger l'erreur pour la vérité ; si elle est fausse, ils perdent un bénéfice presque aussi considérable : une perception plus claire et une impression plus vive de la vérité que produit sa confrontation avec l'erreur." John Stuart Mill, De la liberté, 1859, Chapitre II : De la liberté de pensée et de discussion. Explication de texte : « Je pense, donc je suis ». Telle est la très célèbre phrase de Descartes dans son Discours de la méthode. Depuis toujours, l’homme

Bonheur et vérité : la lucidité est-elle un obstacle à la recherche du bonheur La façon de trouver le bonheur est diffèrent selon le style de vie que l’on même ou les personnes que l’on fréquente…. Le bonheur est un état sans contrainte, sans souci, et sans souffrance. C’est un état auquel on inspire sans jamais le connaître réellement. Descartes dans son texte nous parle dit qu’il ne faut pas fuir la tristesse et donc ne pas rechercher le bonheur. De toute façon notre corps n’est fait pour le

conduire au laxisme et à l’autoritarisme qui empêchent l’humanité d’être heureuse. En retrouvant la religion c'est-à-dire la foi, on comprendra les limites de la raison et on s’interdira de tomber dans ses excès. Ainsi on retrouvera l’unit perdue (le bonheur) Le scepticisme et le dogmatisme semblent s’opposer mais en réalité, ils se complètent car la qualité de l’un corrige le défaut de l’autre (tableau au verso). En dépassant cette pposition, on verra le véritable statut de la raison Dialectique :

l'irrationnel, ce qui n'obéit à aucune logique. La raison peut cesser d'être raisonnable si d'autres facteurs sont pris en compte outre le fait d'avoir une raison. La raison ne peut prétendre tout connaître si l’intuition est raisonnable. Pour Descartes, « Le bon sens est la chose du monde la mieux partagée » , tout individu est dotée d’une raison ayant la capacité d'établir des raisonnements, à l'aide de leurs connaissances et de leurs expériences et de partagée un savoir or cette faculté semble

de l’encre  répandue sur une feuille de papier par exemple. En ce qui concerne la perception humaine, on doit  admettre  qu’elle implique une activité mentale d’ordre synthétique opérée par la conscience.  Pour la philosophie idéaliste (Platon, Descartes)  la perception est une source insurmontable  d’erreurs ou, au minimum, d’approximations car notre corps ne nous fournit que des informations floues et disparates et le jugement qui en procède peut toujours être  défaillant. Les empiristes insistent

 Fiche de philosophie Conscience : Capacité à faire un retour sur soi-même pour se juger « La conscience est la manière dont un homme perçoit ce qui se passe dans son propre esprit »  John Locke Descartes : Le cogito, la conscience se découvre elle-même à partir d’un doute radical. « Je pense donc je suis » Sartre : Autrui est le médiateur indispensable entre moi et moi-même. Inconscient : Ensemble des désirs et des souvenirs douloureux de la petite enfance qui

d'après. Nous, nous demanderons si la lucidité est une contrainte au bonheur. En effet, être vigilant de toujours s’inscrire dans la réalité, n’est-ce pas être condamné au malheur? Partant de ce constat, sommes-nous plus heureux dans l’illusion ? Mais, ne pas avoir la faculté de concevoir clairement notre bonheur n’est-il pas la preuve d’un bonheur illusoire ? De plus, être lucide c’est être en état perpétuel de recherche de vérité que requiert la liberté, donc si nous sommes lucides, nous sommes libres

aux craintes continuelles qu’il fait naître, tant que nous sommes sujets du vouloir, il n’y a pour nous ni bonheur durable, ni repos. Poursuivre ou fuir, craindre le malheur ou chercher la jouissance, c’est en réalité tout un: l’inquiétude d’une volonté toujours exigeante, sous quelque forme qu’elle se manifeste, emplit et trouble sans cesse la conscience; or, sans repos le véritable bonheur est impossible. Ainsi le sujet du vouloir ressemble à Ixion attaché sur une roue qui ne cesse de tourner

La vérité dépend t-elle de nous ? Nous disons parfois « c’est la vérité !» comme si , cette vérité était évidente et incontestable , elle serait alors considéré comme vertu suprême , nécessaire et naturel . Les faits parleraient d’eux même et la vérité serait déjà là d’emblée. Certains diront alors « il est vrai qu’il fait chaud » si les faits de la réalité nous montrent qu’ils fait effectivement chaud . La vérité semble alors appartenir au domaine de l’évidence soit de la raison