Bonjour Paresse

CAD lorsque nous ne pouvons plus agir comme agissions précédemment. L’état agentique est la manifestation et la cause de l’absence de pensée. Dans cet état l’individu agit aux sollicitations extérieures sur un mode mécanique. Ex : répondre à un bonjour n’est pas vraiment de la politesse mais c’est être dans un état agentique, CAD qu’il donne une réponse mécanique. = règle d’action donnée par une personne extérieure. Tout être vivant est conditionner, CAD qu’à la naissance ils ne sont pas entièrement

 Mais il faut le considérer comme un  lieu   idéal   de   la   parole   car   le   temps   ne   semble   pas   s’y   écouler   au   même   rythme  qu’ailleurs. Au début de chaque entretient au couvent Marianne nous précise qu’il se  déroule au parloir : « Bonjours, ma fille, me dit Mme de Miran en entrant dans le  parloir. »   ou   encore   « la   cérémonie   finie,   Mme   de   Miran   me   demanda,   et   vint   au  parloir avant que de partir. » Ce parloir est essentiel à cette relation « mère­fille » car 

nous sommes donc réunis pour trouver des réponses à tous les refus possibles de la part des entreprises. Nous nous sommes demandé comment contourner tous les pièges qu’on pouvait nous tendre. Nous avons renforcé notre argumentaire et nous nous sommes parés pour les rendez-vous suivants. Les trois premières semaines du mois de mars ont été intensives puisque nous avions programmé plusieurs rendez-vous chaque jour après les cours. Souvent, nous avons dû prendre, pour certaines entreprises, deux

doux et sonore Comme ceux des aimés que la Vie exila. Son regard est pareil au regard des statues, Et, pour sa voix, lointaine, et calme, et grave, elle a L'inflexion des voix chères qui se sont tues. Saint-Amant, Le Paresseux Accablé de paresse et de mélancolie, Je rêve dans un lit où je suis fagoté, Comme un lièvre sans os qui dort dans un pâté, Ou comme un Don Quichotte en sa morne folie. Là, sans me soucier des guerres d’Italie, Du comte Palatin, ni de sa royauté, Je consacre

| LECTURE 3 Caligula (Acte I, SCÉNE IV) d’Albert CAMUS SCÉNE IV HÉLICON, d’un bout de la scène à l’autre. Bonjour, Caïus. CALIGULA, avec naturel. Bonjour, Hélicon. Silence. HÉLICON Tu sembles fatigué ? CALIGULA J’ai beaucoup marché. HÉLICON Oui, ton absence a duré longtemps. Silence. CALIGULA C’était difficile à trouver. HÉLICON Quoi donc ? CALIGULA

à tremper dans le café le matin. Existe en caque aux oeufs (meilleur) ou caque à la farine C'est gentil Être gentil normalement, c'est plaire par sa délicatesse, son charme. Chez les tunes, on peut être gentil pour des situations très futiles : - Bonjour, pourrais-je parler à Edith, SVP ? - Edith, elle est pas à son bureau, elle s'est absentée.. - Bon, je la rappellerai plus tard. - C'est gentil, merci, au revoir. C'est ma came à mort Expression souvent entendue lorsqu’une très jolie fille (canon)

pour moi. - J'en suis convaincu. - Vous disiez aussi qu'il faut donner le meilleur de soi-même dans ce que l'on fait ? LECTURE 3 Caligula (Acte I, SCÉNE IV) d’Albert CAMUS SCÉNE IV HÉLICON, d’un bout de la scène à l’autre. Bonjour, Caïus. CALIGULA, avec naturel. Bonjour, Hélicon. Silence. HÉLICON Tu sembles fatigué ? CALIGULA J’ai beaucoup marché. HÉLICON Oui, ton absence a duré longtemps. Silence. CALIGULA C’était difficile à trouver. HÉLICON Quoi donc ? CALIGULA Ce que je voulais. HÉLICON

Georges, et d’une grosse petite dame d’environ trente ans, laide, couturée de petite vérole, mais avec une physionomie aimable et bonne qui la rendait agréable. Ce fut elle qui s’approcha la première de Geneviève. « Bonjour, ma petite ; comme vous êtes gentille ? Où est donc votre oncle ? Bonjour, Georges. Ah ! comme vous voilà vert ! Une vraie perruche ! Vert de la tête aux pieds. Comment vous laisse-t-on habillé si drôlement ? Ha, ha, ha ! Viens donc voir, Cornélie. Un vrai gresset. Vois donc, Hélène

sous un prétexte désormais avouable ? Évidemment, on peut être un petit chef (entendez minable) avec une influence limitée sur son environnement immédiat, mais aussi capable d’influencer la marche d’une communauté, pourquoi pas du monde, et alors bonjour les dégâts ! Car alors celui-là se croit le seul, comme Gygès, à détenir le pouvoir, et se trouve toujours de nombreux esclaves prêts à le seconder, subjugués par l’anneau magique qu’ils rêveraient de posséder pour eux-mêmes et qu’ils utilisent

était profondément enfoui dans son fauteuil, les yeux clos. Sa figure maigre, sèche, avec un reflet violacé aux endroits rasés (il ressemblait à un vieil organiste catholique), exprimait l’humilité et la soumission. –5– Sans répondre à mon bonjour, et sans ouvrir les yeux, il me dit : – Si ma chère femme, ta mère, était vivante, ta façon de vivre serait pour elle une source de continuelle affliction ; dans sa mort prématurée, je vois un dessein de Dieu. Dis-moi, malheureux, reprit-il en ouvrant