Bonnet phrygien

monticule de cadavres, prix à payer pour que le peuple gagne sa liberté. Au deuxième plan, au centre, une femme du peuple, incarnant la révolte, la détermination et la victoire. C’est donc une allégorie* de la liberté. Elle est coiffée d’un bonnet phrygien, symbole de liberté, allusion à la Révolution Française et aux sans- culottes*. Elle brandit un drapeau tricolore. Il vient d’être instauré drapeau officiel par le nouveau régime. Il est symbole de la réconciliation, car aussi drapeau de l’Empire

PRINCIPAUX ELEMENTS liberté fléchée femme liberté[1] La femme - personnage central du tableau - drapée de robe et décolleté antique (voir Venus de Milo, victoire de Samothrace) - profil grec (nez, menton, bouche) - bonnet phrygien (rappel liberté révolutionnaire de 1789) - apparence vigoureuse, forte, énergique - pilosité sous les bras (populaire, naturelle) - fusil de 1816 : modernité et réalisme - port du drapeau symbole lutte libérale - figure allégorique

grand destin et s'engage. Description de l’oeuvre       [1] La femme - personnage central du tableau - drapée de robe et décolleté antique (voir Venus de Milo, victoire de Samothrace) - profil grec (nez, menton, bouche) - bonnet phrygien (rappel liberté révolutionnaire de 1789) - apparence vigoureuse, forte, énergique - pilosité sous les bras (populaire, naturelle) - fusil de 1816 : modernité et réalisme - port du drapeau symbole lutte libérale - figure allégorique

lumière, elle n’en reste pas moins celle qui mène le combat. - C’est une figure féminine qui guide un groupe exclusivement féminin. Référence au don de soi. C’est elle qui mène tout ce monde vers la victoire, et avec le drapeau tricolore et le bonnet phrygien (sorte d’élément de réponse à la crise > revenir à des aspirations plus démocratiques) elle montre la marche à suivre. II – Un manifeste politique A – Une insurrection émanant du peuple - Dans ce tableau, les insurgés ne sont pas réellement

Victor Hugo. Siège des pouvoirs publics => Versailles (Juin 1879) Marseillaise devient hymne nationale => 1879 14 Juillet devient fête Nationale => 1880 Coutume d’orner salle de mairie avec statue d’un buste de femme coiffé d’un bonnet phrygien => La Marianne Deux grands moments : Frédéric Auguste Bartholdi finit la statue « La liberté guidant le monde » en 1870 Mort de Victor Hugo => Enterré au Panthéon laïcisé Marque profondément les esprits : rassemblent les divisions lors

poème : « Le Forgeron » Fortement inspiré des "Châtiments" de Victor Hugo, ce n'est pas à Napoléon III que s'adresse ces vers mais à Louis XVI. En partant d'un fait réel, le roi Louis XVI interpellera le boucher Lengendre contraint de coiffer le bonnet phrygien. Rimbaud, exprime dans ce texte, un "cri du peuple" à la Vallès, son idéal révolutionnaire et sa foi en l'avenir de l'humanité. L'anecdote intéresse Rimbaud en ce qu'elle met en scène des hommes qui prennent en main leur destinée et se découvrent

profite de vendre le colonialisme pour proposer du travaille à l’étranger, et donner des responsabilités. La France est représentée par le personnage de Marianne, armée comme Jeanne d’Arc, et coiffée comme la statue de la Liberté. A parfois un bonnet phrygien (révolutionnaire), ou une corne d’abondance (richesse). La France veux montrer qu’elle apporte librement la civilisation, la richesse et la paix. Armure avec civilisation = liberté, fraternité = tout le contraire de ce qui est fait. Branche d’olivier

les combattants sont mis en évidence par la lumière (le premier plan étant beaucoup plus sombre). La jeune fille incarnant la Liberté est une fille du peuple, fougueuse, d'apparence un peu vulgaire (sale, mal habillée). Elle est coiffée du bonnet phrygien, des mèches tombent sur sa nuque. Le drapeau tricolore se déploie derrière son bras droit, vers les hommes derrière elle vers qui elle est tournée. Son habit glisse, révélant ainsi sa poitrine, ainsi que la pilosité de son aisselle. La lumière

par Rouget de Lisle en 1792, l’hymne officiel national français. En 1880, Le 14 juillet, est déclaré fête national en mémoire de la prise de la Bastille, symbole de révolution et de la chute de la monarchie. Le buste de Marianne, coiffée d’un bonnet phrygien, personnifiant la République est présente dans les lieux officiels comme les mairies. Les valeurs républicaines que sont « liberté, égalité, fraternité » est une devise qui est désormais visible sur les façades des mairies. Le Radicalisme est

monarchie. Résidence du Roi depuis son retour à Paris en octobre 1789, le palais des Tuileries est pris le 10 août 1792 par le peuple des faubourgs et des sans-culottes, que l’on aperçoit au premier plan armés de piques et coiffés pour certains d’un bonnet phrygien. Les fédérés venus de province soutiennent les insurgés ; tous mènent une lutte farouche contre la garde suisse du Roi. La violence du combat est restituée par la fumée, les cadavres d’hommes et de chevaux et le combat au corps à corps que se