Bonté

La pitié : valeur morale universelleII) L'âne et le philosopheA. Retour sur les protagonistes de la fableB. L'âne et le philosophe : une vérité sensible au coeur et non à la raisonIII) La bonté, vertu suprême qui unit la création à son créateurA. Comment saisir le sens de la "sainte énigme" ?B. Louange de la bonté Deuxième proposition de plan Ce poème d'Hugo est un poème narratif argumentatif que l'on peut rapprocher de la fable bien qu'un peu long. Le but d'Hugo est de montrer la grandeur de

les boutiques s'ouvrir, Tandis que dans les airs mille cloches émues, D'un funèbre4 concert font retentir les nues, Et se mêlant au bruit de la grêle et des vents, Pour honorer les morts, font mourir les vivants. 15 Encor je bénirais la bonté souveraine5, Si le Ciel à ces maux avait borné ma peine. Mais si seul en mon lit je peste avec raison, C'est encor pis vingt fois en quittant la maison, En quelque endroit que j'aille, il faut fendre la presse6 20 D'un peuple d'importuns7

Les misérables B. Construire du sens 11. Objets de valeur symbolique Les chandeliers de l’évêque sont un symbole de la bonté. En effet, ils ont étés offerts à Valjean par Monseigneur Myriel pour représenter sa conversion au bien. De plus, les chandeliers sont aussi un symbole de la compassion. À travers le récit, on mentionne les chandeliers à plusieurs reprises pour rappeler à Valjean la promesse qu’il a faite à l’évêque. Enfin, à la fin, lorsque Valjean meurt, les chandeliers de l’évêque

réaliser. Le courage n'est pas à inventer, il faut juste le soutenir. La crise spirituelle Il y a chez les jeunes un besoin de beauté, de vérité, de bonté. Qu'est ce que la beauté ? Est-ce le paysage urbain avec toutes ces lumières brutes ? Qu'est ce que la vérité ? Est-ce le modèle télévisuel ou le modèle politique ? Qu'est-ce que la bonté ? Pensez-vous que ce soient nos relations humaines, notre individualisme ? Les jeunes ont besoin d'un encadrement qui fait de plus en plus défaut, car les

s’harmonisait pas avec sa bonté. D’une conscience innocente, il se trouvait inférieur à coté des habitants d’un village. En effet, on le décrivait d’une laideur affreuse, répugnante même : « Le pauvre garçon était un monstre de laideur ». (l. 15) Par cette métaphore, qui dépersonnifie une grande partie de sa valeur humaine, on en déduit qu’il repose à un niveau inférieur et insignifiante par rapport aux autres villageois qui, pourtant, semblent le respecter pour sa grande bonté. Parallèlement, il se

La méchanceté est bien la qualité suprême. Tous ceux qui pensent que la bonté, la générosité, la patience, s’oppose à la méchanceté, voyez la comme ils se trompent : la méchanceté n’exclut pas la patience, ni la générosité. Les hommes peuvent être méchants, sans pour autant être égoïste ou impatient. Voilà le juste milieu, l’homme parfait saura être méchant, vilain, tout en étant patient, ou même généreux. Quant à la bonté, cela va de soi : un homme méchant est un homme bon. Sans aucun doute la

parle donc à Arnolphe croyant s’adresser à un ami, il se confit à lui. Horace est heureux on trouve d’ailleurs le champ lexical de la joie : « miracle », « riez », « en rire », « bonté ». Horace est amoureux d’Agnès, on trouve aussi le champ lexical de l’amour : « amour », « cœur », « mon amour », « touchants », « de bonté », « tendresse innocente », « de bon cœur », « l’amour ». Horace est beaucoup plus éloquent qu’Arnolphe, ses répliques sont plus longues, Arnolphe répond à ses questions et rit pour

PhilosophieSujet : le bonheur peut-il se définir ?Citation 1 : Aristote dit « si la bonté ne suffit pas à assurer le bonheur, la méchanceté suffit à rendre malheureux »Dans cette citation on peut remarquer que le malheur est bien plus facile à provoquer, contrairement au bonheur qui nécessite beaucoup plus que de la bonté. Aristote nous montre l’inégalité et le contraste entre le bonheur qui s’obtient difficilement car c’est dur d’atteindre un état émotionnel agréable et durable à la fois, et aussi

· fortement, l’intrigue est dirigé par la peur de leur découverture· il est aussi important de considérer les sentiments de famille, la fraternité qui dirige l’intrigue aussi· enfin, on doit noter que l’espoir dans la bonté des humains, malgré leur peur d’eux imprégne le roman également.Le roman “Un Sac de Billes”, un portrait autobiographique de l’enfance de Joseph Joffo, se déroule pendant la Seconde Guerre Mondiale, et par conséquent est dominé par la peur de la découverture nazi et la déportation

instinct quatre-vingt-treize ; mais philosophe par tempérament, et libéral par éducation, il exécrait la tyrannie d'une haine inoffensive et déclamatoire. Sa grande force et sa grande faiblesse, c'était la bonté, une bonté qui n'avait pas assez de bras pour caresser, pour donner, pour étreindre, une bonté de créateur, éparse, sans résistance, comme l'engourdissement d'un nerf de la volonté, une lacune dans l'énergie, presque un vice. Homme de théorie, il méditait tout un plan d'éducation pour sa fille