Bonté

l'endurance éternelle de la bonté et de la charité. Elle endure des grandes difficultés et de la pauvreté avec les Thénardiers dans une très jeune âge, mais elle ne perd jamais son innocence et n’abandonne jamais au cynisme. Après que Jean Valjean l’a sauvée, elle devient une fille bien éduquée et bien élevé avec pleine d'esprit depuis ses jours malheureux et sans d’espoir. Ceci reflète la transformation de son beau-père. Encore une fois, Victor Hugo montre bien que la bonté résiste toujours l'adversité

pas rire, mais est pathétique. Dans les tragédies, les pères sont tragiques : Créon dans Antigone et Thésée dans Phèdre, de Racine. Ici, Dom Louis est pathétique. Lecture du texte         Dom Louis. – Quoi ? mon fils, serait-il possible que la bonté du ciel eût exaucé mes vœux ? Ce que vous me dites est-il bien vrai ? ne m’abusez-vous point d’un faux espoir, et puis-je prendre quelque assurance sur la nouveauté d’une telle conversion ?         Dom Juan, faisant l’hypocrite. – Oui, vous me voyez

qu’Allah la maudisse. Le Messager de Dieu déclara alors : Ne dénigrez pas la fièvre, car elle éloigne les péchés des enfants d’Adam de la même façon que le soufflet élimine les impuretés du fer. » (Rapporté par Muslim). « Celui qui est dépourvu de bonté est dépourvu du bien. » (Rapporté par Muslim). « Quand un homme meurt, toutes ses actions deviennent sans effet à l’exception de trois d’entre elles : - Un acte de charité perpétuelle. - La connaissance qu’il a dispensée aux autres. - Un fils

illustre sa supplication et sa détresse. Voltaire apostrophe Dieu à la deuxième personne du singulier " à toi ", " tu ", " devant toi ", " t’aimer ", " t’adorer ". Il Insiste aussi sur ses valeurs de Dieu et les tares des hommes : Dieu : sa bonté : " ta bonté ", son omniscience : " car tu sais ", son universalité : « Dieu de tous les êtres » Les hommes : leur fébrilité : " faibles créatures ", leur insignifiance " les atomes appelés hommes " La première partie du texte est tournée comme une

démontre d’une manière burlesque la maltraitance subit de cette dernière, elle prend donc un ton vif donnant ainsi un aspect plus sérieux à la scène et ce qui engendre un règlement de compte avec les maîtres. En opposant la cruauté des maîtres et la bonté des valets, la femme offensé parle, se défend, et réagit. Elle fait appel à des caractères moraux, intellectuel, de justice et de raison. Par le biais du champ lexical de la violence qui est ici énuméré « offensés, maltraités, accablés ». Victime

''méprisent'', ''maltraitent'', ''fiers'' | Champ lexical de l'humiliation associé aux maîtres | ''pauvres gens'', ''offensés'', ''maltraités'', ''accablés'' | Contraste avec le champ lexical de la bonté associé aux esclaves | ''honnêtes gens'', ''mérite'', ''pardonner'', ''bonté'', ''cœur bon'', ''vertu'', ''raison'', ''pitié'' | Opposition : renforce la critique sociale | ''riches'', ''grand seigneur'', ''l'or, l'argent & les dignités''/ ''pauvres gens'', ''le cœur bon

C'est un extrait de la Ferme des Animaux de Georges Orwell , un discours de Brille-Babil qui est à la page 47-48. Brille-Babil est le porte-parole de Napoléon. Brille-Babil utilise un discours argumentatif dans le but de convaincre les animaux de la bonté, la sagesse de Napoléon. Contexte de l'oeuvre : En 1936, après sa participation à la guerre civile espagnole dans les rangs du Parti Ouvrier D’Unification Marxiste , Orwell est contre le totalitarisme nazi et soviétique. George

l'endurance éternelle de la bonté et de la charité. Elle endure des grandes difficultés et de la pauvreté avec les Thénardiers dans une très jeune âge, mais elle ne perd jamais son innocence et n’abandonne jamais au cynisme. Après que Jean Valjean l’a sauvée, elle devient une fille bien éduquée et bien élevé avec pleine d'esprit depuis ses jours malheureux et sans d’espoir. Ceci reflète la transformation de son beau-père. Encore une fois, Victor Hugo montre bien que la bonté résiste toujours l'adversité

rien à Châtillon, sinon de l’absence de soleil, de l’arrivée de la bise, de la neige et des rhumes. » p. 145, Sylvie Numance « Et, quand je dis la bonté de la terre c’est qu’il n’y a pas d’autres mots. C’était inscrit sur son visage. Mais, ce qui est écrit n’est pas toujours parole d’évangile, tant que là, ça l’était. Vous savez qu’il y a un point où la bonté devient bête. Eh bien, cette femme allait jusque là, et n’était pas bête. » p. 146 « Elle attaque la misère et la douleur partout où elle se trouve

Je suis un peu brutal ? Pourquoi tu dis ça ? Non. Je ne suis pas brutal.Vous êtes terribles, tous, avec moi. LOUIS. — Non, il n’a pas été brutal, je ne comprends pas ce que vous voulez dire. ANTOINE. — Oh, toi, ça va, « la Bonté même » ! CATHERINE. — Antoine. ANTOINE. — Je n’ai rien, ne me touche pas ! Faites comme vous voulez, je ne voulais rien de mal, je ne voulais rien faire de mal, il faut toujours que je fasse mal, je disais seulement, cela me semblait bien, ce que je