Bonté

propositions infinitives → insistance sur l'exclusion, registre fantastique II Montaigne exploite la thèse de l'exemple, thèse humaniste a) Diversité de la nature antithèse → appui sur la différence GN pluriels → insiste sur le nombre b) Bonté de Dieu GN mélioratifs → qualifier Dieu, le créateur du bien c) Condamner les contradictions négation → erreur de jugement de l'homme adverbes contraires CONCLUSION démonstration sur l'altérité Montaigne : humaniste thèse selon laquelle

s’imagine presque les voir. » Fénelon, Dialogue sur l’éloquence. Corrigé Bac 2010 – Série S – Français – Métropole www.sujetdebac.fr 10.FRSE.ME1.LR1.cor II Un modèle de société 1. Le lieu, métaphore de l’être -cadre pastoral : l’innocence et la bonté naturelle des personnages se fondent dans le décor. - l’évocation des lieux sert en fait de métaphore à la perfection des habitants à travers leurs propriétés et réalisations. - procédés de la louange, marques d’évaluation, en particulier adjectifs

réactionnaire de celle des Lumières, réaliste et emprunte de traditionalisme (B). A. Le rejet de l’utopisme révolutionnaire par les codificateurs La pensée rousseauiste cultive au XVIIIème siècle le mythe du « bon sauvage », l’humanité serait emprunte de bonté naturelle mais « la société déprave et pervertit les hommes ». Cet optimisme sur la nature humaine va dominer toute la période révolutionnaire et va forger l’action révolutionnaire. L’anarchie généralisée de la révolution discrédite grandement cette

les autorités politiques. Et Rousseau est exilé. D’où sa correspondance avec Beaumont. La première chose qu’il dit c’est que ses principes n’ont jamais variés, seuls ses sujets ont changé, qu’il a été célébré et puis condamné. Le premier : c’est la bonté naturelle ( ?) de l’homme, tous mes écrits peuvent être considérés comme une expression de ce principe-là. Et c’est justement ça qui est condamné parce que ça heurte le dogme sur lequel repose la construction de l’église catholique qui est le pécher

gré de mon souhait. Je l'ai donc retirée, et comme ma demeure A cent sortes de gens est ouverte à toute heure Je l'ai mise à l'écart, comme il faut tout prévoir, Dans cette autre maison où nul ne me vient voir; Et, pour ne point gâter sa bonté naturelle, Je n'y tiens que des gens tout aussi simples qu'elle. Vous me direz: "Pourquoi cette narration"? C'est pour vous rendre instruit de ma précaution. Le résultat de tout est qu'en ami fidèle Ce soir je vous invite à souper avec elle;

de mon souhait. Je l’ai donc retirée ; et comme ma demeure À cent sortes de monde est ouverte à toute heure, 145 Je l’ai mise à l’écart, comme il faut tout prévoir, Dans cette autre maison, où nul ne me vient voir ; Et pour ne point gâter sa bonté naturelle, Je n’y tiens que des gens tout aussi simples qu’elle. Vous me direz "pourquoi cette narration ?" 150 C’est pour vous rendre instruit de ma précaution. Le résultat de tout, est qu’en ami fidèle, Ce soir, je vous invite à souper avec

connait donc depuis toujours l'enfermement. Le fait qu'elle n'ait jamais vécu en société permet, selon lui, d'être comme préservée de ses vices que cela implique. Ainsi, l'objectif d'Arnolphe était de lui imposé cette restriction "pour ne pas gâter sa bonté naturelle", c'est-à-dire celle que tout homme possède initialement avant que la civilisation la transforme. Par le biais de sa narration, Arnolphe se présente au spectateur sous un jour défavorable. Tout d'abord, son orgueil paraît à travers

but démonstratif. Analyser les procédés stylistiques de la question rhétorique. Problématique : En quoi le récit est-il une illustration de la bonté naturelle de l’homme ? Axes d’étude : 1 – Un récit allégorique 2 – Le bonheur à l’état naturel 3 – Un autoportrait en homme bon Conclusion : Rousseau défend sa thèse de la bonté naturelle de l’homme dans une mise en scène où l’innocence triomphe du mépris. Après les Confessions, il poursuit son œuvre autobiographie et son apologie

Voilà un sujet qui contient beaucoup de zones d'ombre. En effet, il y a bien des choses dont nous ne savons rien concernant l'origine et la nature de l'Homme. La question de la bonté naturelle de l'humain et une chose bien complexe et mystérieuse dans le sens que pour avoir une réponse correcte, il faudrait comprendre une multitude d'autres mystères avant. Né an moins, il est possible en étudiant bien la chose et en y réfléchissant un moment de donner son hypothèse personnelle. C'est donc ce que

l’intérêt qui n’est autre qu’un mal. Nos œuvres au programme traitent bien de ce caractère fourbe et double de l’être humain guidé par l’intérêt et oscillant entre le bien et le mal. Et si le Vicaire savoyard de Rousseau professe un discours sur la bonté naturelle de l’homme, Macbeth, la pièce de Shakespeare, sonde l’aristocratie anglaise du XVIIème siècle et montre sur un fond historique la cruauté humaine dans sa nudité, comme pour enregistrer le mal de l’homme dans le fait réel et non seulement