Boo

on peut penser spontanément n’est pas satisfaisant car la promesse de don à une date future n’oblige pas et la révocation du premier don n’est pas opérante du fait des constructions effectuées sur le terrain. C’est un contrat build-own-operate (BOO) qui sera alors privilégié dans la mesure où existe le don conditionnel, en l’espèce un don à condition que le terrain donné soit valorisé par une construction. Il suffit alors de mettre en œuvre un contrat de musharaka dégressif entre le gouvernement

auquel on peut penser spontanément n’est pas satisfaisant car la promesse de don à une date future n’oblige pas et la révocation du premier don n’est pas opérante du fait des constructions effectuées sur le terrain. C’est un contrat build-own-operate (BOO) qui sera alors privilégié dans la mesure où existe le don conditionnel, en l’espèce un don à condition que le terrain donné soit valorisé par une construction. Il suffit alors de mettre en œuvre un contrat de musharaka dégressif entre le gouvernement

…u®dK∞ q∂I∑L∞« q±UF∑∞« d≥UE± ¸«dL∑ß« :‰öî …bOH± W߸UL±Ë U¥œU´ «d±√ …d≥UE∞« ¸U∂∑´« • s± %69 p∞– s´ ‹d∂´ ULØ `∞UBL∞« oOI∫∑∞ ,W°uπ∑ºL∞« ‹ôËUIL∞« s± %84Ë dß_« dß_« s± %80 ·d© s± …u®d∞« ¸U∂∑´« • WO∞UF≠ Í– wKL´ »uKßQØ W°uπ∑ºL∞« ,rN{d∑F¢ w∑∞« qØUAL∞« q∫∞ …bOØ√ ‰UF≠√ s´ mOK∂∑∞« v∞≈ ¡uπK∞ w∂ºM∞« nFC∞« • w∑∞« dß_« W∂º≤ X•Ë«d¢ YO• ,…u®d∞« Ë %5 sO° U± Ÿu{uL∞« w≠ ‹U¥UJA° X±bI¢ ,22009 W¥U¨ v∞≈ 2001 s± %18 X•dÅ w∑∞« )%16( ‹ôËUILK∞ œËb∫L∞« œbF∞« • s± hOKI∑∞« v∞≈ w±d¢ ‹«¡«d§≈ –Uª¢U° ,UNO±bª∑º± sO° …u®d∞« W߸UL± ,…u®d∞«

†��#āLA[`4�pظ��#�#0:ǎ#���#��#M � ,c����;#��(�-@)�#�g˒##œ9s�fa�HLv(#qqqnnn���|6"�� �`x�6�!P�x/8��(�###Br��H}#W�J@#6S��*�# ��#�J�]{�#'*9n���##�r�t�0y���p�#L###h����#l�X�|9#=##�3�#�#Ѵ�u�ֹ�����#��I�Ν������#߽~�#!��w�^�Z:� ���S�L#���J$w#:D%�GR۷o'"##�~\\\�#�O�BOO##9~�x��#�#aA�*�#�\��+�#'N��q#yyyt�#�#�#}#2����1`�#??�e˖�#W�xԨQh�x��*J�#�#̣�]��M��"e/�����Ç'L��G��#6#� �Gg#��#��lذa�~��#�X�## �`���oBH��f+,#X��Z�y����织�oo�T�_�3#�<ڶ��"T'�E�OII#{��w��8#�@<�ٳ�ҥK`[f�#܍������ܹs#��##�~FF#茮S���C�#ٍ#1#$������#����G"�K �##C�#;OO�#7n

sens des descripteurs utilisés au singulier et au pluriel. 140 ILLUSTRATIONS Plan de catégorisation AGRIS SUBJECT CATEGORIES DISCIPLINES CATEGORÍAS DE MATERIAS A 00 A50 AGRICULTURE Research AGRICULTURE Recherche AGRICULTURA Investigación BOO BIO BSO GEOGRAPHY AND HISTORY Geography History GÉOGRAPHIE ET HISTOIRE Géographie Histoire GEOGRAFÍA E HISTORIA Geografía Historia COO EDUCATION, EXTENSION, AND ADVISORY WORK ENSEIGNEMENT, VULGARISATION, CONSEILS EDUCACIÓN, EXTENSION Y TRABAJOS

l’insu de l’utilisateur puis scanne le réseau à la recherche de nouvelles machines vulnérables. Voici une liste non exhaustive des extensions des fichiers susceptibles d’être infectées par un virus : ACE, ACM, ACV, ARC, ARJ, ASD, ASP, AVB, AX, BAT, BIN, BOO, BTM, CAB, CLA, CLASS, CDR, CHM, CMD, CNV, COM, CPL, CPT, CSC, CSS, DLL, Les attaques réseau indirectes CHAPITRE 3 77 DOC, DOT DRV, DVB, DWG, EML, EXE, FON, GMS, GVB, HLP, HTA, HTM, HTML, HTA, HTT, INF, INI, JS, JSE, LNK, MDB, MHT, MHTM, MHTML

ma duggal dara ñu jappale ma ci » ( la corruption,c’est avoir besoin de quelque chose, rencontrer des difficultés et donner quelque chose pour qu’on vous aide à l’obtenir ), « mooy nangoo duggal dara »(c’est accepter d’y mettre le prix), « loo hamne boo ko deful sa affair du gaawa sotti wola du sotti ni mu la geuneulee »(c’est ce qu’il faut faire pour accélérer son affaire ou la voir régler de façon satisfaisante), Lu ñuy def ci suuf » (c’est quelque chose qui se fait en secret), « ndieug i guro» (

bien se faire avec une transposition : Je n’oublierai jamais le jour de notre rencontre. 6. L’ÉQUIVALENCE • Les exclamations produites par des situations similaires dans des cultures différentes donnent un bon exemple d’équivalence : Ouch! Peek-a-boo! Aïe ! Coucou ! • Le cas des expressions idiomatiques figées ou des proverbes en donnent un autre exemple : straight from the horse’s mouth de source sûre He drinks like a fish. Il boit comme un trou. strong as an ox fort comme un Turc as good as

seulement je pouvais partir d’ici », dis-je, et ma voix que nul ne peut entendre rend un son étrange. Je m’imagine vue de très haut, comme dans un film. Me voici désormais parmi ces gens qui traînent la nuit dans leur voiture. Mon Dieu, je suis le Boo Radley de Jackson, Mississippi, comme dans Ne tirez pas sur l’oiseau moqueur. Je branche la radio pour avoir du bruit, du bruit plein les oreilles. It’s My Party passe et je cherche autre chose. Je commence à détester ces chansons pour adolescents qui

le breaker du groupe de Fabio, danse fréné quement, engagé dans une compé on de freestyle avec un autre type, en criant « fils de la contre-culture, sans peur, sans peur... » Fabio lui serre le coude plus fort et la tire vers lui. – Alors, ma chère Boo ? – Mais qu’est-ce que tu veux ! Laisse-moi ! Tu me fais mal. – Et c’est qui, ce Barna ? Fabio regarde Alessandro qui vient de se rendre compte de ce qui se passait et qui s’approche, son verre de vodka à la main. – Eh, mais qu’est-ce qui se passe