Borges La Demeure

littérature occidentale du XXème siècle, beaucoup d’auteurs comme Joyce, Kafka, Borges, Butor...et bien d’autre ont visité le labyrinthe dans la perspective de la modernité : demeure fantastique, cité infernale, enquête policière ou prétexte méta- littéraire. L’artiste lie la représentation formelle du labyrinthe au travail de l’esprit. A travers ces œuvres littéraires contemporaines : l’emploi du temps de Michel butor, l’aleph de Borges et le château de Kafka, ce commentaire comparé traitera, tout d’abord

interprétations négatives à tirer de ce mythe. En effet, de nombreux artistes se sont imprégnés et inspirés de ce récit et en ont dégagé une signification moins manichéenne. Jorge luis Borgès dans La demeure d'Astérion tiré de l'Aleph retourne le mythe. Se détachant des préjugés de la plupart des textes évoquant le minotaure, Borges est le seul à avoir écrit un récit à la première personne du singulier, se mettant à la place du monstre et relèguant Thésée au second plan. Tout au long de cette courte nouvelle

genoux18. Symbolique et origine[modifier | modifier le code] Thésée affrontant le minotaure, d'après une sculpture de Jules Ramey, marbre, 1826, exposée au jardin des Tuileries, à Paris. Thésée tuant le minotaure, par Barye. Selon Jorge Luis Borges, la figure du minotaure est née du culte du taureau et de la double hache (labrys, qui a donné le mot labyrinthe) qui était fréquent dans la religion préhellénique qui célébrait aussi des tauromachies sacrées. Des peintures murales représentant des

figures datée du début du IVe siècle av. J.-C., Pasiphaé enserre tendrement le minotaure enfant sur ses genoux[15]. Symbolique et origine[modifier] Figurine représentant un homme à cornes de taureaux, retrouvée à Enkomi, en Chypre Selon Jorge Luis Borges, la figure du minotaure est née du culte du taureau et de la double hache (labrys, qui a donné le mot labyrinthe) qui était fréquent dans la religion préhellénique qui célébrait aussi des tauromachies sacrées. Des peintures murales représentant des

Nous allons étudier trois textes présent au sein de ce corpus, La Belle et la bête de Jeanne-Marie Leprince de Beaumont écrit en 1757, La demeure d’Astérion de Jorge Luis Borgès et La métamorphose de Franz Kafka écrit en 1915. Ces textes présentent un thèmes communs les monstres. On se demandera qu’elles éléments apparentent les personnages du corpus à des monstres. Ainsi que, comment les textes parviennent t-ils à humaniser les monstres présentés. Dans 2 textes on peut remarquer que les personnages

célébrer ses exploits est funèbre: Égée est mort et la victoire sur lui-même, manquée. Prolongements : Littérature : Thésée d'André Gide, Phèdre de Jean Racine, La Demeure d'Astérion de Jorge Luis Borgès, L'Amour de Phèdre de Sarah Kane, Le Songe d'une nuit d'été de William Shakespeare, Œdipe à Colone de Sophocle, La Demeure d'Astérion Borges où l’auteur revisite le mythe en faisant du Minotaure un être innocent se laissant tuer par un Thésée relégué au rang de personnage secondaire, décrit dans le monologue

religieuses, car selon les croyances des philosophes des Lumières, « l’Homme ne peut atteindre la vérité qu’à travers Dieu ». Pour autant, et par opposition à La Fontaine, l’apologue « L’Ecriture de Dieu », extrait de l’œuvre l’Aleph, écrit par Jorge Luis BORGES (qui est un auteur contemporain) remet en cause la religion, allant même jusqu’à l’insulter au cours de son récit « … la notion même d’une sentence divine me parut puérile et blasphématoire. » Dans un dernier temps, nous pouvons constater que le

Virgile, L’Enéide (Livre VI), 29-19 av J.C. Nathaniel Hawthorne, Le Second Livre des merveilles, 1852-1853. Lewis Caroll , Alice au pays des merveilles, ch.8, 1865. Charles Perrault , Contes de ma mère l’Oye, « Le Petit Poucet », 1697. Borges, « La demeure d’Astéria », L’Aleph, 1949. Arts du quotidien Céramiques : Stamnos à figures rouges attribués au peintre d’Altamura, v.460 av. J. - C., Munich. Thésée et le Minotaure . Kylix (coupe à boire) attribué à Aison, v.430 av J. - C., Musée

Communication présentée au 8e Congrès international du CIFEPME, Fribourg, Suisse du 25 au 27 octobre 2006. Étude du processus de création d’entreprises structuré en quatre étapes par Louis Jacques Filion, Cândido Borges, Germain Simard Cahier de recherche no 2006-11 Octobre 2006 ISSN : 0840-853X __________________________________ Copyright © 2006 – HEC Montréal. Tous droits réservés pour tous pays. Toute traduction ou toute reproduction sous quelque forme que ce soit est interdite

angoisses et troubles par une sorte de journal : il sent autour de lui la présence d’un être invisible qu’il nomme le « Horla ». Au début lucide, il sombre peu à peu dans la folie en cherchant à se délivrer de cette emprise. Il finira par incendier sa demeure et, dans les dernières lignes de la nouvelle, face à la persistance de cette présence, il entrevoit la mort comme ultime délivrance. L'aspect fantastique du récit vient du doute créé chez les lecteurs quant à la démence du narrateur – ou à la réalité