Boris Vian Les Joyeux Bouchers

Vernon Sullivan (Boris Vian) J’IRAI CRACHER SUR VOS TOMBES (1946) Table des matières PRÉFACE .................................................................................. 4 I ................................................................................................. 6 II .............................................................................................. 14 III ............................................................................................26 IV ....

 Vernon Sullivan (Boris Vian) J’IRAI CRACHER SUR VOS TOMBES (1946) Table des matières PRÉFACE ..................................................................................4 I .................................................................................................6 II .............................................................................................. 14 III ............................................................................................26

(Pierre Prévert). Il produisit ainsi : _________________________________________________________________________________ ‘’La bataille de Fontenoy’’ (1932) Pièce de théâtre Est raillée l’absurdité de la Première Guerre mondiale. Dans la bouche de Poincaré, on peut entendre : « Soldats tombés à Fontenoy, le soleil d’Austerlitz vous contemple […] À la guerre comme à la guerre. Un militaire de perdu, dix de retrouvés. Il faut des civils pour faire des militaires ; avec un civil vivant on fait

la «catastrophe». À la télévision, après avoir appris quelles sont les prévisions météorologiques, ils regardent le film ‘’Rendez-vous avec Callaghan’’ dont les répliques parsèment la séquence. On apprend qu’ils ont «enfin acheté le disque de Boris Vian» à la pharmacie Labow de la rue Mont-Royal, ‘’Le déserteur’’ étant, «depuis les Beaux-Arts», leur «plus belle chanson du monde». Ils écoutent religieusement les chansons avant de lancer «le disque dans le parc Jeanne-Mance». Ils regardent le film

personnes sur dix aiment le chocolat ; la dixième ment." [ Anonyme ] "Si la matière grise était plus rose, le monde aurait moins les idées noires." [ Pierre Dac ] "A quoi bon soulever des montagnes quand il est si simple de passer par dessus ?" [ Boris Vian ] "Repartie : ce qui nous vient à l'esprit quand notre interlocuteur est parti." [ Dan Bennet ] "Le cheveu rare, ça donne l'air intellectuel, à défaut d'être intelligent." [ Anne Roumanoff ] "Qui aime un chat aime tous les chats. Qui aime son chien

personnes sur dix aiment le chocolat ; la dixième ment." [ Anonyme ] "Si la matière grise était plus rose, le monde aurait moins les idées noires." [ Pierre Dac ] "A quoi bon soulever des montagnes quand il est si simple de passer par dessus ?" [ Boris Vian ] "Repartie : ce qui nous vient à l'esprit quand notre interlocuteur est parti." [ Dan Bennet ] "Le cheveu rare, ça donne l'air intellectuel, à défaut d'être intelligent." [ Anne Roumanoff ] "Qui aime un chat aime tous les chats. Qui aime son chien

une légère accalmie. La forme de son nez, plus épais au bout. Des hoquets plus aigus. Un vrai rire, immense, plus fort que tout. 1. Boris Cyrulnik, Je me souviens…, Odile Jacob, 2010. 6 © Groupe Eyrolles Cette séance constitue souvent une révélation pour ceux qui expriment un passé douloureux. Elle participe du phénomène de résilience qui, d’après Boris Cyrulnik, ne peut s’opérer qu’après l’événement traumatique, si on a la chance de pouvoir en parler. « C’est difficile de s’adresser à

exactement ce qu’il veut dire, les mots ne nous touchent pas, on ne voit pas à travers eux, ils ne nous donnent pas à voir, mais plutôt à savoir, c’est à dire qu’ils ne réveillent 105 BOYER Régis, “Mots et jeux de mots chez Prévert, Queneau, Boris Vian, Ionesco”, in Studia Neophilologica, vol. XL, nº 2, 1968, p. 350 et 356. 106 BATAILLE, op. cit., p. 197. 65 pas notre sensibilité même en décrivant le sensible. C’est la raison plutôt que le sens qui est menée à avoir du profit. La poésie

gendarmes en vélos qui bourrinent sur leur bicycles, et baissent les yeux, bouche bée, sur les billevesées que débitent les deux bonnes femmes, une petite biche et une vieille bique. Alors Bill et Borg, les deux boss en bécannes, qui font les beaux mais qui sont des bolosses, balancent les bêtises suivantes : "Hum, hum, babebibobu, ben alors, à quoi peut bien rimer ce tohu-bohu ?" Le bébé Zazie, biaisant avec son bas âge, reste bouche bée, fait des bulles, et prend nos bœufs (sans doute belges) pour des

comme un endroit paradisiaque, accueillant et ouvert aux autres. Le document 2 montre un Mexique plutôt hostile, sombre et repoussant les hommes. 3. Ce guide se veut informatif : il donne idyllique. La photographie permet de « mettre l’eau à la bouche » et complète le texte du guide qui donne des informations concrètes et précises. Dans notre société très influencée et touchée par l’image, donner à voir est un argument publicitaire important. Par exemple, le guide évoque les « plages somptueuses »