Bosquet

ruines féodales, le temple romain, le tombeau egyptien et la Naumachie. La Naumachie est un bassin entoure d'une colonade. Le parc comprend une rotonde, ancien pavillon du mur des Fermiers généraux réalisé par Claude Nicolas Ledoux. Au détour des bosquets (роща) se trouvent des statues en marbre d'écrivains et de musiciens comme Guy de Maupassant créée par Verlet, Frédéric Chopin créée par Jacques Froment-Meurice. Le parc est entouré d'immeubles de luxe et d'hôtels particuliers. Claude Monet a fait

(remettre) ………………..en chemin. Le jour (baisser) ………………., mes chevaux (courir) ………………..la poste à fond de train. Nous ne (tarder) ……………. pas à pénétrer dans les profondeurs d’un bois aux chemins mal tracés, sans ralentir pour cela notre allure. Les bosquets (balayer) ………………..les vitres, accélérant leur mouvement. Bientôt, j’(avoir) ……………….le sentiment d’une catastrophe possible, et comme je me (demander) ……………….. quel serait pour moi, en pareil cas, le meilleur parti à prendre, nous (verser) …………………

pure le coeur se noie! Comme vous êtes loin, paradis parfumé! Mais le vert paradis des amours enfantines, Les courses, les chansons, les baisers, les bouquets, Les violons vibrant derrière les collines, Avec les brocs de vin, le soir, dans les bosquets, — Mais le vert paradis des amours enfantines, L'innocent paradis, plein de plaisirs furtifs, Est-il déjà plus loin que l'Inde et que la Chine? Peut-on le rappeler avec des cris plaintifs, Et l'animer encor d'une voix argentine, L'innocent

ensuite la réalité sous toutes ses formes, et nous tenterons enfin de montrer comment le poète fait-il pour transporter le lecteur dans le réalisme. La poésie consiste-t-elle à « dresser un paravent contre le monde » , comme dit le poète Alain Bosquet ? La poésie parle du monde du rêve, des émotions, de ce qui nous touche … La réalité semble étrangère aux thèmes traités par la poésie ; le plus souvent irrationnels : mélancolie, rêve, idéal, grandeur, beauté, désir d’évasion vers des destinations

grise plaine: Rien qu’une étendue grise, à perte de vue. Autant aller de l’avant ; n’ayant guère d’autre choix. X J’allai donc. Jamais je ne vis, je crois, Nature si chétive et si vile ; ici, point de luxuriance. Des fleurs ? – autant chercher un bosquet de cèdres ! Seules l’ivraie et l’épurge, suivant la loi de leur espèce, Pouvaient proliférer tout à leur guise, Semblait-il. Une pousse de bardane eût été merveille. XI Hélas ! Disette, Apathie et Disgrâce Par étrange malheur échurent à cette terre

encore ». Mauriac commence ce dernier chapitre en plaçant Janine dans les propos du narrateur, celui-ci continuera jusqu’à sa mort à parler de sa petite fille. - Mauriac poursuit par une description de la cour : « les carcasses des charmilles », « les bosquets maigres grelottent sous la pluie éternelle », « l’humidité pénétrante ». Toutes ces personnifications accentuent sur l’aspect larmoyant du temps qui se joint aux larmes de Janine : « et de même [...] ne lui veulent aucun mal ». - Louis rapporte les

L.A. Les lectures d Emma1) Emma est guidée vers l’âge adulte par des personnes ignorant la réalité de la vie [L’influence d’un environnement donnant une vision erronée du monde] • Le monde clos du couvent et la vie du pensionnat � Evocation du cadre de vie : Le « couvent », « le réfectoire », « l’étude », les « vieux cabinets de lecture » [C] � Narration à l’imparfait : tranche de vie, raconte des faits quotidiens, habituels � Un univers exclusivement féminin : aucun personnage masculin, que

n’a duré qu’une soirée, le 18 juillet, mais a été plus grandiose que celle de 1664. Elle s'est déroulée en plein air dans les jardins suivant un parcours qui, partant du château, mena la cour à travers les jardins où se succédèrent une collation (Bosquet de l'Étoile), une comédie (Georges Dandin de Molière) donnée dans un théâtre provisoire construit à l'emplacement du futur bassin de Saturne, un festin (à l'emplacement du futur bassin de Flore), un bal (à l'emplacement du futur bassin de Cérès) et

le mot.. est composé de quatrains. Ces deux poèmes ont aussi comme points communs, le style de rime qui est croisés « agiles..chien..tranquilles..rien » (première strophe du poème de QUENEAU) « poème..engendré..m'aime..gérer » (premier quatrain de BOSQUET) et sont mis en rythme par des alexandrins. En analysant de plus près, le second texte, est uniquement composé d'alexandrins, et dans le denier poème, nous avons un alexandrin suivis d'un octosyllabe, et ainsi de suite. Et enfin, ces trois textes

paragraphes coincés en page 6 sous les bandes dessinées. Il parlait d'une petite fille de six ans qui avait kidnappé un enfant du quartier. Par cette froide soirée de novembre, elle avait emmené le gamin de trois ans, l'avait attaché à un arbre d'un bosquet voisin puis avait mis le feu. L'enfant était à l'hôpital dans un état critique. La petite fille avait été appréhendée. Je lus l'article de l'œil indifférent dont je parcourais le reste du journal, avec un vague sentiment d'indignation sur l'évolution