Bosquet

inacceptables pour les personnes atteintes par certaines pathologies. Cette fiche pratique a pour objet de dresser un état des lieux suivant les différents types de contrats et de garanties. Collectif Interassociatif Sur la Santé 10, villa Bosquet - 75007 Paris Tél. : 01 40 56 01 49 - Fax : 01 47 34 93 27 www.leciss.org CE QU’IL FAUT SAVOIR A / Les assurances ayant pour objet de garantir un prêt Il existe un dispositif conventionnel appelé « convention AERAS » qui a pour but de faciliter

ou une bande dessinée. On y voit comment la jeune fille confie sa récente conversion au christianisme à son père et la fureur de ce dernier. On la voit ensuite s'enfuir de chez elle, poursuivie par son père brandissant un sabre, se cacher dans un bosquet alors qu'il est parvenu au sommet de la colline, être dénoncée par un berger qui a repéré sa cachette. Suivent Sainte Barbe, trainée par les cheveux devant le juge, puis flagellée, pendue par les pieds et frappée à coups de marteau, vouée en vain

abandonnées." (La Gloire de Mon Père). Charles BAUDELAIRE (1821-1867) Je n'ai pas oublié, voisine de la ville Je n'ai pas oublié, voisine de la ville, Notre blanche maison, petite mais tranquille ; Sa Pomone de plâtre et sa vieille Vénus Dans un bosquet chétif cachant leurs membres nus, Et le soleil, le soir, ruisselant et superbe, Qui, derrière la vitre où se brisait sa gerbe, Semblait, grand oeil ouvert dans le ciel curieux, Contempler nos dîners longs et silencieux, Répandant largement ses

La poésie doit-elle être un « aboli bibelot d’inanité sonore » comme le dit Mallarmé ? Charles Dantzig affirmait « la poésie ne se trouve pas que dans les vers ». La poésie consiste-t-elle à « construire un paravent contre le monde ? » Alain Bosquet La rébellion contre l’héritage des poètes précédents est-elle indispensable à la création poétique ? La poésie se rapproche-t-elle plus de la musique ou de la peinture ? « Moi, je vis la vie à côté » affirme le poète Charles Cros, en quoi

Jérusalem » figurant ainsi la Jérusalem céleste descendue sur terre. Jusqu’à la Renaissance les labyrinthes seront un objet de spiritualité qu’on ne trouve que dans les édifices religieux. Ce n’est qu’à partir du XVIème siècle que des méandres de bosquets vont se répandre dans de nombreux jardins d’Europe apportant alors au labyrinthe une dimension profane : le plaisir de se perdre et le jeu. En France on peut les retrouver en visitant les jardins des châteaux de la Loire (vérifier lesquels).

milieu d’un ciel pur ; Puis je m’endors tranquille Sous l’ondoyant asile De quelque ombrage obscur. Théophile Gautier, « Premières Poésies » Bonne pensée du matin A quatre heures du matin, l’été, Le sommeil d’amour dure encore. Sous les bosquets l’aube évapore L’odeur du soir fêté. Mais là-bas dans l’immense chantier Vers le soleil des Hespérides, En bras de chemise, les charpentiers Déjà s’agitent. Dans leur désert de mousse, tranquilles, Ils préparent les lambris précieux Où la

noir Tartare, et qu'il te plaise de tenter cette folle entreprise, apprends d'abord ce qu’il te faut accomplir. Il y a, caché dans un arbre opaque, un rameau dont les feuilles et la tige flexible sont d'or, consacrée à la Junon infernale. Tout un bosquet sacré le protège et les ombres d’un obscur vallon l’emprisonnent. Mais il n’est point donné de pénétrer dans les profondeurs de la terre, avant d’avoir détaché de l’arbre le rameau à la chevelure d’or : c’est le présent dont la belle Proserpine veut

sur le sable couchées, Elles tournent leurs yeux vers l'horizon des mers, Et leurs pieds se cherchant et leurs mains rapprochées Ont de douces langueurs et des frissons amers. Les unes, coeurs épris des longues confidences, Dans le fond des bosquets où jasent les ruisseaux, Vont épelant l'amour des craintives enfances Et creusent le bois vert des jeunes arbrisseaux ; D'autres, comme des soeurs, marchent lentes et graves A travers les rochers pleins d'apparitions, Où saint Antoine a vu surgir

massifs d’ombres »). Le pluriel vaut sans doute pour une généralisation du propos. A la place des meubles attendus habituellement dans cette pièce, Ponge fait surgir des « massifs d’ombres ». Le lecteur peut penser également à des feuillages, des bosquets de plantes ornementales ou arbustes. La flamme passe pour une créature végétale. Une nouvelle fois, Ponge a recours à la métaphore botanique. La flamme est identifiée à une « feuille d’or » qui « tient impassible au creux d’une colonnette… ». La

notre passage, il va la décrire, donner de petits détails comme s’il peignait au cours cette lettre cette nature enchanteresse, « ces montagnes couvertes de grands arbres touffus », « ces vallées ombragées dans leurs creux multiples », « de petits bosquets riants »…Werther se nourrit de la nature, et celle-ci semble se développer autour de notre héros « je voyais tout germer et sourdre autour de moi ». La nature ne parait pas gênée par la présence de Werther, elle continue de se déployer. Cette image