Boucherie Héroïque

nous fait partager des images horribles: des femmes violés, des enfants abbatus... b. Un deuxième point de vue On distingue a plusieurs moments du textes, des différences de points de vus mises en avant par des antithèses, des oxymores «boucherie héroïque» . Il y a en effet, la présence du point de vue de Candide (l’harmonie des canons par exemple ou le fait que la guerre soit du théatre) et celui de l'auteur: Voltaire. II. La dénonciation de la guerre a. Critique de la guerre Candide critique

« trembler comme un philosophe » -> sarcasme de V. envers certains philosophes optimistes ( Pangloss/Leibniz) et C. tremble pcq il perd son enthousiasme au vu de nb de morts croissant •Critique ironique de la guerre et de la religion : « une boucherie héroïque » -> oxymore, dévalorisation de l’Homme + « te deum » -> chant religieux ->mise en cause de l’alibi religieux dans la guerre -> religion qui cautionne les horreurs de la guerre III. Vision réaliste et pathétique de la guerre •CL de la mort

la guerre. Ce regard innocent de Candide permet à Voltaire d'insérer quelques scènes dans lesquelles il peut décrire l'horreur de la guerre à travers un regard totalement ingénu. - la violence, l'horreur : Voltaire qualifie la guerre d'une "boucherie héroïque"... Un oxymore qui démontre bien que la guerre n'est pas pour tout le monde une chose à bannir de la Terre, ce qui est fortement critiqué. - une hypocrisie : Voltaire condamne le fait que la guerre ne soit pour les dirigeants qu'une vulgaire

l’apologue (conte, fable, etc.) ou à d’autres formes épidictiques (destinées à émouvoir). A partir de passages particuliers 1. En prolongement du chapitre 3 (la guerre) : Réécrire le début du chapitre 3 (de « Rien n’était si beau » à « boucherie héroïque »), en changeant de thème, mais en respectant les élans parodiques du passage (les résultats sont souvent surprenants). 2. En prolongement des chapitres 17 et 18 (l’Eldorado) : Décrire votre Eldorado, sur le modèle des chapitres 17 et 18

mal. Il accuse les hommes politiques d'être responsables de la mort des hommes et complices de la religion. I - Peinture et dénonciation de la guerre1 - Le carnage Ce poème peint l'horreur et la boucherie de la guerre. Il la dénonce sur un ton virulent. Se rapporte à Candide Chapitre 3 "boucherie héroïque". Très forte antithèse et juxtaposition de deux termes antithétique -> dévalorisation de la valeur de l'héroïsme ; Voltaire dénonce la complicité de l'Eglise et du Roi. Rimbaud la décrit ici

mention de la réfutation des théories leibniziennes, l’opposition systématique au fameux slogan «tout est pour le mieux dans les meilleurs des mondes », son étouffement par l’atrocité de la guerre. Enfin l’auteur montre sa rage contre « cette boucherie héroïque ». En définitive, Voltaire porte une double indignation contre les massacres abominables, absurdes et contre la philosophie qui prétend les expliquer, les faire accepter. Dans la deuxième partie du texte, l’écrivain passe à un autre stade

la guerre. Ce regard innocent de Candide permet à Voltaire d’insérer quelques scènes dans lesquelles il peut décrire l’horreur de la guerre à travers un regard totalement ingénu. - la violence, l’horreur : Voltaire qualifie la guerre d’une “boucherie héroïque”... un oxymore qui démontre bien que la guerre n’est pas pour tout le monde une chose à bannir de la Terre, ce qui est fortement critiqué. - une hypocrisie : Voltaire condamne le fait que la guerre ne soit pour les dirigeants qu’une vulgaire

 renforcée par ​ l’anaphore de l’intensif​  « si »  ­par ​ l’antithèse​  « harmonie telle qu’il n’y en eu jamais en enfer », qui révèle que la terre est le pire enfer  ­par les ​ euphémismes​  qui masquent le massacre  ­par ​ l’oxymore​  qui clôt le 1°§ « boucherie héroïque », soulignant le non sens de l’héroïsme  ­par les ​ hyperboles​ , lancées négligemment, « quelques milliers d’hommes ; une trentaine de mille âme ; environ 9 à 10 mille coquins »  =>  Toutes  ces  expressions  contrastent  avec  ce  que  le 

trentaine de mille âmes » l.7/8 L’importance des chiffres semble valoriser la guerre : plus il y a de la mort, plus le succès est grand. *Absence totale d’émotion justifie cette interprétation La mort n’est qu’une abstraction II- La boucherie de la guerre : Un tableau pathétique A) Les victimes *La mort est omniprésente. « Morts (…) mourants » l.13, « mourir » l.16, « donner la mort »

une bête. Faisant passer son personnage principal pour un adorateur de la guerre au premier abord. Mais critiquant d'autant plus celle ci par la naïveté de Candide. Cette « boucherie héroïque » dont nous fait part Voltaire n'est qu'une mascarade. Les héros tuent, violent, massacrent mais n'ont pas du tout un comportement héroïque dans ce texte ! Le Héros en temps de guerre sauve, défends et protège ! Il pourrait même s'effondrer, pour donner sa vie en échange de celle d'un enfant innocent ! Au lieu