Bouddhisme mahāyāna

Considérée par certains plus comme une philosophie qu’une religion, le bouddhisme est une évolution de l’hindouisme. Difficile à comprendre par les grilles de pensée occidentales, elle propose une lecture très différente de la mort. Le passage de la vie à la mort La question du dernier souffle est évidemment très importante dans une philosophie-religion qui insiste sur la respiration comme lien entre le corps et l’esprit. Les mourants prennent donc la posture du lion couché, la même position

divins. Mais le shintoïsme n’est pas seulement une religion, il est aussi et surtout un mode de vie élaborant un code de bonne conduite entre l’Homme et la Nature. Époque ASUKA, 593-710 C’est en 594 que le prince Shôtoku Taishi impose le bouddhisme comme religion d'État. Les croyances chinoises se mêleront alors aux croyances japonaises, les cultes Shintô et Bouddhiste cohabiteront pacifiquement mélangeant parfois les divinités, et même certains rites. Les nombreux points communs entre les

recensée comme étant hindoue. Toutefois, le bouddhisme y est largement pratiqué pour représenter environ 8 à 9% de la population. Certaines ethnies, de par leurs origines tibétaines, proches ou lointaines, pratiquent le bouddhisme tantrique. D’autres ethnies, notamment les Sakya (Caste appartenant au groupe ethnique des Newar), pratiquent un bouddhisme beaucoup plus syncrétique avec l’hindouisme. Dans la vallée de Kathmandu ces deux grandes formes de bouddhismes ont une certaine prédilection pour certains

traditionnelle est quelque peu surélevée afin que l’air puisse y circuler tout autour et en dessous. Le bois était le matériau de choix parce qu’il est frais en été, chaud en hiver, et plus flexible sous l’influence des tremblements de terre. Le bouddhisme fut introduit au Japon en provenance de la Chine pendant la période Asuka (593–710), et des temples bouddhistes furent construits comme ils l’étaient sur le continent. Depuis cette époque, l’architecture bouddhiste a un impact prononcé sur l’architecture

Thaïlande, il y a environ 65 millions d’habitants et la langue officiel est le thai, la monnaie est le baht. Culture : La Thaïlande est le pays du sourire, c’est comme ça qu’il est vu ce pays. La culture thai évolue en grande partie autour du bouddhisme et du respect pour l’ancienneté mais rare sont encore ceux qui suivent la tradition. La musique est très importante, elle accompagne les danses et les pièces de théâtre. Les thailandais adorent le sport mais particulièrement la boxe thai, qui est

bercés dès la plus tendre enfance dans la conscience et l'apprentissage de la morale parentale vont ensuite être influencés par la conscience de classe, les archétypes de la société et les préjugés. Comment se défère de son éducation morale? Le bouddhisme semble répondre en un sens à cette question. Le bouddha, Siddharta Gautama illustre l'exil comme solution à l'épanouissement personnel. En effet, Siddharta, fils de roi ne connaissant pas le monde et étant protégé de la souffrance et de la misère

BOUDDHISME Bouddha (Siddhartha) était un prince du Népal, s’est marié, puis est parti afin de quitter la souffrance qui l’habitait, il a trouvé l’illumination au bout de plusieurs années devant un figuier. Le bouddhisme est fondé sur trois piliers (les trois joyaux, les trois refuges, puisqu’on y prend refuge) : * Le Bouddha : celui qui a atteint l’illumination parfaite, le Nirvana * La Sangha : représente l’ensemble de la communauté des adeptes prenant refuge dans le bouddhisme.

d’homosexuels en Chine ce qui la rend facile à transmettre d’un humain à l’autre. Troisièmement, selon les deux religions principalement pratiquées en Chine, l’homosexualité est considérée comme une entrave à la pratique religieuse. Dans l’apprentissage du Bouddhisme, le désir sexuel est un obstacle à l’atteinte du Nirvana. Donc, un homme étant sexuellement attiré par un autre homme ou de même pour les femmes correspond à un arrêt total du développement spirituel. Dans l’évolution au sein du Taoisme, l’équilibre

Cette distinction a été construite en Chine à la fin du XIXe siècle et s'inscrit d'une manière générale dans la confrontation entre les conceptions occidentales du corps (médical, anthropologique, biomécanique, etc.) et les conceptions énergétiques (taoïste et bouddhiste) de la médecine chinoise traditionnelle. En Europe, cette distinction interne/externe consiste à considérer que les styles externes utilisent la force physique et la vitesse comme principes d'entraînement et les styles internes

ne respecte pas ce que les religions disent d’elles même et rend les différences mesquines alors qu’elles sont fondamentales. LE CŒUR DE CHAQUE TRADITION RELIGIEUSE Il faut du travail, de la recherche et de la documentation. a) le cœur du BOUDDHISME c est la souffrance et la découverte de la paix au delà de la souffrance puisqu il existe un au delà de la souffrance. Le but de la vie c est d abolir la souffrance c est a dire ne jamais renaître c est couper tout désir en soi . b) le cœur