Bouffon

Gargamelle. Il naît de l'oreille de sa génitrice, lors d’une partie de campagne organisée par Grandgousier où elle a beaucoup mangé, ri, plaisanté et dansé. La taille extraordinaire de Gargantua permet à Rabelais de décrire de nombreuses situations bouffonnes. Immédiatement le nouveau-né est mort de soif et réclame «à boyre». Surpris et amusé par une telle soif, Grandgousier, son père, s’exclame : «Que grand (gosier) tu as», ce qui vaudra à l’enfant d’être appelé Gargantua. Entre trois et

légion » (spatialisation du son) Geste quasi désespéré du poète qui tente de rectifier le réel, de vaincre le chaos. MAIS coup de théâtre → illusion liquidée → parodie, autocritique, autodérision = bavardage impuissant d'un poète HITRION, et BOUFFON. ≈ autocaricature de la propre impuissance hugolienne. p. 413-414 Technique narrative → jeter un voile de mystère et laisser le lecteur deviner. = complicité & flatterie. Façon de réduire Ursus à UNE voix. ÉLOGE = genre du discours rhétorique

figure royale. Cf didascalie : « Ubu reste à ramasser la finance ». < Roi dans espace prosaïque, exerçant une fonction qui n’a rien de royale = dégradation de la figure royale et ridicule de la posture dans laquelle se trouve Ubu. e) Le roi bouffon : son langage, ses expressions Bouffonnerie du roi s’entend également en raison de son langage : _ Il fait des fautes de syntaxe : - « oneilles » à la place de « oreilles » - « ji » à la place de « je »  - « merdre » à la place

La rire a quelque chose de démocratique au fond. Mais est-ce si peu sérieux de rire ? N’y a-t-il rien de sensé, de signifiant, aucune intention dans le rire? D’ailleurs notre société, celle-là même qui aspire tant à rire et tant à célébrer ses bouffons considère aussi qu’il y a des frontières dangereuses avec lesquelles flirtent le plaisir de la dérision. Il n’est pas rare qu’une polémique éclate à propos d’un texte qui dépasse les bornes, ridiculise une personne, une fonction ou un handicap. Peut-on

I. Une scène d'exposition peu conventionnelle 1) Une entrée "in medias res" 2) Un éloge paradoxal 3)Une scène qui apprend sur DJ et amorce la suite de la pièce II.Une scène comique par le discours burlesque 1)Sganarelle, le valet bouffon 2)Une opposition face à Gusman III.Un discours symbolique et une annonce déguisée 1) Le thème de l'échange bafoué 2)Un valet qui prend la place de son maitre 3)Une honneteté de la part de Sganarelle qui dérange Cet extrait est issu de la scène d'exposition

siècle av. J.C. que les "comédies", pièces qui racontaient des histoires drôles, apparurent. Plusieurs auteurs les ont écrites, on parle aujourd'hui de trois auteurs célèbres : ESCHYLE, SOPHOCLE et EURIPIDE. Les personnages préférés étaient les bouffons, les esclaves et les serviteurs. Une troisième forme de pièce existait : Les dithyrambes, chants religieux Sophocle, le meilleur : Sophocle (vers546, 406 av. J. C.), a changé les règles de la tragédie en faisant parler un troisième acteur et

stigmatisé par son passé colonial. == 2)Personnages (par ordre d'entrée en scène)[modifier] Petion, Président de la République Christophe, ancien esclave, ancien cuisinier, ancien général, ancien roi d’Haïti Hugonin, mélange de parasite, de bouffon et d’agent politique Vastey, baron, secrétaire de Christophe Le Maître de Cérémonie Magny, Duc de plaisance, général Corneille Brelle, Duc de l’Anse, premier archevêque du Cap Le Président du Conseil d'État Le Roi d'Armes Metellus, chef des

sont deux couleurs sobres « d’où te vient ce large habit noir » ligne 7 2) 2 modes de vie opposés, gaieté/tristesse, epicurien/fidele Dans cette scène d’exposition nos deux amis apparaissent avoir également des modes de vie opposés Octave, le bouffon qui découche depuis une semaine « huit jours hors de chez toi « ligne 21- 2 On trouve pour octave, le champ lexical de la gaité : « couleur rouge, coupe joyeuse »ligne 38. Nous avons un personnage joyeux qui fête le carnaval et semble vouloir profiter

conversation qui commence et se poursuit en brèves répliques alternées, créant une dynamique. Dès le célèbre « merdre » inaugural, Jarry souligne sa volonté de mettre à mal les conventions théâtrales et de provoquer le spectateur par une esthétique bouffonne[2]. Mais la scène n’est pas gratuite sur le plan dramatique, puisqu’elle comprend les principaux éléments d’une exposition : présentation du cadre et des personnages (fonction informative), ainsi qu Le caractère inattendu et provocateur du langage

C’est une pierre. Il me verrait tirer la langue d’un pied, qu’il ne me donnerait pas un verre d’eau.» =&gt; Bien qu’il ait du respect pour son oncle, il préfère la musique italienne. Caractérisation par le langage : p.123 : «Ma foi, ces maudits bouffons, avec leur Servante Maîtresse, leur Tracollo, nous en ont donné rudement dans le cul. » p.123 : « et que l’Académie royale du cul-de-sac n’a qu’à fermer boutique. » =&gt; grossier et provocateur p.128 : «Eh bien, Messieurs, qu’est-ce qu’il