Bourreau

Personnages mineurs * Un Juif * Un Geôlier * Le Bourreau * Le Batelier Les personnages mineurs dans cette pièce de Victor Hugo sont des personnages de second plan, auxquels peu d’importance y semble accordée alors que qu’ils jouent des rôles très importants dans le déroulement de l’histoire. Des informations, actions, objets, etc. y prennent place et sont des tournants dans l’histoire. L’auteur les introduit les uns après les autres et ne les nomme pas, ne les appelant que par

s’agissait que de cela, la prison perpétuelle suffirait. A quoi bon la mort vous objectez qu’on peut s’échapper d’une prison? Faites mieux votre ronde, si vous ne croyez pas à la solidité des barreaux de fer, comment osez-vous avoir des ménageries? Pas de bourreau où le geôlier suffit. Mais reprend-on, il faut que la société se venge, que la société punisse. Ni l’un, ni l’autre. Se venger est de l’individu, punir est de Dieu. La société est entre deux. Le châtiment est au-dessus d’elle, la vengeance au-dessous

partir du troisième paragraphe, le narrateur nous donne des indications, sur les personnages présents dans son rêve. Il nous informe de la situation critique dans laquelle chacun se trouve. Il y aun moine à l'agonie, une jeune fille pendue et le bourreau avec le narrateur, qui s’avère être auteur et acteur intrusion du narrateur (ligne 11). Le rêveur et le condamné sont le même personnage. On se demande d’ailleurs quel crime il a commis. On a une identification des deux autres personnages au quatrième

mauvaise route mais que pense t’il de sa condition personnelle ? III- Volonté d’élévation Le héros possède une sensibilité à fleur de peau. Dès le début de l’extrait, on voit qu’il n’est pas heureux avec l’antithèse « paradis ; insupportable bourreau » Il paraît désespéré, ce qu’il lui apportait de la joie devient la source de son malheur. Il est malheureux et son envie de liberté se traduit dans les dernières phrases. Il veut partir, s’envoler n’avoir plus de contrainte se sentir libre « voler

poème porte sur une image qui vise à représenter la douleur dans laquelle un poète doit se trouver afin « d’épancher ses vers, divines larmes d’or » ( V. 16) Pour cela, le poète décide de passer par une comparaison de l’Homme à un « bourreau de la création ». Un bourreau étant une personne chargée d'exécuter les décisions de justice, quand elles consistent en des peines corporelles ou lorsqu'il s'agit de la peine de mort, il y a donc également une personnification des arbres, plus précisément des pins

Verbes à l’imparfait + participes passés Action en cours, on assiste à la mort, le lecteur est spectateur de trois morts violentes “rayons de la roue” Allusion aux tortures du MA Goût de l’auteur pour l’univers médiéval , “Abbaye, moine, Morimont, bourreau, habit de cordelier” Champ lexical du MA contribue à l’esthétique poétique du texte “aura, sera ensevelie” Verbes au futur (actif et passif) Anticipation, le rêve se prolonge dans le futur, on reste dans l’univers onirique. “les honneurs, blanche

voit, en passant par les Landes désertes, Vrai Sahara français, poudré de sable blanc, Surgir de l’herbe sèche et des flaques d’eaux vertes D’autre arbre que le pin avec sa plaie au flanc ; Car pour lui dérober ses larmes de résine, L’homme, avare bourreau de la création, Qui ne vit qu’aux dépens de ceux qu’il assassine, Dans son tronc douloureux ouvre un large sillon ! Sans regretter son sang qui coule goutte à goutte, Le pin verse son baume et sa sève qui bout, Et se tient toujours droit sur le bord

= illustrent la mort fatale d’Hippolyte v.1623 «  C’est moi qui » ( phrase présentative => vérité sur Hippolyte « chaste et respectueux » et Phèdre « profane, incestueuse » = chiasme b. L’auto jugement (Hors scène = Phèdre a été son propre bourreau et son propre juge.) Accusation d’Oenone « détestable et perfide » + champ lexical de la trahison v.1633Métonymie l’épée d’Hippolyte avec laquelle Phèdre voulait se tuer. Annonce de son poison = elle s’est jugée c. La mise en scène de Phèdre

régi toute la vie d’Hanna: elle est analphabète. Mais il ne se résout pas à révéler au juge cette vérité qu’Hanna a toujours voulu dissimuler. Il est, et restera hanté toute sa vie par des questions essentielles: comment puis-je aimer une femme bourreau ? Peut-on à la fois comprendre et juger ? L’illettrisme interdit-il le libre-arbitre ? N’est-ce pas toute une génération qu’il convient de juger ? 2 Pendant les 18 ans d’emprisonnement d’Hanna, Michaël, qui a par ailleurs raté sa vie personnelle

me suis dit, comment peut-on mettre ensemble trois personnes sans jamais faire sortir l'une d'elles et les garder sur la scène jusqu'au bout comme pour l'éternité. C'est là que m'est venue l'idée de les mettre en enfer et de les faire chacun le bourreau des deux autres. Telle est la cause occasionnelle. Par la suite d'ailleurs, je dois dire, ces trois amis n'ont pas joué la pièce et, comme vous le savez c'est Vitold, Tania Balachova et Gaby Sylvia qui l'ont jouée. Mais il y avait à ce moment-là