Boutros Boutros Ghali

en 1992) et Président en exercice de la C.E.D.E.A.O (juillet 1991-juillet 1992). Abdou Diou a été élu Secrétaire Général de la Francophonie le 20 octobre 2002 à l'occasion du IXéme Sommet de la Francophonie à Beyrouth, succèdant ainsi à Boutros Boutros-Ghali. Il est reconduit à l'unanimité à ce poste lors du XIème Sommet de la Francophonie à Bucarest en 2006. En mai 2006, il subit une fouille corporelle à son arrivée au Canada, un incident diplomatique qui causa un profond remous dans les relations

stipule que les États membres s’engagent « à éliminer sous toutes ses formes le colonialisme de l’Afrique ». Celui qui n'est pas encore le secrétaire général des Nations unies, mais déjà un spécialiste des arcanes de la diplomatie africaine, Boutros Boutros Ghali, constate en 1968 que cette charte est le résultat d’un «compromis entre deux thèses en présence, mais un compromis plus favorable à la thèse de l’Afrique des patries qu’à la thèse fédéraliste du Docteur Nkrumah ». |

Premiers ministres français : Édouard Balladur, Michel Debré, Dominique de Villepin, Lionel Jospin, Alain Juppé, Édouard Philippe, Michel Rocard, etc. Dirigeants d’institutions internationales Audrey Azoulay, directrice générale de l’UNESCO, Boutros Boutros-Ghali, ancien secrétaire général de l’ONU, Michel Camdessus, ancien président du Fonds Monétaire International, Nicole Fontaine, ancienne présidente du Parlement européen, Pascal Lamy, ancien directeur général de l’Organisation Mondiale du Commerce

progrès ont été enregistrés ces dernières années en matière de protection des droits de l’homme. Une avancée significative a été la création du Conseil national des droits de l’homme présidé par l’ancien Secrétaire des Nations unies, M. Boutros Boutros Ghali. Ce Conseil a suscité des attentes tant au niveau interne qu’international en ce qui concerne l’amélioration de la situation des droits de l’homme en Égypte. Ses deux premiers rapports annuels ont décrit de façon réaliste les manquements

jusqu'au niveau des villages, mais le droit international ne s'est pas développé assez vite pour traiter des conflits liés à l'eau qui, de plus en plus nombreux, peuvent survenir entre différents pays, voire différentes régions. En 1989, M. Boutros Boutros-Ghali, alors Ministre d'Etat chargé des affaires étrangères de l'Egypte, observait que «la sécurité nationale de l'Egypte est aux mains de huit autres pays africains du bassin du Nil»14. Comme le note Postel, cette formule dit bien tout ce que représente

l’Égyptien Boutros Boutros-Ghali, secrétaire-général de l’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF) entre 1997 et 2002 qui va employer tout son talent, des années durant, à faire croire que l’OIF avait une existence juridique et légale réelle, alors que, non seulement cette instance ne figurait pas dans la Charte de la Francophonie de 1997, mais que, quoique basée à Paris, l’OIF n’avait évidemment pas d’accord de siège avec la France. (ibid., p. 17) À travers l’OIF, Boutros-Ghali redéfinit

qualités de médiateurs reconnu par tous et après ces deux mandats il est devenu président d’Autriche et de suite des documents ont été diffusé de son passé de nazi. 5. Le cinquième est péruvien : Javier Pérez de Cuellar. 6. Le sixième Boutros Boutros-Ghali était égyptien. Intellectuel, ministre des affaires étrangères. 7. Le septième étant du Ghana Kofi Annan, élu pour un deuxième mandat, reçu le Nobel de la Paix en octobre 2001. 8. Le huitième est un coréen Ban Ki-Moon. B –

municipale de l’AIMF, soit de la modernisation des procédures budgétaires et comptables et de la meilleure maîtrise des états civils. Prévention et règlement pacifique des conflits Depuis son élection au poste de Secrétaire général en 1997, M. Boutros Boutros-Ghali, conformément aux termes de son mandat, a initié une diplomatie préventive et développé un partenariat avec l'ONU et des organisations régionales. L’Agence apporte un appui logistique à ces initiatives : missions de bons offices et médiation

ans ; les sept Secrétaires généraux : Trygve Lie (Norvège) de 1946 à 1953, Dag Hammarskjöld (Suède) de 1953 à 1961, U Thant (Birmanie) de 1961 à 1971, Kurt Waldheim (Autriche) de 1972 à 1981, Javier Pérez de Cuéllar (Pérou) de 1982 à 1991, Boutros Boutros-Ghali (Egypte) de 1992 à 1996, Kofi Annan (Ghana) de 1997 à 2006 ; Ban Ki-moon depuis le 1er janvier 2007 ; l’article 99 de la Charte (qui lui permet d’« attirer l’attention du Conseil de sécurité sur toute question qui, à son avis, pourrait mettre

existe-t-il dans l’ordre international une exigence du caractère démocratique de l’état ? C’est la prétention américaine selon G.W BUSH. Il se fondait sur des idées initiées par l’ancien secrétaire général des Nations Unies qui s’appelle BOUTROS BOUTROS-GHALI. En 1990, il essaye d’affirmer une exigence du caractère démocratique de l’état. Cette position n’a pas été consacrée par des règles de l’organisation des Nations Unies. L’organisation est depuis sa création attachée au principe d’équivalence