Brahmane

sauvages. Au bout de sept mois, un vieux brahmane se présente et demande à Visvantara de lui donner ses deux enfants. Visvantara accepte, et le brahmane repart avec les enfants qu'il chasse devant lui à grands coups de bâton. Les dieux, témoins de cet exploit sublime, se réjouissent de voir Visvantara au seuil de la perfection absolue. Indra, le roi du ciel, se prend à songer que le “grand être” a encore quelque chose à donner. Il prend la forme d'un brahmane et vient lui demander sa femme. Visvantara

explique la part importante de végétariens à l’inverse des français qui consomment régulièrement de la viande rouge. Enfin il convient de rappeler que la consommation est fortement régit par les castes, par exemple la caste la plus élevée : les Brâhmanes sont végétariens et ne consomment pas de viande. A contrario, les Intouchables, qui représentent une population à part, exclue des castes et marginalisée, consomment du poulet ou encore du bœuf. Ainsi, la culture et la religion tiennent une part

Inde vers 1500 av. J.-C. et reposant sur la division par la jati, qui représente à la fois la naissance — qui définit le degré d’impureté — et l’appartenance à un groupe. Ce système distingue quatre castes sociales : (par ordre décroissant) les brahmanes (prêtres), les kshatriya (guerriers), les vaishya (paysans et commerçants) et les shudra (serviteurs). Selon ce système, une partie de la population hindoue (20 %) n’appartient à aucune caste ; ce sont les harijans, ou dalits, également appelés parias

* Hiérarchie (entre les castes interdis pour certaines castes) * Répulsions (relation spécifique entre les différentes castes) Religion hindou, castes reposent sur les degrés de pureté et impureté. Quatre varnas (catégories) * Brahmanes (prêtres qui gèrent le sacré) * Hashatriyas (guerriers et producteurs) * Vauishyas (commerçants, travailleurs de la terre) * Shurdras (serviteurs) Plus hors castes les intouchables Les varnas sont composés de milliers de Jatis

matière d’emploi, de logement, d’instruction et de représentation politique. Les taux de mortalité des enfants de moins de cinq ans dans les castes professionnelles au Népal dépasse les 17 % alors qu’il n’est que d’environ 7 % pour les Newar et les Brahmanes. En Serbie et au Monténégro, 30 % des enfants roms ne sont jamais allés à l’école primaire. Les Latino-américains de descendance européenne sont souvent fiers de dire qu’ils ne font pas de discrimination raciale, et assurent que leurs États font

Celui qui se nourrit que de nourriture matérielle et appré‐ cie seulement son goût est trompé.                                                     Seulement par cela peut‐on connaître Tao.   C.‐à‐d., la moralité la plus haute suggérée par Te — par lʹEsprit  Saint (Brahman).  9 10   7 Celui qui se précipite à toute vitesse sur sa proie est fou.  En  accumulant  bijoux  et  ornements,  les  gens  agissent  au  détriment d’eux‐mêmes.   Les efforts des sages sont dirigés à avoir assez de nourri‐ ture, et pas à accumuler des biens

spirituel et le Kâma physique, et soumettent l'inférieur par le supérieur 3." "C'est le pur Akâsha qui monte dans Soushoumnâ ; ses deux aspects circulent dans Idâ et Pingalâ. Voilà les trois courants de vie et ils sont symbolisés par le cordon des Brahmanes. Ils sont gouvernés par la volonté. La [33] volonté et le désir représentent l'aspect supérieur et l'aspect inférieur d'une seule et même chose. Aussi importe-t-il que les canaux soient purs... Une circulation s'établit dans Soushoumnâ, Idâ et Pingalâ

Cette constante recherche de Vérité est, d'après le Mahatma Gandhi, la seule cause, le seul but qui justifie l'existence de l'Homme et constitue le centre de toute activité humaine. Gandhi associé cette recherche de la vérité au terme Brahmacharya (brahman: vérité; charya:règle de vie, de conduite), largement associé avec le célibat et l'ascétisme. Celui qui consacre sa vie à la recherche de la Vérité doit apprendre à maîtriser ses sens. Cette recherche de Vérité exige un désintéressement total

pour leurs talents musicaux -, on a pensé rapprocher ce nom de Jat qui désigne une sous-caste en Inde. Mais certains pensent qu'ils venaient plutôt d'une caste supérieure, celle des Kshatriyas (guerriers), qui se situent au-dessous de celle des Brahmanes (prêtres).              Ces guerriers cavaliers  combattaient pour les princes rajputes, au Rajasthan. Ils avaient à leur service une caste de forgerons, les Lohars, qui fabriquaient et entretenaient les armes, ferraient et prenaient soin des chevaux

le plus efficace contre toute hystérie de l’idéal ascétique). Joignez à cela la métaphysique sacerdotale hostile aux sens, qui rend paresseux et raffiné, l’hypnotisme par autosuggestion que pratiquent les prêtres à la manière des fakirs et des brahmanes — Brahma tenant lieu de bouton de cristal ou d’idée fixe — et la satiété universelle et finale, bien compréhensible d’ailleurs avec la cure radicale du prêtre, le néant (ou Dieu : — car l’aspiration à une union mystique avec Dieu n’est que l’aspiration