Bras de fer

second âge du fer et nous permettent de connaître l’agglomération de la fin du VI ème avant notre ère au IIème siècle avant notre ère. Les fouilles nous donne non seulement la vision de l’espace urbain mais aussi de la structuration de la société indigène. Lattara se trouve dans une région lagunaire qui constitue un ensemble complexe. A l’antiquité préromaine et romaine, la lagune se situait au sud du site, à l’est il y avait un golfe plus ou moins profond tandis qu’à l’ouest le bras principal du

Eiffel est né à Dijon en 1832. Il sort de l'école central des arts et manufactures en 1855, la même année que l'exposition Universelle à Paris. Après quelques années passées dans le sud ouest de la France où il surveille les travaux du pont de chemin de fer de Bordeaux, il devient entrepreneur spécialisé dans les charpentes métalliques en 1864. Il a participé à la construction du Viaduc de Porto sur le Douro en 1876, a celle du Garabit en 1884, la gare de Pest en Hongrie, la coupole de l'observatoire

première guerre mondiale, une croix germanique est accrochée sur son veston. Cette croix représente la bravoure de ce soldat. Il se tient de profil sur sa chaise sur une sorte de socle en fer et il lui manque certains de ses membres comme ses jambes. Son nez est dissimulé sous un cache, et sa mâchoire est une prothèse en fer. Il a par contre ses deux mains, l’une est valide (celle de gauche) et l’autre est une prothèse en bois, et elle semble articulée comme un robot. Ses membres invalides laissent supposer

Siège confortable, bas et rembourré, dépourvu de bras et qui originellement permettait de se chauffer tout près du feu (d'où son étymologie). Tabouret Chaise sans dossier Chaise gondole Siège au dossier arrondi et enveloppant, à montants latéraux cintrés. Caquetoire ou caqueteuse Siège rudimentaire à dossier élevé et droit, assise rectangulaire ou trapézoïdale, utilisé généralement près du feu, c'est l'ancêtre de la chauffeuse. Chaise à bras chaise comportant deux accoudoirs comme les fauteuils

L’ouvrier et la kolkhozienne Vera Moukhina 1937 Thématique: Arts États et pouvoir Domaine: Arts du visuel Nature: sculpture en ronde-boss Matériaux: acier, alliage de fer, chrome et nickel Dimension: 25 m Commanditaire: l’Etat soviétique dirigé par Staline = œuvre de propagande Lieu d’exposition: Moscou, face au centre des expositions Mouvement: réalisme socialiste Cette œuvre a été réalisée pour décorer le pavillon soviétique de l’exposition universelle

dans ses bras Rappelle-toi cela Barbara Et ne m'en veux pas si je te tutoie Je dis tu à tous ceux que j'aime Même si je ne les ai vus qu'une seule fois Je dis tu à tous ceux qui s'aiment Même si je ne les connais pas Rappelle-toi Barbara N'oublie pas Cette pluie sage et heureuse Sur ton visage heureux Sur cette ville heureuse Cette pluie sur la mer Sur l'arsenal Sur le bateau d'Ouessant Oh Barbara Quelle connerie la guerre Qu'es-tu devenue maintenant Sous cette pluie de fer De feu

Ils ont tous vieilli. Les barbares d’autrefois sont partis définitivement avec les cris de Salina. Un jour, il se rendait à la rivière pour s’y baigner. Il est tombé face à face avec un guerrier. Il était là, devant lui. Il portait à la le fer takouba. Ce vieux fer que les gens tenaient de leur ancêtre, mais que personne n’utilisait pour chasser. C’était Kwane N’Krumba fils de Salina. Enfant de colère. Il tua Sissoko. Salina par la suite arracha sa colonne vertébrale. Elle volait, une à une, ses vertèbres

inoxydable, d’alliage de fer, de chrome et de nickel. Elle est placée sur un socle. C’est une œuvre figurative (qui ressemble à quelque chose de vraie). C’est un point de vue externe (on voit à l’extérieur de la sculpture). Sur cette sculpture on retrouve deux personnages : une femme et un homme. La femme tient dans sa main une faucille qui représente la Kolkhozienne, l’homme représente l’Ouvrier en tenant dans sa main un marteau. Ils ont tous les deux le bras levé, la Kolkhozienne le bras droit et l’Ouvrier

droit et il a une jambe de bois à son pied gauche. Mais il lui manque aussi son bras droit et nous apercevons que sa main gauche est en bois. Le second à une mâchoire en fer, une partie de son crâne est en fer, il a un bout de fer dans son oreille gauche et un œil de verre à la place de son œil gauche. Il tient ses cartes avec sa mâchoire de fer et avec un porte carte. Le troisième, n’a plus de jambe, il a une mâchoire en fer comme le second, il a un cache-nez pour masquer le manquement du bout de son

/ animer # retenir v.304 aimable # tyrannie v.312 Toutes ces antithèse reproduisent le drame de Rodrigue. > v.315, 316 beauté magique de la langue française. > v.318 Il délire et se met à parler à son épée comme son père don Diègue cf v. 257 " fer jadis tant à craindre. " > anaphore " m'es-tu donné " v.323. / chiasme v.323, 324 vengeant Tout contribue à rendre l'émoi de Rodrigue. > 331 Ponctuation affective. Le jeune homme se reprend. Honneur cv.334.339 > v.344 le thème très espagnol de la