Bras de fer

tremblant convulsivement dans chaque fibre. J’étendis follement mes bras au-dessus et autour de moi, dans tous les sens. Je ne sentais rien ; cependant, je tremblais de faire un pas, j’avais peur de me heurter contre les murs de ma tombe. La sueur jaillissait de tous mes pores et s’arrêtait en grosses gouttes froides sur mon front. L’agonie de l’incertitude devint à la longue intolérable, et je m’avançai avec précaution, étendant les bras et dardant mes yeux hors de leurs orbites, dans l’espérance de

jusqu’au genou causé par une gangrène. C’est après cet accident qu’elle se mit à peindre. En 1943, Frida dirige une classe de peinture à l’académie des Beaux-Arts. Mais sa mauvaise santé l'oblige à enseigner chez elle. Elle doit donc porter un corset de fer que l’on retrouve dans ce tableau. L’ensemble de son œuvre parle de cet accident et de cette souffrance, ainsi que de sa relation avec son mari Diego Rivera, un célèbre peintre mexicain. II. Situation dans l’espace et dans le temps (localisation, repères

D'OTTO DIX PRESENTATION DE L'ARTISTE: Otto Dix est un peintre, un dessinateur et un graveur allemand né à Untermhaus Bei Gera en 1891 et mort à Singen en 1969. Otto Dix est issu d'un milieu ouvrier (son père Franz Dix travaillait dans une mine de fer), mais reçoit une éducation artistique par sa mère PRESENTATION DE L'OEUVRE : Les joueurs de cartes est un tableau d’Otto Dix peint en 1920. Ce tableau mesure 1.17m sur 0.87m. Cette toile représente une scène de la vie quotidienne : trois personnes

personnages qui joue au carte Le personnage de gauche : Il lui manque un bras. Il joue avec ses pieds et il semble avoir perdue une oreille et écoute avec un tuyau La face droite de son visage est mutilée.Il lui manque un morceau de sa joue, de son cuir chevelu et il n'a plus d’œil droit Il a un bras artificiel et une jambe de bois noire. Le personnage de droite : Il n’a plus ses jambes. Il a un bras en artificiel Sa mâchoire d'en bas est artificielle Il porte un cache-nez

ARMES DEFENSIVES CASQUES Les casques mesuraient approximativement 40 cm de haut, 35 cm de profondeur et 35 cm de large, avec une épaisseur de fer de 1 à 2 mm. Ils étaient pour la plupart en fer étamé. Casque du Mirmillon entre autres : Son casque est souvent surmonté par un grand panache et comporte une visière. Ce casque était orné d’un poisson. Casque du Thrace entre autres, dit « galea ». Il est caractérisé par un cimier surmonté d'une créature mythologique. Des œilletons grillagés permettent

tomber au sol. L'homme a la capuche la releva d'un bras, il la pris par la gorge et la frappa d'un seul grand coup d'os sur le crane, elle perdit connaissance. Lorsque elle se réveilla, elle avait mal partout, elle regarda ses pieds et se rendit compte qu'elle était debout, les pieds attacher avec des fers, puis elle leva la tête pour voir sur quoi ses bras était attacher. Après quelques secondes d'observation, elle se rendit compte que ses bras était attacher a une grande roue en bois qui tournait

OTTO DIX L’artiste : Otto DIX est né le 2 Décembre 1891 et est mort le 25 Juillet 1969 en Allemagne. Il participera à la guerre de 1914-1918, où il fut blessé et décoré de la croix de fer. Cette période fut alors l’élément déclencheur de sa carrière d’artiste peintre. En effet sont thème de prédilection sera la guerre suite a toutes les atrocités qu’il a put voir dans les tranchées. Les œuvres « Der Krieg » (la guerre) et « Schutzengraben » (la tranchée) en témoignent. Il ne représentera pas

d'efficacité du traitement) . L’excès de fer dans l’organisme serait la cause de la dégénérescence des cellules nerveuses . Le fer , constituant de l’hémoglobine , transporteur de l’oxygène et du gaz carbonique , il participe à la transformation des protéines , il est aussi indispensable à la synthèse de plusieurs neurotransmetteurs et il augmente la résistance aux facteurs de stress et aux infections . Son rôle est donc évident. Cependant , trop de fer peut détruire les lipides et entraîner la

4 Don Diègue Ô rage ! ô désespoir ! ô viellesse ennemie ! N'ai-je donc tant vécu que pour cette infamie ? Et ne suis-je blanchi dans les travaux guerriers Que pour voir en un jour flétrir tant de lauriers ? Mon bras qu'avec respect tout l'Espagne admire, Mon bras, qui tant de fois a sauvé cet empire, Tant de fois affermi le trône de son roi, Trahit donc ma querelle, et ne fait rien pour moi ? Ô cruel souvenir de ma gloire passée ! Oeuvre de tant de jours en un jour effacée

elle-même qui s’est représentée / Premier plan personnage de face, en buste (coupée en dessous des hanches), visage tourné de 3/4 / Corps fendu et ouvert pour que l'on puisse bien voir ce qui se passe à l'intérieur / Buste est retenu par un corset de fer qui semble l’empêcher de se briser / La colonne que nous voyons dans la fente est une colonne ionique (colonne qui, dans l’Antiquité, soutenait les monuments) / Elle est brisée à six endroits / Le personnage est nu sous le corset / Mise en valeur de