Bras de fer

hommes ont étés défigurés, déformés par les combats de la Grande Guerre : l’homme de droite se tient de profil sur sa chaise et on remarque qu’il n’a plus de jambes, que son bras gauche, en bois, est devenu mécanique, que son nez est dissimulé sous un cache et que sa mâchoire est en fer. L’homme de gauche a pour seul bras une prothèse en bois et dois se servir de sons pied droit pour tenir ses cartes. Son visage est couvert de cicatrices, de brûlures, a perdu un œil et un tuyau relié à un phonographe

magnétique qui proviens du fer liquide (en fusion) dans le centre de la terre, cela nous protège des UV provenant du soleil. La couche d’ozone absorbe certain type d’UV. I. La terre dans le système solaire A. Quelques repères et quelques dates : L’univers a 13,8 milliards d’années et le système solaire a 4,6 milliards. Composé de 8 planète (mercure, venus, terre, mars, Jupiter, saturne, Uranus, Neptune). Le système solaire est situé par rapport à la voie lactée dans le bras d’Orion. La voie lactées

d’ancre sur le bras droit. Le cadrage serré met en valeur sa musculature composée de volumes luisants comme du métal. Il semble un ouvrier. Il est habillé en débardeur et porte deux bagues à la main droite. La position négligée de sa main tenant la cigarette et le port de ces deux bagues montre la confiance en soi de l’ouvrier. Le regard de l'homme est vide comme celui d’un robot, il est en étroite relation avec le fond qui est très abstrait. Ses épaules forment des courbes même si ses bras semblent un

vaillant, je le suis aujourd'hui, Et ce bras du royaume est le plus ferme appui. Grenade et l'Aragon tremblent quand ce fer brille ; Mon nom sert de rempart à toute la Castille : Sans moi, vous passeriez bientôt sous d'autres lois, Et vous auriez bientôt vos ennemis pour rois. Chaque jour, chaque instant, pour rehausser ma gloire, Met lauriers sur lauriers, victoire sur victoire : Le prince à mes côtés ferait dans les combats L'essai de son courage à l'ombre de mon bras ; Il apprendrait à vaincre en me

vaillant, je le suis aujourd'hui, Et ce bras du royaume est le plus ferme appui. Grenade et l'Aragon tremblent quand ce fer brille ; Mon nom sert de rempart à toute la Castille : Sans moi, vous passeriez bientôt sous d'autres lois, Et vous auriez bientôt vos ennemis pour rois. Chaque jour, chaque instant, pour rehausser ma gloire, Met lauriers sur lauriers, victoire sur victoire : Le prince à mes côtés ferait dans les combats L'essai de son courage à l'ombre de mon bras ; Il apprendrait à vaincre en me

lecticae impositum, dependente brachio, tres servoli domum rettulerunt. Suétone, Vies des douze Césars, Livre I, LXXXII Traduction du texte de Suétone : Casca le blesse par derrière, un peu au-dessous de la gorge. César, lui ayant saisi le bras, le transperça de son poinçon, et essaya de se dégager, mais il fut arrêté par une autre blessure. S’apercevant alors que de toutes parts on l’attaquait, le poignard à la main, il se couvrit la tête de sa toge, tandis que de sa main gauche il en fit

jetée dans ses bras Rappelle-toi cela Barbara Et ne m'en veux pas si je te tutoie Je dis tu à tous ceux que j'aime Même si je ne les ai vus qu'une seule fois Je dis tu à tous ceux qui s'aiment Même si je ne les connais pas Rappelle-toi Barbara N'oublie pas Cette pluie sage et heureuse Sur ton visage heureux Sur cette ville heureuse Cette pluie sur la mer Sur l'arsenal Sur le bateau d'Ouessant Oh Barbara Quelle connerie la guerre Qu'es-tu devenue maintenant Sous cette pluie de fer De feu d'acier de

jetée dans ses bras Rappelle-toi cela Barbara Et ne m'en veux pas si je te tutoie Je dis tu à tous ceux que j'aime Même si je ne les ai vus qu'une seule fois Je dis tu à tous ceux qui s'aiment Même si je ne les connais pas Rappelle-toi Barbara N'oublie pas Cette pluie sage et heureuse Sur ton visage heureux Sur cette ville heureuse Cette pluie sur la mer Sur l'arsenal Sur le bateau d'Ouessant Oh Barbara Quelle connerie la guerre Qu'es-tu devenue maintenant Sous cette pluie de fer De feu d'acier de

blocs comme par exemple la guerre civile en Grèce ou la guerre de Palestine où chacun des géants à pris parti pour un camp opposé à l’autre. On peut également parler de Churchill qui en 1946 annonce un discours à Fulton où il parle d’un « rideau de fer » séparant le monde en deux. Cette séparation marque clairement la naissance des deux blocs, le bloc Est et le bloc Ouest. 6) À la sortie de la guerre, le monde se retrouve coupé en deux parties également nommé « blocs. » On peut se demander

régulières. Il avait le jeu classique, correct, balancé et souple. »(L33 p184) ; « ils s'enfonçaient dans le fer rouge, sur la tête du boulon »(L5 p185) ; « écrasant le métal au milieu, puis le modelant par une série de coups »(L7p185) ;  « Il recevait en plein la grande flamme de la forge. »(L12 p185) ; « il avait abattu Fifine, les yeux sur le fer »(L25 p185) ; « l'enclume »(L2 p186) ; « fer écrasé »(L3 p186) ; On peut constater que les gestes sont élégants, gracieux, et donnés avec force mais sans