Bras de fer

bastringue, les guibolles emportées par-dessus les jupes; elle s'envolait, retombait en cadence, comme une dame noble, l'air sérieux, conduisant quelque menuet ancien. Les talons de Fifine tapaient la mesure, gravement; et ils s'enfonçaient dans le fer rouge, sur la tête du boulon; avec une science réfléchie, d'abord écrasant le métal au milieu, puis le modelant par une série de coups d'une précision rythmée. Bien sûr, ce n'était pas de l'eau-de-vie que la Gueule-d'Or avait dans les veines, c'était

de façon industrielle. Il marcha le premier, elle le suivit, dans ce vacarme assourdissant où toutes sortes de bruits sifflaient et ronflaient, au milieu de ces fumées peuplées d’êtres vagues, des hommes noirs affairés, des machines agitant leurs bras, qu’elle ne distinguait pas les uns des autres. Les passages étaient très étroits, il fallait enjamber des obstacles, éviter des trous, se ranger pour se garer d'un chariot. On ne s’entendait pas parler. Elle ne voyait rien encore, tout dansait. Puis

Illingworth parue dans le Daily Mail 1 semaine après le discours télévisé de Kennedy. « D’accord, monsieur le Président, discutons », cette caricature montre alors au monde les deux puissances s'adonnant à un véritable bras de fer avec de chaque côté l’arme nucléaire et un fameux bouton rouge pour mettre la pression. Cette caricature fut sûrement dessinée par un opposant au régime Observation : soviétique. En effet, Khrouchtchev est représenté

dans ses bras Rappelle-toi cela Barbara Et ne m'en veux pas si je te tutoie Je dis tu à tous ceux que j'aime Même si je ne les ai vus qu'une seule fois Je dis tu à tous ceux qui s'aiment Même si je ne les connais pas Rappelle-toi Barbara N'oublie pas Cette pluie sage et heureuse Sur ton visage heureux Sur cette ville heureuse Cette pluie sur la mer Sur l'arsenal Sur le bateau d'Ouessant Oh Barbara Quelle connerie la guerre Qu'es-tu devenue maintenant Sous cette pluie de fer De feu

pas la lettre de ce soir ; ils persécuteraient à jamais ce pauvre Jules. » Elle fit un signe de croix et, se retenant d’une main au balcon de fer de sa fenêtre, elle se pencha au dehors, s’avançant autant que possible dans la rue. Un quart de minute ne s’était pas écoulé lorsque le bouquet, attaché comme de coutume à la longue canne, vint frapper sur son bras. Elle saisit le bouquet ; mais, en l’arrachant vivement à la canne sur l’extrémité de laquelle il était fixé, elle fit frapper cette canne contre

met de la terre. L'œuvre n°1 est figurative, l'œuvre n°2 elle est plus complexe et suggère de nombreuses choses. Nous retrouvons dans l'œuvre n°1 une relation parfaite avec le titre car en effet celle çi représente bien une main plus précisément un bras fixé solidement sur un socle en bronze. «Soffio 6» elle n'a pas de relation suggestive avec le titre en effet celle ci suggère le souffle mais ne le représente pas. Ouvertures : Dans l'œuvre n°2 une sorte de métamorphose a lieu : transformation

nombreuses séquelles: membres arrachés, visages défigurés, perforés, mâchoires artificielles, conduits auditifs, oeil de verre...: ce sont les «gueules cassées »: totalement mutilées. Le personnage de droite est un allemand car il porte la « croix de fer « sur sa veste. Il s'agit d'une décoration de guerre donnée aux soldats pour faits héroïques ou pour avoir été blessés. Les couleurs, l'éclairage: Sur le sol, le marron va en se dégradant et finit par se confondre dans le noir. Les couleurs vives

laissée par la guerre à la fois par fierté et par devoir de mémoire. Les soldats n'hésitent pas à afficher leurs difformités en public. Otto Dix choisit de montrer les soldats comme des pantins. Le fait qu'un personnage porte fièrement la crois de fer à sa veste est sans doute une critique du peintre a l'égard de nationalisme excessif exprimés par certains anciens combattants allemands. 2- Otto Dix, né près de Géra en 1891 et mort a Singen en 1969, est un peintre allemand expressionniste. L étudie

réalité dans son développement révolutionnaire II/Description de l'œuvre Deux personnages sont présent dans cette sculpture ,un ouvrier brandissant un marteau et une Kolkhozienne brandissant une faucille . Le matériau utiliser est le fer car Staline considère cette matière comme le symbole de la réussite industrielle de l'URSS .Leurs mouvements semblent volontairement accentués.Leurs visages ont une expression fermée, déterminée. L'homme et la femme représentent le peuple d'URSS et

chanter, moi qui sans agonie Vais vous quitter dans peu d'instants, Qui ne regrette de la vie Que quelques jours de mon printemps Et quelques baisers d'une amie Qui m'ont charmé jusqu'à vingt ans !... Salut à toi, ma belle fiancée, Qui dans tes bras vas m'enlacer bientôt ! A toi ma dernière pensée, Je fus à toi dès le berceau. Salut ô guillotine ! expiation sublime, Dernier article de la loi, Qui soustrais l'homme à l'homme et le rends pur de crime Dans le sein du néant, mon espoir et ma