Bref Résumé Antigone

pas à un oracle : « J'ai tué celui qu'il ne fallait pas. J'ai épousé celle qu'il ne fallait pas. Lumière est faite. » Il lui reste à se punir lui-même. « Il se donne des coups dans les yeux avec la grosse broche en or », crie sa fille, la petite Antigone. Devenu aveugle, il voit s'avancer vers lui Jocaste, mystérieusement redevenue sa jeune mère pour l'accompagner dans son exil, car il doit quitter la ville. Il s'éloigne, accompagné de sa fille et de sa mère-épouse, confondues dans une même sollicitude :

homériques que de demeurer dans la mémoire des hommes). Le héros est donc une question de point de vue, mais il n'y a pas autant de points de vue que de lecteurs, tant s'en faut. Car ce personnage hors pair qui cristallise mon attention, Julien Sorel ou Antigone, est souvent le même pour tous les lecteurs et tous les spectateurs. Ce phénomène tient au fait que ce n'est pas tant par ses exploits (quels exploits ?) que « par la façon dont le texte le présente qu'il suscite l'intérêt » (V. Jouve). Car c'est

ces adaptations, si séduisantes qu'elles soient, risquent de décevoir le lecteur de Tolstoï qui, aux images trop précises imposées par le film, préfère celles que lui suggèrent sa propre imagination selon les descriptions de l'auteur. Conclusion Ce bref aperçu nous permet de constater que, dans l'histoire des hommes, les arts n'évoluent pas indépendamment les uns des autres. Des liens fraternels les unissent — surtout à partir du XIXème siècle — et ils s'influencent réciproquement. Ce qui fait la

d’histoire : des courants de pensées qui s’opposent au fil des siècles Nous allons ici nous attacher à présenter l’origine et l’évolution de l’étude de la responsabilité morale des hommes à l’égard des animaux et du statut moral de ces derniers. Ce bref rappel historique présente les bases du questionnement actuel. a. Chez les penseurs Tout au long des siècles précédant le notre, les penseurs se sont interrogés sur nos relations avec les animaux. Ils se sont souvent opposés et diverses questions

rendu, entrevue (2e)....................................................................................................................................................................................20 Fiche 9D : résumé d’un article de journal ou d’un autre média (3e), résumé d’un texte d’analyse (4e).............................................................22 4. Genres à dominante explicative E Fiche 10E : article de vulgarisation scientifique, exposé explicatif (3e)............

......................................14 ANNEXES..................................................................................................................................................15 1. Situer et se situer – à propos de l’auteur : un bref retour en arrière pour dire d’où je parle et pourquoi .................................................................................................................................................................15 2. Situer les textes et leur auteur

|- Marivaux, L’Île des esclaves, scènes 1 et 2 |intense. Vous justifierez votre choix. | |- Anouilh, Antigone, extrait |Commentaire : Koltès, Le Retour au désert | |- Sartre, Les Mains sales, 6ème

| • Plus profondément, la justice-vertu a un sens relativement à l’être : un homme parfaitement juste accomplit à la perfection ce pourquoi il est homme. Être juste, c’est être, mais être plus, être mieux, bref, c’est corriger un défaut d’être. Là réside la dimension ontologique de la justice-vertu. Aussi le champ d’application de la justice-vertu s’étend-il à la relation entre l’homme et l’être au sens absolu, c’est-à-dire Dieu. |3 |Eschyle

ambigus ? Prométhée et Antigone, par exemple, auraient pu fournir un couple antithétique plus résistant : deux figures de la révolte dont la première, entachée d’hybris, est explicitement dirigée à l’encontre des dieux, tandis que la seconde, dans la tragédie athénienne du moins, est essentiellement liée aux lois de la polis ? Y a-t-il vraiment dans le mythe d’Antigone ce « Regard d’en haut » qui caractériserait le mythe littéraire ? Ou alors faudrait-il exclure Antigone de la série des mythes

vol, le viol, l’adultère,… C’est pourquoi il faudrait peut être partir d’une définition général, philosophique du MAL. Par la suite prendre une société exemple (Baoulé ou Sénoufo ou Yacouba ou ZOULOU SI C’EST L’Afrique), présenter son organisation en bref et par la suite traiter de certaines notions de mal. Faire au même moment des parallélismes en citant d’autres exemples dans d’autres sociétés (peuples, ethnies) sans vraiment rentrer dans les détails dans ces cas d’exemples parallèles. Et puis vous