Bretton Woods Et Mouvements Des Capitaux

fonctionnement des changes fixes de Bretton Woods était très largement reconnu, il apporte un complément à l'analyse de son prédécesseur. Son analyse montre qu'il n'existe pas de régime de change universellement optimal. Conclusion que retrouve et développe Jeffrey A. Frankel (1999) : « no single currency régime is rightfor ail countries or at ail times », alors que les positions des experts montrent une tendance à la radicalisation : comme si un mouvement généralisé en faveur des changes fixes

le tout est lié. Ce caractère « non-économique » du commerce international montre aussi que l'essor des échanges internationaux n'est pas forcément le prolongement naturel de la croissance des économies nationales, au sens où l'histoire serait un mouvement progressif d'intégration des marchés. Jacques Adda nous rappelle l'apport essentiel des travaux de Polanyi sur ce thème, « ce type de commerce (au long cours et durant la période médiévale en Europe) trouve son origine dans une sphère extérieure

extérieur Le multiplicateur d'investissement Sommaire TROISIÈME PARTIE : L'ÉQUILIBRE DES OPÉRATIONS EN CAPITAL ET DES MOUVEMENTS FINANCIERS Chapitre 1 : Les mouvements internationaux de capitaux Section 1 : La morphologie des mouvements internationaux de capitaux Section 2 : Les déterminants des mouvements internationaux de capitaux Section 3 : Mouvements internationaux de capitaux et entraînement de croissance Chapitre 2 : Régime de change et Organisation financière internationale Section

Sous sa forme contemporaine, la mondialisation se caractérise par l’intégration progressive des territoires et des sociétés à l’échelle mondiale. Ce processus dynamique implique une multiplicité d’acteurs, génère des flux (de marchandises, de capitaux, d’humains, culturels) intenses et en forte croissance, mais suscite de nombreuses questions qui vont soutenir notre réflexion. Concernant le terme « mondialisation », nous précisons que nous nous appuierons sur la définition de Jacques Lévy qui

Février 2008 La finance internationale crée chaque jour de nouveaux risques, que personne n'est en mesure d'évaluer. Et aucune conséquence n'a été tirée des crises précédentes. En l'espace d'une trentaine d'années, un vaste marché mondial des capitaux s'est constitué, dominé par des gestionnaires de fonds à la recherche d'une rentabilité maximale, arbitrant entre tous les placements possibles à l'échelle mondiale. Les progrès des techniques de l'information et de la communication comme de la finance

stockable. Cette fonction est la base de mise en place de stratégies d’épargne. B) LA FONCTION INSTRUMENTALE DE LA MONNAIE Depuis quelques décennies, il y a un débat politique en terme d’approche dichotomique ou non de la monnaie. Si l’on suit le mouvement libéral, elle devrait se cantonner à une utilisation neutre. On ne peut pas l’utiliser comme un produit dopant. Ils estiment qu’elles ne doivent pas intervenir dans le fonctionnement de l’économie. Selon des économistes comme Friedmann, on ne doit

Economie : Chapitre 1 : les concepts du capitalisme : Le système socialiste : C'est un courant de pensée et un ensemble de mouvement politique apparus au cours du 19 ème siècle. Ses caractéristiques : L'appropriation collective des biens, des moyens de production. L'état assure la propriété collective des biens et services et met celle ci à disposition de la collectivité (oppostion avec système capitaliste : la propriété est avant tout privée, ce qui est source d'inégalités). L'égalité

échanges qui va être exponentielle à partir des 80’s. Les politiques économiques vont favoriser cette mondialisation jusqu’à aujourd’hui. La mondialisation peut être définie comme l’émergence d’un vaste marché mondial des biens, des services, des capitaux et de la force de travail, s’affranchissant de plus en plus des frontières politiques des Etats et accentuant les interdépendances entre ceux-ci. D’un point de vue culturel on observe une extension du capitalisme et de l’économique de marché. Mais

de ses moyens de transports et les trois quart de son industrie est détruite. A l’Ouest, la France est la plus touchée après quatre ans de pillage nazi : les besoins de la reconstruction sont immenses (2600000 immeubles ont été détruits mais les capitaux pour la financer manquent. · Le coût de la guerre est aussi très lourd car il a fallu financer le conflit et supporter les énormes ponctions monétaires effectuées par les Allemands dans les pays occupés. Au Royaume Uni, la dette publique est passée

années a amené à s’interroger sur les bienfaits de la mondialisation, en particulier dans sa dimension financière. Par ailleurs, l’aggravation apparente des inégalités entre pays riches et pays pauvres est de plus en plus fréquemment imputée au mouvement de mondialisation qui profiterait à un groupe limité d’économies dans le monde. L ’hostilité ouverte au processus de mondialisation, qui s’est manifestée à l’occasion de la conférence de Seattle en novembre 1999, témoigne de ce type de convictions