Brigades rouges

et Lamarque ne peut se maintenir. Sur ces entrefaites arrive une brigade de Séras qui ouvre le feu sur les Saxons de Dupas en les confondant avec des Autrichiens. Les premiers se débandent et courent vers leur camp. Débordée par ce qu!elle croit être l!ennemi (c!étaient tout de même des troupes vêtues de blanc criant en allemand et lui fonçant dessus malgré ses feux !) la brigade Moreau casse en déroute et vient percuter la brigade Roussel qui la suivait. Arrivent alors les cavaliers de Sahuc, pris

prépare ainsi la victoire de Valmy. Emprisonné en 1793 il échappe de peu à la guillotine. A la chute de Robespierre Laclos est liberé et se lie avec Bonaparte, artilleur comme lui, et soutient le coup du 18 Brumaire. Il est alors nommée général de Brigade en 1800 et affecte l’armée du Rhin où il reçoit enfin le baptême du feu à la bataille de Biberach. Le 3 septembre 1803 il meurt de dysenterie (inflammation de l’intestin) et de malaria. Laclos a écrit un opéra-comique Ernestine qui sombre après

cependant lui être familier. Après la réforme de cette administration, il revint à ses expériences militaires; elles eurent le plus heureux succès, et lui ouvrirent une troisième fois la carrière du service : il rentra avec le grade de général de brigade (maréchal de camp) d'artillerie, qu'il remplit avec distinction sur le Rhin et en Italie où les fatigues jointes à la faiblesse de l'âge, hâtèrent le terme de sa vie. Il mourut à Tarente, le 5 octobre 1803. Outre "Les Liaisons dangereuses" (1782,

philosophiques,etc. L ES GRADES DES OFFICIERS ARMÉE DE TERRE Général d’armée Général de corps d’armée Général de division Général de brigade Colonel Lieutenant-colonel Commandant, chef de bataillon Capitaine, chef d’escadron Lieutenant Sous-lieutenant Aspirant ARMÉE DE L’AIR OFFICIERS GÉNÉRAUX Général d’armée Général de corps d’armée Général de division Général de brigade OFFICIERS SUPÉRIEURS Capitaine de vaisseau Lieutenant-colonel Commandant OFFICIERS SUBALTERNES Capitaine Lieutenant de 1re classe

officiels prônaient la guerre à outrance. La Première Guerre mondiale allait donner un tour inattendu à la carrière du colonel Philippe Pétain, qui s’apprêtait, à 58 ans, à prendre sa retraite. Promu rapidement général de brigade après s’être distingué à la tête d’une brigade d’infanterie en Belgique, il fut nommé général de corps d’armée et remporta de brillants succès dans les batailles de l’Artois. Il sut se distinguer, en particulier, par sa prudence et le souci qu’il témoigna d’épargner des

Corse à la France. La confusion règne dans l’île ou l’on entend que Napoleone est un traître qui mérite la mort. Napoleone quitte la Corse et n’y reviendra que des années après. Quelques exploits militaires vont lui valoir le grade de Général de brigade puis d’inspecteur . Il se fait remarquer. Mais le comité de salut public ne l’apprécie guère et il échappe de peu à la prison. A la même époque Napoleone se fiance à Désirée Clary originellement destiné à son frère mais il ne l’épousera pas.

chasseurs, en 1878, et fit carrière dans l'infanterie. Professeur à l'École de guerre de 1901 à 1910, il était parvenu au grade de colonel en 1911 et allait être atteint par la limite d'âge lorsque éclata la guerre de 1914-1918. Promu général de brigade en août 1914, il doit à sa belle conduite lors de la bataille de la Marne d'être fait par Joffre général de division (14 septembre) puis général de corps d'armée en octobre et, après les offensives d'Artois et de Champagne, général d'armée (juin 1915)

par l’armée, il décide dès quatorze ans de devenir soldat. En 1876, il est élève à l’école militaire de St-Cyr. C’est le début de la première guerre mondiale, 3 août 1914, Pétain est à la tête de la 4e brigade d’infanterie, il se distingue en Belgique, ce qui lui vaut d’être promu général de brigade le 31 août 1914, et ainsi de devenir commandant de la 6e division d’infanterie avec laquelle il combattra à la bataille de la Marne. Il sera ensuite général de division le 14 septembre et sera nommé en

à son esprit mathématique. En 1760, il est admis à L’école royale d’artillerie de la Fère qui se trouve être l’ancêtre de l’Ecole polytechnique. Il est nommé sous-lieutenant en 1761 et lieutenant en second en 1762. Puis il se fait affecter à la Brigade des colonies, en garnison à la Rochelle. Le traité de Paris signé en 1763 met fin à la guerre de Sept Ans. Cela l’oblige à rester en garnison au 7ème régiment d’artillerie de Toul en 1763, à Strasbourg de 1765 à 1769, à Grenoble de 1769 à 1775 et

des conseillers) et de plus les livraisons d'armes sont irrégulières et l'acheminement difficile vers certaines régions. Après les accords de Munich, l'aide soviétique décroît rapidement. Les Soviétiques encouragent et soutiennent également les Brigades internationales et cherchent à éliminer les marxistes non staliniens (principalement en Catalogne) et les anarchistes. La tiédeur de l'engagement soviétique peut s'expliquer par le pragmatisme de Staline : face à la menace grandissante de l'Allemagne