Brigades spéciales

Un peu d’histoire : La naissance des brigades mobiles La Police Judiciaire est née à la Belle Époque, sous la IIIème République, de la volonté de Georges Clemenceau, président du Conseil et ministre de l’Intérieur d’alors, de doter la France d’une « police chargée de seconder l’autorité judiciaire dans la répression des crimes et des délits ». L’hexagone est, dans cette période, en proie à une grandissante insécurité dont tous les journaux se font largement l’écho, non sans quelques arrière-pensées

porte pour nom les Brigate Rosse (les Brigades rouges) et se font connaître en septembre 1970 dès lors qu’ils revendiquent leur premier attentat par l’incendie d’une voiture à Milan. Renato Curcio, Mara Cagol et Mario Moretti en sont les principales figures. Un premier acte qui appelle à d’autres faits meurtriers avec la création des Noyaux armés prolétariens, qui recrutent leurs membres dans les prisons et mèneront des actions conjointes avec les Brigades rouges. Pour couper court à une éventuelle

les franquistes, appuyés sur l’armée régulière, la légion étrangère et les troupes marocaines, sur le clergé catholique et sur la Phalange (une organisation fasciste), et de l’autre côté les républicains, « los rojos » aidés par les libéraux, les Brigades internationales qui regroupent des communistes bénévoles de tous les pays dont les soviétiques de l’URSS, les catholiques autonomistes, les anarchistes, et les partis du Front populaire. Après de nombreuses batailles sanglantes, les nationalistes

direction de Paris. Elle trouve une place de serveuse dans un bar proche d’un centre d’affaires de la défense. Beaucoup d’hommes fréquentant le bar sont immédiatement envoutés par cette femme éblouissante, attirante et sensuelle. Un inspecteur de la brigade des stupéfiants de Paris, José Vargas, collaborant avec la police Espagnole retrouve sa trace et s’apprête à l’arrêter. Cet homme marié et fidèle tombe cependant immédiatement amoureux de Carmen. Il va trahir à la fois son métier et sa famille et

accumulera les succès dans sa carrière militaire. En 1967, il est promu au rang de colonel. En 1968, il est nommé chef d’État-major à Santiago. En 1969, il devient le chef de la Sixième division à Iquique. Enfin, en 1970, il est nommé général de brigade par Eduardo Frei, le président. Suite aux élections d’Allende, les tensions montent au sein du pays, 1970. Par conséquent, l’armée doit intervenir à plusieurs reprises, notamment lors de grèves. En 1971, Pinochet, qui était chargé de l’ordre public

Bernardin de 1880 à Mme Jeanson 29. Proces verbal de vente à Jonchery devant notaire imperial en 1808  (mauvais état mais exploitable), acquéreur Nicolas Jeanson 30. Entete 7eme division demande de renseignements à M. Jeanson en 1856 par Général de Brigade 31. Entete grande Chancellerie de La Legion d'honneur; reconnaissance de don de 5 FRF par M. Jeanson  en 1873 32. Lettre de démission à M. Jeanson de demission de la garde nationale par un garde champetre 33. lettre à M. JEanson sur une affectation

équipe et son supérieur hiérarchique, le Général Jérôme, Legorjus arrive au terme d’un voyage de 30 heures à Nouméa. A leur grand étonnement, l’Armée de Terre a débarqué en force avant leur arrivée : 300 hommes, sous le commandement du Général de Brigade Vidal, chargé par le Ministre des DOM-TOM Bernard Pons de retrouver et sauver au plus vite les otages. L’opération devait être confiée selon la procédure au seul GIGN, mais les consignes ont changé entretemps… A quelques heures du premier tour des

régiment d'artillerie de la Fère. 3 montée en grade: Lors de la révolution, il participe vivement aux activités et devient capitaine; Il devient ensuite lieutenant-colonel en 1792, puis capitaine d'artilerie en 1793. Il est promu général de brigade le 22 décembre 1793, puis général de division en 1794. De retout d'Italie où il y avait été affecté, il arrive en France et, en 1798, doit repartir pour conquérir l'Egypte avec plusieurs généraux. Il conquis petit à petit les petits endroits comme

et Lamarque ne peut se maintenir. Sur ces entrefaites arrive une brigade de Séras qui ouvre le feu sur les Saxons de Dupas en les confondant avec des Autrichiens. Les premiers se débandent et courent vers leur camp. Débordée par ce qu!elle croit être l!ennemi (c!étaient tout de même des troupes vêtues de blanc criant en allemand et lui fonçant dessus malgré ses feux !) la brigade Moreau casse en déroute et vient percuter la brigade Roussel qui la suivait. Arrivent alors les cavaliers de Sahuc, pris

prépare ainsi la victoire de Valmy. Emprisonné en 1793 il échappe de peu à la guillotine. A la chute de Robespierre Laclos est liberé et se lie avec Bonaparte, artilleur comme lui, et soutient le coup du 18 Brumaire. Il est alors nommée général de Brigade en 1800 et affecte l’armée du Rhin où il reçoit enfin le baptême du feu à la bataille de Biberach. Le 3 septembre 1803 il meurt de dysenterie (inflammation de l’intestin) et de malaria. Laclos a écrit un opéra-comique Ernestine qui sombre après