Brigit

dans le rôle de Sganarelle ; * 1965 : Dom Juan ou le Festin de pierre, film français réalisé par Marcel Bluwal avec Michel Piccoli et Claude Brasseur ; * 1973 : Don Juan 73 ou Si Don Juan était une femme, film français de Roger Vadim avec Brigitte Bardot; * 1979 : Don Giovanni, film opéra français de Joseph Losey ; * 1991 : Don Juan en los infiernos, réalisé par G. Suarez ; * 1995 : Don Juan DeMarco, réalisé par Jeremy Leven avec Marlon Brando et Johnny Depp * 1997 : Don Giovanni

dépouillées où la structure prend tout son sens. On y voit s’opposer des formes, des styles nouveaux. C’est aussi une période faste pour le costume de scène et de théâtre. Le couturier habille de nombreuses vedettes françaises ou étrangères telles que Brigitte Bardot, Marlène Dietrich, Katherine Hepburn, pour n’en citer que quelques unes. C’est également la rencontre avec sa Majesté la reine Sirikit de Thaïlande qui l’a élu son couturier exclusif. Pierre Balmain, c’est une certaine idée de l’élégance,

atmosphère années cinquante… Parfois, le rétro-marketing consiste à exhumer une ancienne icône publicitaire (exemple : la résurrection de la Mère Denis) ou à recourir à des célébrités du passé (exemples : Marylin Monroe, John Lennon, Alain Delon, Brigitte Bardot). La nostalgie entraîne également une certaine rigidité des préférences. Ainsi, les personnes, quel que soit leur âge, tendent à préférer des morceaux de musique qu’ils ont apprécié quand elles avaient en moyenne 23 ans et demi.

l’avant-gardiste de la Nouvelle Vague, même s’il n’appartenu jamais à un groupe. Depuis ses débuts il fut sous-estimé par les critiques. Et Dieu… créa la femme, signe le début de Roger Vadim en tant réalisateur. Il évoque ici, l’ascension d’une jeune chanteuse, Brigitte Bardot, future épouse, qui joue le rôle de Juliette Hardy, au coté de Curd Jürgens (un seul qui n’était pas critiqué pour son jeu), Christian Marquand et Jean-Louis Trintignant. Comme Vadim était un vrai coureur de jupons, sa carrière fut marquée

bis, rue de Verneuil. Derrière ce qu'on appelle, désormais, "le mur Gainsbourg" se cache son univers secret. C'est son père, Joseph Ginsburg, qui avait découvert ce qui était encore, en 1968, une boutique. Serge s'y rendra, la première fois, avec Brigitte Bardot, qui a convaincu sans mal, on l'imagine, l'agent immobilier. Pour accéder à sa tanière, il suffit de pousser la grille avec ses flèches néoclassiques, puis la lourde porte sur laquelle une plaque de laiton (offerte par Jacques Dutronc) prévient

troisième république Française, avec quelques autres symboles révolutionnaires. Depuis lors, il y a beaucoup de représentations de Marianne dans différents films, événements, et d'autres expositions. Une des premières Mariannes était le sexe symbole, Brigitte Bardot en 1970. D’autres Mariannes ont inclus Mireille Mathieu en 1978, Catherine Deneuve en 1980, Laetitia Casta en 1999, et Evelyn Thomas en 2003. Avec de telles représentations de Marianne, on commence à voir la façon dont Marianne évoluait. Toutes

opportunities SL. 5: Advertising campaign in US & GB Medium or media chosen: Slogan: Promotional events: Endorsement contract: Men : gaspard ulliel, Olivier Martinez Thierry Henry Women: Audrey tautou, noemie Lenoir, laetitia casta, brigitte bardot

«Richard III» : la loi du Un Gabriel Aumais Travail présenté́ à Madame Émilie Jobin Cours 560-202-SL, La scène québécoise Cegep de Saint­-Laurent­ Le 14 avril 2015 Texte: William Shakespeare; traduction: Jean Marc Dalpé; mise en scène; Brigitte Haentjens; décor : Production Yves Nicol; costumes : YSO; éclairages : Étienne Boucher; musique; Bernard Falaise; maitre d’armes : Huy Phong Doan; accessoires : Julie Measroch; coiffure : Angelo Barsetti; maquillage : Angelo Barsetti; directeur technique :

Directeur de la photographie : Raoul COUTARD Montage : Agnès GUILLEMOT, Lila LAKSHMANAN Musique : Georges DELERUE Coproduction : Rome-Paris Films / Les Films Concordia / Compagnia Cinematografica Champion Distribution : Marceau-Cocinor Interprètes : Brigitte BARDOT (Camille Javal), Jack PALANCE (Jeremy Prokosh), Fritz LANG (lui-même), Michel PICCOLI (Paul Javal), Georgia MOLL (Francesca Vanini), Jean-Luc GODARD (l’assistant-réalisateur) Sortie : 27 décembre 1963 SYNOPSIS A Rome, Fritz Lang tourne une

que son troisième film ‘Le petit soldat’ avait été censuré car il abordait ouvertement la guerre d’Algérie ce qui était un sujet tabou de cette époque. Un autre film important réalisé par Godard en 1963 ‘Le Mépris’ raconte l’histoire de Camille (Brigitte Bardot) et Paul Javal (Michelle Piccoli) un jeune couple qui se rend en Italie ou lentement et progressivement ils se séparent. Godard utilise le symbolisme à travers le film pour représenter le couple, Camille dit que "son regard est pareil au