Bruit blanc

PSE / REVISION CCF BLANC (BEP) CHAPITRE 1 = Gestion de l'eau. Le plus grand réservoir d'eau de la planète sont les océans. L'eau utiliser par l'homme est l'eau douce, qui provient des Eaux souterraine, des Calottes glacières et glaciers et de l'eau douce superficielle facilement accessible. La France est à l'abri de pénurie d'eau par la présence de quatre grandes chaine de montagne. Les rivières et les fleuves d'une longueur totale de 270 000 km, des 2000 milliard de mètre cube dans ses nappes

idyllique pour les héros car, certes Roméo est en danger, même la lune est hostile (L.64) « elle est jalouse de toi ; sa livrée de vestale est maladive et blême », mais le jardin et la nuit créent une intimité propice à l'amour. Cela contraste avec le bruit et la foule présents lors de leur première rencontre.4) Juliette est associée à la lumière, ce qui l'oppose à la nuit : « ange resplendissant ! Car tu rayonnes dans cette nuit » (L.78).5) Les noms propres présents dans le texte sont : Capulet (x 1)

qui lui correspond dans « Installation ». Choisis la bonne réponse dans l’histoire de « La Chèvre de M. Seguin ». Attention, il peut y avoir plusieurs réponses. 5. Qu’entend la chèvre lorsque le soir arrive ? La trompe de M. Seguin. Le bruit du vent. La voix de M. Seguin. Le hurlement du loup. 2. Comment les six premières chèvres de M. Seguin sont-elles mortes ? Elles ont été mangées par le loup. Elles sont mortes de faim dans la montagne. Elles se sont empoisonnées. Elles sont

raconte les évènements qui se déroulent dans un lieu où il n’est pas, ce qui montre qu’il possède le don d’ubiquité. Il sait tout ce qui se passe, de par son statut de narrateur omniscient. Le point de vue adopté prouve qu’il connaît la nature des bruits assourdissants que l’on entend de l’intérieur du magasin, ‘‘Du dehors ne venaient plus que les roulements des derniers fiacres’’. Les lecteurs sont considérés comme des narrateurs, par l’utilisation du pronom ‘‘on’’ qui nous donnent le sentiment d’en

toutes les femmes    Il me suffit de goûter la saveur du laurier qu'on cultive pour que j'aime ou que je bafoue    Et de toucher les vêtements    Pour ne pas douter si l'on est frileux ou non    Ô gens que je connais    Il me suffit d'entendre le bruit de leurs pas    Pour pouvoir indiquer à jamais la direction qu'ils ont prise    Il me suffit de tous ceux-là pour me croire le droit   De ressusciter les autres    Un jour je m'attendais moi-même    Je me disais Guillaume il est temps que tu viennes   

devant la bouche Bruit de la nature : Le feu (30s) Globale Ecoute sensorielle : Eprouver des sensations « C’est chaud, c’est le feu ». « C’est un grand feu. » « Ca crépite. » Extrait musical : Daphnis et Chloé. Lever du jour. Maurice Ravel (1,40 min) Sélective Ecoute affective : Eprouver des sentiments et des émotions « Que va-t-il se passer ? ». Au début de l’extrait « ils vont faire quoi les enfants », puis « ça va mieux à la fin, tout va bien se passer. » Bruit des animaux : rossignol

se flétrissaient, et le sommet gigantesque des pins, des peupliers et des chênes séculaires. Le vent rafraîchissant, c'est-à-dire une brise fraîche, agitait les feuilles des arbres avec un bruissement à peu près semblable à celui que faisait le bruit des eaux argentées du ruisseau qui coulait à mes pieds. Les fougères courbaient leur front vert devant le vent. Je m'endormis, non sans m'être abreuvé de l'eau du ruisseau. II Je rêvai que... j'étais né à Reims, l'an 1503. Reims était alors une

nazie. DESCRIPTION : Les couleurs de ce tableau sont le Noir , le Blanc et le Gris. Couleur du journal de l'époque et l'intermédiaire par lequel Picasso a appris l'évènement. Les dimensions de ce tableau sont 349x776cm , c'est donc une oeuvre imposante. C'est une peinture à l'huile qui relève un évènement historique. Au premier plan , on voit un cheval bléssé en train de hurler , il a l'air effrayé surement par le bruit des explosions de bombes. A gauche , on voit une femme tenant son enfant

ont fait oublier à mes camarades et moi l'enfer de cette guerre. Car c'est vraiment l'enfer, nous vivons et nous combattons dans de terribles conditions. Je vais bien ne t'inquiète pas, mon aimée, mais la vie est dure dans les tranchées : il y a le bruit incessant des obus qui éclatent à proximité, mêlé aux cris de douleur des soldats. Nous vivons dans la crasse, les odeurs de cadavres oubliés sur le champ . Nous ne mangeons presque pas hormis le morceau de pain trempé dans la soupe déjà froide qui

les redescendaient, quand soudain un homme pousse un cri et ils entendent un tambour. Son ami tombe de son cheval à ce moment précis, victime d’une insolation, et pendant qu’ils essaient en vain de le sauver, le tambour continue : c’est parait-il le bruit que font les grains de sable qui retombent sur la végétation. Sa deuxième peur, il l’a connue l’année d'avant dans une forêt du Nord-est de la France où il était parti chasser. Un paysan l’accompagne jusqu’au domicile du garde-chasse où il doit dormir