Bruit blanc

apprend qu’elle va attaquer le surlendemain. Les soldats sont dépités, Sulphart grogne et chacun imagine ce qu’il serait prêt à donner pour arrêter cette foutue guerre. Et puis alors revient la vie des tranchées, le froid, les attaques allemandes et le bruit des mitrailleuses, les morts. Chapitre 6 : Le moulin sans ailes Les soldats rejoignent la ferme des Monpoix pour y vivre une vie chaleureuse et paisible. Ils alternent six jours de front, trois jours de bonheur. Mais les civils du village sont très

commencer, ils retirent leurs pulls, se retrouvant en t-shirt blanc et bretelles noires. Puis, allongés, ils enlèvent ensuite leur kilt écossais. Le maquillage, lors de cette première partie, reste simple et neutre. Leur coiffure affiche un style punk ostensible, complétant ainsi leur style de danse. Au commencement du second volet, nous assistons à un changement de costume et de maquillage. Les deux danseurs revêtent les mêmes frusques. Froufrou blanc pour la danseuse, jaune pour l'homme, ainsi qu'un long

me rendis dans la rue où la voix m’avait parlé. En allant au passage piéton, la rue était remplie de gens ; je me sentais stressé. Les gens commençaient à rentrer chez eux, je voulais en faire autant car la situation ne me rassurait guère. Plus un bruit, plus aucun son n’émanait de la rue ; silence de mort. Pour rajouter à cette ambiance digne des meilleurs films d’horreur, les lumières des lampadaires s’éteignirent en un clin d’œil. Je suais à grosses gouttes, j’étais terrifié. Alors que j’avançais

 L’atmosphère générale appuie cette violence : importance des contrastes:  Luminosité : blanc et du noir : « tas de mousseline blanche », « seule lumière », « rectangle d’électricité pâle », « tache molle de la mousseline et du rectangle de lumière » (à l’inverse : « ombre », « cette nuit », « cette nuit », « la nuit »). La répétition des mêmes expressions accentue l’inquiétude.  De même, opposition entre le bruit et le silence : « quatre ou cinq klaxons grincèrent », « la vague de vacarme retomba »

à gauche de la porte, une enseigne jaune, portant ces mots : Hubert chasublier1, en vieilles lettres noires, lorsque, de nouveau, le bruit d’un volet rabattu l’occupa. Cette fois, c’était le volet de la fenêtre carrée du rez-de-chaussée : un homme à son tour se penchait, le visage tourmenté, au nez en bec d’aigle, au front bossu, couronné de cheveux épais et blancs déjà, malgré ses quarante-cinq ans à peine ; et lui aussi s’oublia une minute à l’examiner, avec un pli douloureux de sa grande bouche

Dont les cercles hideux vont toujours plus avant Dans une ombre où se meut l’enfer vague et vivant ! Cette rampe se perd dans la brume indécise ; Au bas de chaque marche une plainte est assise, Et l’on y voit passer avec un faible bruit Des grincements de dents blancs dans la sombre nuit. Là sont les visions, les rêves, les chimères ; Les yeux que la douleur change en sources amères, L’amour, couple enlacé, triste, et toujours brûlant, Qui dans un tourbillon passe une plaie au flanc ; Dans

derniers-nés dans des cocons blancs. Ou bien, en se relevant sur la pointe des pieds et en passant la tête par-dessus la haie, on la surprenait au milieu d’un en-cas champêtre, distribuant des parts de gâteaux et des verres de sirop, encadrée, à droite, d’un laquais (qui était le fils Onésiphore de Prébois) vêtu de bleu, portant le tonnelet d’orangeade et, à gauche, d’une domestique femme (qui était la petite fille de la vieille Nanette d’Avers), vêtue de zinzolins7 et de linge blanc, portant le panier à

voir sur celle-ci un homme devant une grande cuve qui symbolise le travail difficile d’un ouvrier dans une usine. On apprendra à la fin du roman que ce métier n’est pas des plus agréables : il est pénible, répétitif,… La photo est aussi en noir et blanc ce qui peut évoquer la mort, la tristesse, les temps anciens (20ème s), une vie qui n’évolue pas et qui est monotone… La couleur, qui symbolise la vie, a quitté le monde ouvrier. Sortie d’usine est un roman réaliste (récit imaginaire basé sur des

je m’efforçais de finir la tâche que j'avais commencé une ou deux,peut-être même trois heures plus tôt, j'étais plongé dans mon œuvre et ne prenait quasiment plus en compte tout élément extérieur à mon travail . Mais je me rappelle avoir entendu un bruit, ou peut-être vu une lumière, entendu une voie, en tout cas quelque chose d'étrange .Je m'étais retourné par précaution et n'avait forcément vu que ce long couloir, sombre, où les ombres jouaient avec mon esprit . Je m'étais enfin assoupi, je me

« saletés et infections » est désormais considéré comme un corps sain. => Deux visions différente de la santé : l'une au 19ème siècle et celle actuelle. Première différence : la douleur. Au 19ème siècle, la douleur était en quelque sorte « le bruit des organes » permettant un éventuel diagnostic. Hors, de nos jours, vision global de la santé en prenant en compte le côté psychologique. Qui plus est, la santé permet d'arriver au « bien-être » physique et mentale, ce qui prouve une évolution de