Brutus Enflamme Rome Tarquin Lucrèce

[LX] Plan 1. Préface 2. (I, 1-6, 2) La préhistoire lavinate et albaine jusqu'à la fondation de Rome 3. (I, 6, 3 -16) La fondation de Rome et le règne de Romulus [753-717] 4. (I, 17-21) Numa Pompilius [715-673] 5. (I, 22-31) Tullus Hostilius [672-641] 6. (I, 32-34) Ancus Marcius [640-617] 7. (I, 35-40) Tarquin l'Ancien [616-579] 8. (I, 41-48) Servius Tullius [578-535] 9. (I, 49-60) Tarquin le Superbe [534-510] Œuvre de Tite-Live (Histoire romaine) avec la traduction en français publiée

part, aimait à s’identifier à Démosthène. En 1924, P. Valery fait paraître dans la Revue universelle, un article intitulé Mais qui est européen ? Pour lui, les seuls pays européens sont ceux qui ont été soumis à la triple influence de la Grèce, de Rome et du christianisme. De fait, c’est une des civilisations, « auxquelles les hommes d’aujourd’hui se réfèrent le plus volontiers » (Cl. Mossé, Histoire d’une démocratie, Athènes, p. 5), alors qu’a priori rien ne pouvait laisser pense un tel destin,

pour cela. LE MARCHAND - Peste ! peste ! Comme vous y allez ! Vous avez l’air de savoir tout cela par cœur ; il ne ferait pas bon dire cela dans toutes les oreilles, voisin Mondella. L’ORFEVRE - Et quand on me bannirait comme tant d’autres ! On vit à Rome aussi bien qu’ici. Que le diable emporte la noce, ceux qui y dansent et ceux qui la font ! ( Il rentre. Le marchand se mêle aux curieux. - Passe un bourgeois avec sa femme. ) LA FEMME - Guillaume Martelli est un bel homme, et riche. C’est un bonheur

pour cela. LE MARCHAND - Peste ! peste ! Comme vous y allez ! Vous avez l’air de savoir tout cela par cœur ; il ne ferait pas bon dire cela dans toutes les oreilles, voisin Mondella. L’ORFEVRE - Et quand on me bannirait comme tant d’autres ! On vit à Rome aussi bien qu’ici. Que le diable emporte la noce, ceux qui y dansent et ceux qui la font ! ( Il rentre. Le marchand se mêle aux curieux. - Passe un bourgeois avec sa femme. ) LA FEMME - Guillaume Martelli est un bel homme, et riche. C’est un bonheur

cela. LE MARCHAND Peste! peste! comme vous y allez! Vous avez l'air de savoir tout cela par coeur; il ne ferait pas bon dire cela dans toutes les oreilles, voisin Mondella. L'ORFEVRE Et quand on me bannirait comme tant d'autres! On vit à Rome aussi bien qu'ici. Que le diable emporte la noce, ceux qui y dansent et ceux qui la font! Il rentre. Le marchand se mêle aux curieux. - Passe un bourgeois avec sa femme. LA FEMME Guillaume Martelli est un bel homme, et riche. C'est un bonheur

pour cela. LE MARCHAND. Peste ! peste ! Comme vous y allez ! Vous avez l'air de savoir tout cela par coeur ; il ne ferait pas bon dire cela dans toutes les oreilles, voisin Mondella. L'ORFEVRE. Et quand on me bannirait comme tant d'autres ! On vit à Rome aussi bien qu'ici. Que le diable emporte la noce, ceux qui y dansent et ceux qui la font ! ( Il rentre. Le marchand se mêle aux curieux. − Passe un bourgeois avec sa femme.) SCENE 2 10 Lorenzaccio LA FEMME. Guillaume Martelli est un bel homme

pour cela. LE MARCHAND — Peste ! peste ! Comme vous y allez ! Vous avez l’air de savoir tout cela par cœur ; il ne ferait pas bon dire cela dans toutes les oreilles, voisin Mondella. L’ORFEVRE — Et quand on me bannirait comme tant d’autres ! On vit à Rome aussi bien qu’ici. Que le diable emporte la noce, ceux qui y dansent et ceux qui la font ! Il rentre. Le marchand se mêle aux curieux. Passe un bourgeois avec sa femme. LA FEMME — Guillaume Martelli est un bel homme, et riche. C’est un bonheur

............................350 Magie noire, débauche et prostitution.................................................................352 Cupido regni : la menace alexandrine.................................................................355 Tarquin, Cléopâtre et Bérénice : la menace monarchique..................................357 7 Contre Marc Antoine, « Cleopatrae amore devinctus ».......................................359 De quelques éloges........................................

sinon, vivant, prends pitié de ma peine ! »11 « Je ne suis pas vivant, dit-il, mais je le fus. J'étais Lombard de père aussi bien que de mère ; leur terre à tous les deux avait été Mantoue. Moi-même, je naquis sub Julio, mais tard12 ; et je vivais à Rome, au temps du bon Auguste, à l'époque des dieux mensongers et trompeurs. J'étais alors poète et j'ai chanté d'Anchise le juste rejeton, qui s'est enfui de Troie, quand la Grèce eut brûlé le superbe Ilion. –6– Mais toi, pourquoi veux-tu retourner

le  plus  vaillant  des  guerriers  troyens  après  Hector. Après la chute de Troie, au milieu des flammes, il part avec son vieux père  sur son dos pour gagner l’Hespérie, c’est à dire les pays de l’occident méditerranéen,  avec la mission de fonder Rome. Anchise, meurt à Drépanon, mais Énée poursuit son  chemin et sa destinée. A Carthage, il rencontre Didon, la reine qui se donnera la mort  par  amour  pour  lui.    L’épisode  de  la  descente  aux  enfers  se  situe  à  Cumes,  où,  aussitôt  arrivé