Bûcheron

inspiré ses fables, l'auteur les nomme dans son commentaire situé entre «La mort et le malheureux» et «LLa mort et le bûcheron» : pour la première fable, Sénèque* Lettre à Lucilius, CI et pour la seconde, Esope, Le vieillard et la Mort traduit par Olivier Patru, avocat et écrivain (1604-1681), dans ses Lettres d'Olinde (1659). L'ambiguïté des attitudes du malheureux et du bûcheron face à la mort se fait sur fond de coïncidence de deux contraires inséparables: la vie et la mort. Intimement associées

toujours la meilleure » pourrait être la morale de cette fable. La mort et le Bûcheron : La Fontaine, à travers la fable « La Mort et le Bûcheron », laisse deviner sa sympathie pour ce pauvre bûcheron et souhaite susciter la pitié chez le lecteur. Cependant, l'auteur nous laisse aussi comprendre son mépris pour la lâcheté de la nature humaine. La Fontaine nous présente le dernière étage de la société : le bûcheron. Il nous présente tout d'abord sa vie (le corps), et en tire une morale philosophique

puisse nous prendre, ceci étant une fatalité que peu d'entre nous acceptent. Il traite aussi de nos relations même face à la disparition, dans « La mort et le bûcheron » ( qui fonctionne exactement de la même manière que « La mort et le malheureux » sauf qu'à la place du bûcheron il est simplement question d'un homme dit malheureux ). Le bûcheron fait preuve d'une trop grande hésitation, prend peur et décide donc de se défiler face à la mort après l'avoir lui même appelée. Cette fable donne aussi fort

Hansel et Gretel Frères Grimm Hansel et Gretel À l'orée d'une grande forêt vivaient un pauvre bûcheron, sa femme et ses deux enfants. Le garçon s'appelait Hansel et la fille Gretel. La famille ne mangeait guère. Une année que la famine régnait dans le pays et que le pain lui-même vint à manquer, le bûcheron ruminait des idées noires. Une nuit, dans son lit, alors qu'il remâchait ses soucis, il dit à sa femme : - Qu'allons-nous devenir ? Comment nourrir nos pauvres enfants quand nous n'avons

thème qui touche tout le monde mais de manière bien différente et unique en fonction du vécu de chaque personne. Dans son poème, "Contre les Bûcherons de la forêt de Gastine" Ronsard est porte parole de la Nature sans voix, il déclare la douleur de la Nature. Ronsard considère la Nature qui l'inspire comme quelque chose de divin. Il dénonce les bûcherons qui son a ses yeux des meurtriers. Ronsard nous montre l'importance de la nature et l'intérêt qu'il a pour celle -ci. "Le Lac" de Lamartine

politiquement dans Epître à Félic Guillemardet, il s'oppose à la peine de mort, réclame la liberté de la presse et l'abolition de l'esclavage. B- La poésie est une forme d'engagement : elle dénonce. - Pierre de Ronsard dénonce les bûcherons qui tuent la nature dans "Contre les bûcherons de la forêt de Gastine" - Dénoncer la guerre, la misère. - Dénoncer les catastrophes naturelles. - Dénoncer maladie, accident. - Dénoncer injustices/atrocités. C-Enfin, la poésie permet de transformer le monde et de proposer

  Au coeur de la Jungle hindoue vit un tigre cruel et sans courage, Shere Khan. Un soir, alors qu'il cherche une proie facile, il aperçoit des bûcherons réunis autour d'un feu. Il s'avance doucement, bondit, mais calcule si mal son élan qu'il retombe dans le feu. Il pousse un tel rugissement de douleur qu'il réveille toute la Jungle. Les bûcherons effrayés s'enfuient, abandonnant un tout petit garçon.          Prés de sa caverne, Père-Loup entend soudain un bruit. Cherchant à voir ce qui se passe

davantage bavards lorsqu’ils consomment de l’alcool. IS1 : Dans le même ordre d’idées, Joe le cook, le personnage principal de La chasse-galerie, est un très grand consommateur d’alcool, lorsqu’il boit, il devient très bavard. MEC : Joe est un bûcheron et il vit avec les autres hommes du chantier. Lors des veillées ils adorent consommer de l’alcool. La citation suivante met en lumière l’effet de l’alcool par rapport au côté bavard de Joe : CIT1 : « il suffisait de lui faire prendre un petit

poursuite de l’ennemi commun. Or, en continuant son chemin, le ménétrier avait une quatrième fois joué de son violon merveilleux; pour le coup il avait mieux réussi. Les accords de son instrument étaient arrivés jusqu’aux oreilles d’un pauvre bûcheron, qui, séduit par cette douce musique, abandonna sa besogne, et, la hache sous le bras, s’empressa de courir vers l’endroit d’où partaient les sons. “Voilà donc enfin le compagnon qu’il me faut!” dit le musicien, “car je cherchais un homme et non

jusqu’au bout des ongles, il pensait que la jeunesse actuelle ne devait s’incliner devant aucun obstacle ». (P.7) Donc, il a engagé le service d’un redoutable bucheron Dossou qui à cause du malheur qu’il a souffert a quatorze ans. Il a fracture la jambe droite en tombant d’un arbre. «  Depuis lors, il avait juré de n’exercer que le métier de bucheron. Abattre des arbres signifiait désormais pour lui assouvir une vengeance personnelle, régler un compte avec l’instrument dont le destin s’était servi pour