Bucovine

armées russes sèment la terreur en Prusse et sont accusées d'assassinats et de viols par la propagande allemande[65]. Face aux armées autrichiennes mal équipées, les armées russes avancent régulièrement. Elles s’emparent de Lvov (3 septembre) et de la Bucovine et repoussent les Autrichiens dans les Carpates, où le front se stabilise en novembre. Face aux Allemands, les Russes remportent une victoire à Gumbinnen (19-20 août) sur les forces de la huitième armée allemande, inférieures en nombre. Ceux-ci

armées russes sèment la terreur en Prusse et sont accusées d'assassinats et de viols par la propagande allemande[67]. Face aux armées autrichiennes mal équipées, les armées russes avancent régulièrement. Elles s’emparent de Lvov (3 septembre) et de la Bucovine et repoussent les Autrichiens dans les Carpates, où le front se stabilise en novembre. Troupes russes se rendant au front. Face aux Allemands, les Russes remportent une victoire à Gumbinnen (19-20 août) sur les forces de la huitième armée allemande

armées russes sèment la terreur en Prusse et sont accusées d'assassinats et de viols par la propagande allemande[84]. Face aux armées autrichiennes mal équipées, les armées russes avancent régulièrement. Elles s’emparent de Lvov (3 septembre) et de la Bucovine et repoussent les Autrichiens dans les Carpates, où le front se stabilise en novembre. Face aux Allemands, les Russes remportent une victoire à Gumbinnen (19-20 août) sur les forces de la huitième armée allemande, inférieures en nombre. Ceux-ci

armées russes sèment la terreur en Prusse et sont accusées d'assassinats et de viols par la propagande allemande82. Face aux armées autrichiennes mal équipées, les armées russes avancent régulièrement. Elles s’emparent de Lvov (3 septembre) et de la Bucovine et repoussent les Autrichiens dans les Carpates, où le front se stabilise en novembre. Face aux Allemands, les Russes remportent une victoire à Gumbinnen (19-20 août) sur les forces de la huitième armée allemande, inférieures en nombre. Ceux-ci

place lors des épisodes de peste. L’Autriche qui avait toujours maintenu son cordon sanitaire à sa frontière avec l’Empire ottoman par crainte d’un retour de la peste en établissait un second. Celui-ci fut mis en place le long de ses frontières de Bucovine (région au Nord de la Roumanie), de Galicie (région partagée entre la Pologne et l’Ukraine) et de Bessarabie (région de Moldavie). La Prusse en installa un de plus de trois cent kilomètres à sa frontière avec la Russie et la Pologne mobilisant

terme intenable même si c'était une volonté politique// mais la frontière extérieure coté autriche hongie n'a pas été remis en cause. En revanche, ce qui est remis en cause = contact avec la Roumanie, la Pologne (Région de Galicie (Pologne) et la Bucovine (Roumanie) = région où les personnes ont été déplacées de gré ou de force) Le traité de Trianon (1919) qui crée la Hongrie est considéré comme un dictact (comme traité de Versailles) => forte insastifaction = l'ancienne hongrie perd 68% de son

tournantes destinées à tendre les cordes. C'est en-dessous du sommier et sur le pourtour du barrage qu'est fixée la table, destinée, comme celle du violon, à amplifier la sonorité des cordes. La table est une plaque de bois (généralement en épicéa de Bucovine) épaisse de sept à dix millimètres, légèrement bombée et renforcée en dessous, comme au violon, par des barres en épicéa disposées en sens inverse des fibres et ayant pour but, à la fois, de relier entre elles les diverses parties de la table et

rédacteur de la gazette Universelle d’Augsbourg (1844), Paris, YMCA-Press. 755 La Russie et l’Europe, chap. VIII, p. 188-210, op. cit. 756 « L’Empire russe dans ses frontières de 1869, incluant la Pologne mais aussi la Galicie autrichienne, la Bucovine du Nord et la Hongrie carpatho-ukrainienne (I). Le royaume de Bohême, Moravie et Slovaquie (II). Le royaume des Serbes, Croates, et Slovènes, qui inclurait aussi le Monténégro, la Bosnie-Herzégovine, et le Nord de l’Albanie, repris à la Turquie

ce côté existentialiste. Il mourut à Aberden en 1937. Ses disciples sont nombreux tant dans les pays de langue allemande que dans les pays de langue anglaise et même française. Notre traducteur, Herbert Schaffer, né le 12 juillet 1909 à Suceava en Bucovine, aux belles églises à fresques extérieures, fit ses études universitaires d'abord à Toulouse en 1928 et 29 puis à Paris où il fut nommé externe des hôpitaux en 1931 et passa sa thèse de doctorat en 1935. Depuis 1930 il est l'élève d'Adler. Il a suivi