Bulle immobilière espagnole

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ménages dépend très largement de la valeur du bien immobilier. Ainsi, lorsque la valeur de la maison chute et que les taux d’intérêt augmentent, les ménages voient leurs revenus diminuer car ils doivent rembourser plus. * L’éclatement de la bulle immobilière et la hausse des taux La hausse des taux d'intérêt directeurs de la Réserve Fédérale (Fed) a entraîné celle des taux des crédits immobiliers outre-Atlantique. Confrontées à un coût de l'argent plus élevé pour financer leurs besoins, les banques

USA on vue leur croissance tirée par des investissements rendu possible par l’absorption d’une partie importante de l'épargne du reste du onde. A la suite des attentats du 11 septembre,le directeur de la FED a décidé de substitué une bulle immobilière a une bulle internet en abaissant les taux d'intérêt a 1%.C’est dans ce cadre la que ce sont diffusé les crédits hypothécaire subprime. B) L’origine financière et psychologique Les crédits hypothécaire sont octroyait a des individus sans diplôme

La « bulle spéculative » de l’immobilier est la preuve irréfutable que l’offre est plus faible que la demande. La bulle immobilière a atteint son plus haut niveau entre les années 1995 et 2005, les spéculateurs tablaient sur une hausse constante des prix, mais la bulle atteint toujours un seuil critique où elle doit crever. Cette spéculation a accentué l’augmentation des prix de l’immobilier et la diminution de l’offre. II Les conséquences : A Les conséquences économiques : A.1 De la bulle spéculative

et encore en cours en 2011 est une crise financière marquée par une crise de liquidité ou une crise de solvabilité, et une raréfaction du crédit. Amorcée en juillet 2007, elle trouve son origine dans le dégonflement de bulles de prix (dont la bulle immobilière américaine des années 2000) et les pertes importantes des établissements financiers provoquées par la crise des subprimes. Accentuée en septembre 2008 par une chute des cours des marchés boursiers et la faillite de plusieurs établissements financiers

=>2 objectifs : stabilité des prix + maintient des conditions d'une croissance économique optimale. En fonction des conditions macroéconomiques, la Fed privilégie l'un ou l'autre. Fin 1990, les EU => la formation d'une bulle financière dans secteur des NTIC Lorsque la bulle internet éclate en 2000, elle entraîne un fort ralentissement de l'activité économique. Afin d'éviter une trop forte récession, la Fed a baissé très rapidement et fortement son principal tx directeur. La Fed privilégie alors

progressivement relevé ses taux de 1 % en 2004 à plus de 5 % en 2006 pour tenir compte de l’évolution de l’inflation et de la croissance américaine. Les charges financières des emprunts se sont considérablement alourdies) L’explosion de la bulle immobilière américaine (les prix de l’immobilier ont fini par se retourner à la baisse dans l’ensemble des Etats-Unis. Résultat : la valeur des habitations est devenue inférieure à la valeur des crédits qu’elles étaient supposées garantir.) [pic]

achat d’un bien immobilier aujourd’hui augmentera forcément demain * Mais, taux mensuels augmentent => emprunteurs surendettés => mise en vente de leur bien immobilier, mais pas d’acheteur car crédit trop cher => explosion de la bulle immobilière => vent de panique Historique : remise dans le contexte : XXème siècle : * 1989 : effondrement du mûr de Berlin => écroulement du système totalitaire soviétique. * 1991 : Bush fait un discours à Aspen (station de ski aux

mort le 16 novembre 2006 à San Francisco, considéré comme l'un des économistes les plus influents du XXe siècle. Les banques ont donné une image trompeuse de la qualité des prêts hypothécaires regroupés et vendus aux investisseurs durant la « bulle immobilière ». En clair, les banques sont accusées par la FHFA d'avoir masqué les risques des produits structurés basés sur des prêts immobiliers qu'elles ont vendus avant la crise financière de 2008. Ces prêts, dits "subprimes", étaient accordés par les

souffrent. Et, en premier lieu le secteur immobilier. La soudaine prudence des banques en matière de crédit entrave les achats immobiliers des ménages, ce qui enclenche ou amplifie la baisse des prix. (Document 28 a). […] L’éclatement de la bulle immobilière n’a pas seulement sinistré le secteur de la construction, il a aussi amputé la richesse des ménages. […]La source de crédit étant tarie, leur patrimoine immobilier mais également leurs plans de retraite par capitalisation *, leur emploi étant