Cadavre De Classe

remplacé par Louis-Philippe (monarchie de juillet). II/ Description et analyse de l’œuvre Description Au premier plan, un amoncellement de cadavres barre la route aux insurgés. Delacroix représente ces morts de manière détaillée : le cadavre d'un homme dépouillé de son pantalon, les bras étendus et la tunique retroussée. A droite, sur le dos, le cadavre d’un suisse : décoration rouge au collet, guêtres blanches, chaussures basses, shako au sol. L’autre, la face contre terre, a l’épaulette blanche

la superficialité d'une société fissurée en divisions de classes, corrompue par l'avidité du gain, l'incompétence du pouvoir, le gaspillage de la vie urbaine vouée au matérialisme et les relations prédatrices qu'entretiennent entre eux les êtres humains. Pour symboliser la déréliction de ce monde en décomposition, il utilise les décharges londoniennes, tumuli de rebuts déversés pêle-mêle (dust heaps), le cours du fleuve charriant des cadavres, les oiseaux de proie humains détroussant les morts et fouillant

apercevoir au loin le Notre-Dame de Paris et les personnages sont vêtus selon les différentes classes sociales. L’œuvre est située entre 1827 et 1832. Personnages Delacroix a pris soin de représenter tous les acteurs de la révolution de 1830 : hommes, femmes et enfants. En partant de gauche vers la droite : Tout à gauche, on aperçoit un homme brandissant un sabre. Cet homme fait partie de la classe des ouvriers, reconnaissable grâce à son tablier de travail. En dessous de lui est agenouillé

corps-à-corps était inférieur à 15 % contre l’artillerie lourde qui en faisait environ 85 %. De ce fait, le no man’s land, l’espace situé entre les lignes de tranchée de chaque camp, était au final, qu’un champ remplie de cadavres. A noter que les soldats combattent avec les cadavres à leurs côtés, ils vivent, combattent et meurent dans les tranchées. De plus, les soldats vivent avec une peur constante, en effet, à cette époque, les combattants redoutent les gaz mortels car ils ne pouvaient ni les

Louis-Philippe 1er. Du côté du monde artistique, le néoclassicisme (vu avec David) se heurte aux romantiques, qui veulent exprimer avec sensibilité leurs sujets.   Analyse de la toile   1er plan: amoncellement de cadavres, la partie "sombre" à tous points de vue du tableau. Rappelle les cadavres du "Radeau de la Méduse" peint par Géricault 11 ans plus tôt. On y reconnaît (par leurs habits) deux soldats de Charles X à droite. 2nd plan: La Liberté guidant le peuple: Eclairée de toute part, elle rayonne

je n’ai pas vaincu pour la patrie, au moins peindrai-je pour elle ». III- Description détaillée du tableau : 1- Les lignes directrices : La pyramide : Le tableau est organisé selon une structure pyramidale. La base est formée par un alignement de cadavres. Le sommet de la pyramide est constitué du poing de Marianne qui brandit le drapeau tricolore. 2- Les plans : Premier plan : Au premier plan, on voit les corps des morts. C’est une avant-scène morbide qui illustre l’un des slogans révolutionnaire :

représenter tous les acteurs de la révolution de 1830 : hommes, femmes, enfants de différentes catégories sociales. Le soldat de la garde royale : Ce cadavre est un soldat de la garde royale de Charles X. Le roi a dissout la garde royale quelques jours plus tôt. Il a cependant laissé leurs armes aux soldats. Le soldat dévêtu : Avec ce cadavre de soldat, à moitié nu, les bras étendus, Delacroix montre crûment l’extrême violence des combats entre l’armée et les insurgés. Les barricades : Cet

velours noir évoque les étudiants de Paris. Victor Hugo s'en inspira pour le personnage de Gavroche dans les Misérables. Le soldat de la Garde Royale: Ce cadavre est un soldat de la Grade royale de Charles X. Le roi a dissous la Garde royale quelque jours plus tôt. Il a cependant laissé leurs armes aux soldats. Le soldat dévêtu/ Avec ce cadavre, à moitié nu, les bras étendus, Delacroix montre, crûment, l'extrême violence des combats entre l'armée et les insurgés. L'homme au foulard sur la tête:

Misérables. • Le soldat de la garde royale : En dessous du gamin de Paris, se trouve un cadavre représentant un soldat de la garde royale de Charles X. • Le soldat dévêtu : A côté du cadavre du garde royale, se trouve celui d’un soldat dévêtu, il est à moitié nu, les bras étendus. • L’enfant

après la guerre des chemins différents ?» Disciplines concernées : Histoire géographie et français I / Le tout début. Lors de la première séance commune de TPE, nous avons dû constituer des groupes de quatre personnes. Etant donné que dans ma classe je connaissais très bien Barbara, nous avions décidé de nous mettre ensemble. Les thèmes qui nous intéressaient le plus étaient « contraintes et libertés », ainsi que « l’image ». Finalement, et après quelques semaines de réflexion, nous avions choisi