Cadavre exquis

s’approche  aussi.  Un  duel  du  regard  se  lance  alors  qu’ils  s’approchent mutuellement le pistolet toujours pointé sur Nathan.  Le « mort » le menace, lui dit de ne pas bouger. Nathan avance  vite pour le désarmer. Deux tirs se font entendre. Le cadavre  s’écroule au sol mort. Nathan est touché à son épaule droite, il  ne sent pas la douleur,  il décide de s’en aller au plus vite.  Il  sort  de  la  maison  abandonnée.  Il  court  à  la  police  pour  raconter son histoire. Sur le chemin, un vilain mal de tête le 

Baudelaire, poète français du XIXème siècle, occupe une place centrale dans la poésie française du 19e siècle. En 1857, Baudelaire a écrit «Une charogne». Ce poème, extrait du célèbre recueil les fleurs du mal, présente une description macabre du cadavre et surtout, connue par l’horreur qu’il dégage. La conception de la beauté poétique chez Baudelaire et Hugo n’est pas relatée de la même façon dans les deux textes que nous analysons présentement. Décrire une charogne en termes poétiques est un exercice

s'accepte pas. Dans l'autoportrait d'Egon Schiele le mal-être est aussi figuré, mais ici par une déformation du corps, le visage est digne et n'exprime aucune douleur. C'est par la couleur blanchâtre et le corps squelettique, décharné, ressemblant à un cadavre que l'artiste extériorise son être profond. Il n'essaie pas de montrer son apparence extérieur mais bel et bien son angoisse intérieur. Son autoportrait représente ainsi l'image qu'il a de lui même : un génie persécuté, un martyr de l'art , un incompris

ID 1 : La mort de la charogne permet la vie de d’autres êtres vivants IS1 : La charogne nourrit les larves, les vermines et la chienne avec son corps en décomposition. Preuve : L.19. L.45. L.33 IS2 : La charogne rentre dans un cycle de la nature. Preuve : L.11 L.17-18-19-20- ID2 : L’environnement du poème rend la mort de la charogne moins dramatique. IS3 : La nature est le signe de la vie dans le poème Preuve : Champ lexical L. 2 L.13 (personnification) L.9 Ce beau matin d’été

DR a divorcee de son mariage en profitant d’un constat d’adultere. Il epouse Suzane, a l’Eglise de la Madeleine. Il devient redacteur en chef, c’est la reussite totale. I – Le Sacre de Bel Ami A-Les procedes stylistiques -metaphore filee -> le present comme un roi : " affolé de joie " et " un roi qu'un peuple venait acclamer ". (cf son nom : Du Roi) -La sortie de l’eglise = procession royale -Chp lexical de la foule, comparee a une masse, qui acclame DR. Dans l'incipit Bel-Ami est

Dès le début du poème, le poète donne le ton. Il est fatigué et malade, ces indications nous sont données par la phrase « je n’ai plus que les os, un squelette je semble ». Cette phrase décrit clairement qu’il est à l’état de cadavre et même de squelette. Cela a pour but de mettre en relief sa déliquescence physique. On peut voir par la suite, une série de description « Décharné, dénervé, démusclé, dépoulpé », où l’auteur énumère ainsi toute une série d’adjectifs qui ont la particularité de comporter

soit, le photographe va d'abord photographie le corps dans son état initial, c'est à dire tel qu'il était au moment de sa découverte. Il prend des clichés à chaque fois que le légiste retire un vêtement. Le médecin légiste va ensuite observer le cadavre. En premier il note si la victime est un homme ou une femme, puis son âge, sa taille, son poids, soit toutes ses caractéristiques physiques. Ils relèvent aussi les détails qui "paraissent" moins importants comme les tatouages, oreilles percées, piercing

Les Noces Funèbres De Tim Burton PITCH : Victor, découvre le monde des mort après avoir épousé, sans le vouloir, le cadavre d'une mystérieuse mariée. Pendant son voyage Victoria l'attend désespérément dans le monde des vivants. Bien que la vie au Royaume des Morts s'avère beaucoup plus colorée et joyeux que sa véritable existence, Victor apprend que rien au monde, pas même la mort, ne pourra briser son amour pour Victoria. TECNIQUE DE REALISATION : Tim Burton à Utiliser la Technique du

de bestioles qui se nourrissent avidement de la mort. L’auteur ne se contente pas de solliciter la vue, il fait aussi appel à l’odorat : « La puanteur était si forte, que sur l’herbe / Vous crûtes vous évanouir » (v. 15-16). L’effet de l’odeur du cadavre en putréfaction sur une personne sensible est assez marquant, puisqu’elle manque de s’évanouir. Cela indique la puissance du relent. Il n’y a rien dans cette observation qui puisse laisser place à autre chose qu’à l’horreur. Bref, l’auteur met bien

sans famille sans proche sans importance si on veut. La seule chose qui permet de bien les défénirs sont la raison qui les pousse a agir ainsi. Le lien est exactement le même pour Wilfrid qui vit sans but sans raison et qui fuira le pays avec le cadavre de son père pour lui donner une sépulture décente. 6)ils sont le reflet même d'une enfance au père absent brisant ainsi l'éducation de l'enfant de façon normale. Il prend donc une place importante dans la pièce, mais pas dans un premier ordre