Cadavre exquis

Camille, la victime. Comment Zola mêle t-il dans sa description du cadavre le naturaliste et le fantastique a travers Laurent ? Mon commentaire portera sur la description de la scène ainsi que la réaction du meurtrier et la présence de fantastique. 1- La description A- Un cadavre Dés les premières lignes de cette extrait plane une atmosphère tendu , Laurent est « perdu dans sa contemplation inconsciente » . Ici , le cadavre de Camille y est décrit avec les champs lexicaux de la décomposition

de présence humaine. Au premier plan c'est l'horreur et l'inhumanité des tranchée qui est évoquée : (en bas à droite) Avec un entassement de corps déchiquetés et par un cadavre aux yeux vides, à la bouche ouverte et à la peau parsemée de pustules. Ce qui rappelle les conditions d'hygiène abominables dans les tranchées. Ce cadavre tend une main, Il essaye sans doute d'obtenir désespérément de l'aide mais son appel reste suspendu dans le vide. Au dessus, flotte un squelette embroché qui désigne de

et l oblige à prendre le desert et dans les oasis khay recoit nourritures , sandales , vetements et même une statuette du dieu faucon HORUS censée le proteger des fureurs de SETH le gardien du desert. Il croise alors une caravane qui transporte le cadavre d un autre pilleur de tombeaux puis un scribe qui lui parle d'hommes morts de facon étrange et lit le papyrus et confirmer qu il s agit de la momie d'un pharaon dont le nom serait THOUT. Dans la nuit une enorme tempete de sable s'abat sur le campement

et le brun(les soldats). Sur le panneau central : au premier plan, on distingue un amoncellement de corps, d'organes, de pourritures, de cadavres. Les couleurs utilisées sont le brun (la terre), le rouge (le sang) et le blanc pour le cadavre livide, qui tend une main et semble appelé à l'aide. Un squelette est resté accroché à un échafaudage et pointe le cadavre du doigt. On voit également un soldat immobile, comme pétrifié devant le spectacle macabre qui s'offre à ses yeux. On ne peut distinguer

voit du sang, beaucoup de cadavres entassés, renversés et abandonnés, du désordre, de la saleté. Un a les jambes trouées, et tend la main un autres le ventre ouvert. Ils sont complétement détruits, détériorés. On remarque aussi UN homme paraissant vivant avec un masque à gaz, ainsi qu’un casque regarde la scène de mort. Il semble pétrifié. On ne voit pas son visage. Au-dessus, on voit un squelette. Il est représenté comme si il volait. Il a un doigt qui pointe le tas de cadavre, le sang... . On voit

Créon ne veut pas que la nouvelle se répande. Le choeur intervient pour donner sa vision de la tragédie et annonce le “petit coup de pouce pour que cela démarre”. Antigone se fait arrêter par un garde pendant qu’elle recouvre pour la seconde fois le cadavre, elle est emmenée chez Créon qui est prêt à la sauver et oublier l’affaire. Antigone refuse et se révolte, elle veut sa mort. Ismène arrive, elle veut mourir avec sa soeur, elle est prête aussi à aller recouvrir le corps de Polynice mais Antigone

Rapport de police Un cadavre a été retrouvé dans la foret de Montmorency dans le Val d'Oise, au nord de Paris. La victime, madame X, a été identifié grâce a ses papiers. Madame X était une femme sans histoire a la tête d'un cabinet d'avocats spécialisé en droit des affaires, elle est mariée et sans enfants. Sur le corps des indices qui ont été retrouvés : -Une empreinte digitale sur le cadran de sa montre -Des cheveux sur ses vêtements -Des traces d'un liquide absorbé par les mouchoirs dans son sac

l’art classique mets en scène les épisodes de la vie du Christ. Otto Dix va parodier le triptyque chrétien. La brume et la lumière blafarde semble indiquer le petit matin. Dans le panneau central on peut voir au premier plan la tranchée et des cadavres éventrés et tout le sang. Au second plan, la seule vie est anonyme et immobile. Au dernier plan, on voit un paysage lunaire, des maisons complètement en ruine. Le squelette Nous pointe sur la scène du sang au premier plan. Le dernier panneau

fabrication, ce quelque chose que le hasard du martelage ajoute au métal, que le tour de main de l'ouvrier donne aux pièces: la personnalité de la machine, la vie. " Ensuite Jacques la dit malade, puis Zola morte: "elle prenait l'affreuse tristesse d'un cadavre humain" et ce sont bien ceux qui ont connu la vie qui meurent. En plus d'être vivante, elle est femme, le substitut de femme de Jacques. En effet, il se réfugie auprès de cette femme idéale selon lui pour éviter toute autre relation. C'est bien sûr

sommeil très doux, finit par se taire. Elle était morte. Et le tas de fer, d’acier et de cuivre, qu’elle laissait là, ce colosse broyé, avec son tronc fendu, ses membres épars, ses organes meurtris, mis au plein jour, prenait l’affreuse tristesse d’un cadavre humain, énorme, de tout un monde qui avait vécu et d’où la vie venait d’être arrachée, dans la douleur. » Situer dans le roman : Dans les lignes précédentes, le narrateur vient d'évoquer la terrible vengeance de Flore, une femme amoureuse de Lantier